Entre Lumière et Ténèbres
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Sora
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   Posté le 24-09-2014 à 12:54:25   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

10 signes que vous avez rencontré une vraie Femme, pas une Fille

1. Les filles aiment s'habiller avec des vêtements provoquants pour avoir l'air sexy — Les femmes savent qu'elles sont désirables, qu'importe les habits qu'elles portent.

2. Les filles s'attendent à ce que leurs hommes devinent la façon dont elles se sentent, et ce qu'elles pensent — Les femmes utilisent leurs propres mots.

3. Les filles s'attendent à ce qu'on leur paye l'addition — Les femmes sont financièrement indépendantes.

4. Les filles sortent pour se bourrer la gueule — Les femmes savent tenir l'alcool, et connaissent leurs propres limites.

5. Les filles sont impatientes d'updater leur statut Facebook pour le mettre "En couple" — Les femmes oublient qu'elles ont un Facebook.

6. Les filles regardent des émissions de télé-réalité — les femmes lisent

7. les filles parlent de choses futiles — les femmes savent entretenir une conversation intelligente et intéressante.

8. Les filles mangent des salades — Les femmes mangent ce qu'elles veulent.

9. Les filles se raccrochent à ce qu'elles savent — Les femmes cherchent chaque jour à élargir leurs horizons.

10. Les filles ont besoin d'un protecteur — Les femmes ont besoin d'être elles-mêmes.

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   Posté le 30-01-2015 à 10:20:58   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Se serrer la main:origine
Montrer à un inconnu qu'on n'avait pas d'armes en main il y a longtemps (OK,et l'autre main?).On montrait avec sa main vide qu'on avait aucune arme à l'autre.

L'argent
Une pièce de 10 centimes=1 dime.

BCBG
Bon chic bon genre.

La personnalité
"La personnalité n'est pas entièrement déterminée par le gène, elle est aussi influencée par l'environnement. Selon des recherches sur la génétique comportementale, ces 2 facteurs interviennent à des parts égales. " by Zack in Astra-Lost in Space T4.

La cognition-excitation
Cette théorie dit qu'on peut confondre peur et attirance.

Les rituels
Contrôler ce que nous savons incontrôlable : c'est-à-dire la vie.


Edité le 28-12-2020 à 15:17:45 par Sora




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   Posté le 18-07-2015 à 17:33:48   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

1+1=3.
Papa + maman=enfant.

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   Posté le 01-12-2015 à 14:42:21   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

La famille de Kairi:
Papou: de 40 à 73 ans,il était malade.Il est mort le jour de l'anniversaire de papa.Il est resté 5 ans en prison en Allemagne.Il travaillait au ministère de finances.

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   Posté le 22-01-2016 à 11:17:58   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Au Moyen-Âge/Contes de Fées,les filles se mariaient à 16 ans et mourraient vers 30 ans?
=>Dans Belle au bois dormant,a encore des parents. Vivent plus longtemps car sont roi et reine???Plus de possibilités,meilleurs médecins.

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   Posté le 25-02-2016 à 15:03:11   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Discrimination:
http://www.ettoitescase.be/index.php

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   Posté le 04-06-2016 à 11:02:25   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Le sociopathe:

Le sociopathe:attention,selon MSN...:

Un ego très imposant
Les sociopathes sont très narcissiques. Ils n'hésitent pas à blâmer les autres pour leurs propres erreurs.

Mensonges et manipulation
Les mensonges, la tricherie et la manipulation constituent un jeu d'enfant pour les sociopathes. Ils mentent parfois même sans aucune raison, juste pour savoir jusque quand les autres vont les croire.

Un manque apparent d'empathie
Les sociopathes ne comprennent pas le monde émotionnel des autres, car eux-mêmes n'en ont pas. Ils ne parviennent pas à imaginer ce que peuvent ressentir les autres.

Absence de remords et de sentiment de honte
'Regret', 'honte', 'remords', ... Les sociopathes ne connaissent pas la signification de ces mots. Ils s'excuseront donc rarement pour ce qu'ils ont fait ou dit.

Toujours partant pour une aventure
Les sociopathes parviennent à garder leur calme dans des situations particulièrement stressantes ou même dangereuses. Cela peut s'avérer utile dans certains cas (un accident de voiture, par exemple), mais parfois, c'est beaucoup moins amusant pour son entourage (à Halloween, etc.).

Comportements impulsifs et irresponsables
Une soirée à Las Vegas alors qu'il ne vous reste plus un rond ? Un sociopathe foncerait sans même une seconde d'hésitation.

Peu d'amis
Les sociopathes n'ont pas beaucoup d'amis. Ils n'en veulent pas et d'ailleurs, ils ne ressentent pas le besoin d'en avoir. Leurs amitiés sont généralement superficielles.

Beaucoup de charme

Les sociopathes peuvent avoir l'air très charmants et amicaux, mais méfiez-vous des apparences. Ils savent que leur charme leur permettra d'obtenir ce qu'ils veulent. Ce n'est que manipulation. Il n'est pas rare qu'ils soient des escrocs et qu'ils mènent une double vie.

Vivre selon le 'principe du plaisir'
Ils cherchent sans cesse le plaisir, les sensations extrêmes, l'excitation...

'Les règles sont faites pour être transgressées'
Violer les règles constitue un passe-temps pour beaucoup de sociopathes. Ils se sentent au-dessus des lois.

Un regard intense
Les sociopathes regardent facilement dans les yeux et peuvent maintenir ce regard pendant longtemps.

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   Posté le 04-06-2016 à 11:03:57   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

L'homosexualité

17 idées reçues sur l’homosexualité 1/3


Pondu par Tree Hugger le 16 février 2012 11.3K 328 0



Tree Hugger est, entre autres choses, lesbienne – et elle le vit bien. Avec elle, nous ferons le tour en trois articles de 17 idées reçues sur l’homosexualité (principalement féminine), histoire de mettre les choses à plat.

Je vis et j’assume mon homosexualité depuis maintenant plusieurs années. Depuis ma première relation avec une fille, il y a 5 ans, quand j’avais 17 ans, j’ai été confrontée à divers préjugés, idées reçues et autres clichés, et je pense que ce sujet peut intéresser les madmoiZelles. Ces articles n’ont pas vocation à être universels et exhaustifs, il s’agit simplement de choses que j’ai souvent entendues, et j’espère que chacun(e) y trouvera des éléments intéressants.

On commence assez logiquement par se pencher sur quelques idées reçues concernant l’orientation sexuelle et la découverte du monde lesbien.

« Pourquoi je suis lesbienne ? »

Idée reçue n°1 : Une lesbienne a forcément vécu une expérience traumatisante dans le passé.

Eh non. Ça peut évidemment arriver, mais probablement pas plus souvent que chez les hétérosexuel(le)s. L’homosexualité n’est pas forcément issue d’un traumatisme, et heureusement ; idem pour l’idée assez répandue selon laquelle les lesbiennes et (surtout) les gays auraient viré de bord à cause d’un père absent et d’une mère omniprésente, voire étouffante.

Mes parents vivent toujours ensemble, ont été présents à parts égales durant mon enfance et mon adolescence, et ne m’ont jamais maltraitée. Comme partout, un traumatisme peut arriver, mais il n’y a pas de lien de cause à effet (et puis, j’ai eu de la chance : pensez-y, j’aurais pu être hétéro, quelle horreur !).

Idée reçue n°2 : Les lesbiennes ont vécu une mauvaise expérience avec un ou plusieurs hommes, aboutissant à un dégoût et une haine qui les ont poussées à se tourner vers les femmes.

Que ce soit clair : on ne choisit pas d’aimer tel ou tel sexe. C’est une attirance spontanée contre laquelle on ne peut rien faire. Une femme dégoûtée par ses expériences hétéro peut prendre conscience d’un penchant pour la gent féminine, qu’elle aurait intériorisé ou refoulé, mais ne va pas décider de changer de bord par défaut.

Et les hommes bien existent (heureusement). La plupart de mes connaissances lesbiennes n’a pas été traumatisée par une mauvaise expérience avec un garçon ; moi-même, je n’ai simplement jamais été attirée par un mâle, même si je les trouve chouettes en général. Mon amoureuse a eu deux relations longue durée avec des hommes, son deuxième copain était un amour, et pourtant elle est aujourd’hui avec moi, car elle a réalisé qu’elle préférait les filles.

Idée reçue n°3 : Les lesbiennes n’ont pas trouvé « le bon » et ne peuvent pas savoir qu’elles sont lesbiennes tant qu’elle n’ont pas essayé avec un garçon.

Aucun rapport ! Dit-on aux filles hétérosexuelles qu’elles n’ont simplement pas trouvé « la bonne » ? Bien entendu, cette idée est basée sur le modèle hétérosexuel dominant, mais comme je l’ai précisé plus haut, l’orientation sexuelle n’est pas une chose que l’on décide. Je n’ai pas « choisi » d’être lesbienne : je le suis, c’est comme ça, et heureusement, ça me va.

Je suis simplement certaine de n’être pas (ou alors, très très peu, et de façon très bien cachée) attirée par les garçons : je ne fantasme pas sur eux, je ne rêve pas d’eux et je ne tombe pas amoureuse d’eux. Ça peut arriver un jour, sait-on jamais, mais la probabilité me semble très faible.

Idée reçue n°4 : Les lesbiennes sont avec des filles parce qu’elles sont trop moches pour les hommes.

Merci, mais je ne me considère pas vraiment comme une mocheté et je connais beaucoup de filles splendides et homosexuelles. Et puis, ça veut dire quoi ce cliché ? Que les filles s’attachent moins au physique que les garçons ? Croyez-moi, quand on sort dans le « milieu » lesbien, le premier critère sur lequel on est jugée, c’est l’apparence (un peu façon « viande fraîche au marché » d’ailleurs).

La découverte

Idée reçue n°5 : C’est une passade.

À l’adolescence, on se cherche, c’est vrai. On est souvent très proche de ses amies, ce qui peut porter à confusion. Voyons ce qu’en dit le Dico des Filles :


« Parce que votre âge est celui des désirs confus et des sentiments troubles, et qu’il en est de même pour vos amies, apprenez à garder la bonne distance. L’intimité entre amies s’arrête aux limites de la pudeur. Évitez de dormir dans le même lit ou de prendre des douches ensemble afin de ne pas vous retrouver dans une situation gênante ».

Comme si ces situations ambiguës allaient pervertir nos jeunes filles en fleur, les livrant aux prédatrices que nous sommes…

Beaucoup d’adolescents passent par une phase de remise en question de leur orientation sexuelle, mais il est tout à fait possible de savoir dès ses 15 ans (voire plus tôt) si l’on préfère les filles ou les garçons. De nombreux(ses) homosexuel(le)s ont eu à subir le fameux « Ce n’est qu’une passade », qui part souvent d’une bonne intention mais implique que nous ne savons pas réellement qui on est et qui on aime, ou en tout cas que notre entourage le sait mieux que nous. Dire ce genre de choses, c’est en fait remettre en question la maturité d’esprit de l’autre, dans un contexte qui n’est déjà pas simple. Assumer sa sexualité telle qu’elle est n’est pas une sinécure, et ne pas être pris(e) au sérieux n’arrange rien.

Notons qu’il n’y a pas d’âge pour les passades : à 21 ans, ma copine a dû écouter sa tante lui dire « C’est sans doute une passade, tu dois avoir des problèmes à régler avec ton père… Je connais beaucoup de jeunes homosexuels, je sais de quoi je parle ». Alors par pitié, si quelqu’un vous fait son coming-out, oubliez ce type de pensées, écoutez-le (la) simplement, sans juger, et si les choses doivent effectivement changer, elles finiront par le faire d’elles-mêmes. Quand on fait son coming-out, c’est généralement après une mûre réflexion qui nous aura déjà amené(e)s à conclure que non, ce n’est pas une passade.

Idée reçue n°6 : Les lesbiennes font forcément une tentative de suicide à l’adolescence et doivent faire face à un rejet général.

Effectivement, comme pour les autres traumatismes évoqués plus haut, ce sont des choses qui arrivent. Certaines auront plus de mal à s’accepter et à s’assumer que d’autres. Mais une écrasante majorité de mes amies lesbiennes, moi y compris, a assez bien vécu son adolescence et appris en douceur à faire avec une orientation sexuelle « hors normes ».

Mon homosexualité n’a jamais été une source d’angoisse ; quand j’ai commencé à m’interroger, autour de mes 13 ans, il était déjà assez clair que mes parents n’auraient pas de problème avec le fait que je sois lesbienne. Quand je le leur ai appris, ils ont été très compréhensifs, plaçant mon bonheur au-dessus de tout ; les seules peurs de ma mère étaient que je me fasse agresser, que je souffre de discrimination. Ma petite sœur était ravie de me voir enfin en couple, mes différentes petites amies ont toujours été bien acceptées et mon amoureuse parle davantage que moi avec ma mère ! Mes amis n’ont pas vraiment été surpris, et même mes grands-parents paternels m’ont invitée à venir les voir avec ma compagne.

Évidemment, les choses ne sont pas toujours aussi simples. J’ai l’impression que le rejet est plus fréquent dans le cas d’un garçon faisant son coming-out, mais je sais qu’il existe, et que l’acceptation varie selon les familles. Cependant, on peut avoir de très bonnes surprises, car les personnes à qui on craint le plus d’annoncer la « nouvelle » sont rarement celles qui la prennent mal. On se fait facilement une montagne au sujet d’un élément finalement presque insignifiant, dont les autres se doutent depuis longtemps.

Le taux de suicide reste, malheureusement, plus élevé chez les jeunes homosexuels que chez les jeunes hétérosexuels, mais les choses peuvent aussi se passer très bien, et je tiens à mettre l’accent là-dessus. Je n’ai pas vocation à parler de chaque cas de figure possible, simplement de mon expérience : j’ai eu une adolescence aussi normale que possible, j’ai eu la chance de ne pas être rejetée par mes proches, d’avoir rencontré d’autres lesbiennes assez jeune (autour de mes 16 ans) qui m’ont éclairée au sujet des milliers de questions que je me posais, et d’avoir trouvé un forum sur Internet qui m’a aussi beaucoup aidée.


http://www.madmoizelle.com/idees-recues-sur-lhomosexualite-1-88468


Idée reçue n°7 - Les lesbiennes ont un look masculin et sont des garçons manqués.

Heureusement que ce n’est pas le cas de toutes les lesbiennes !

Certaines filles ont effectivement un look très masculin : on les appelle les butch, ou (moins gentiment) les « camionneuses ». Mais il existe toute une typologie des lesbiennes : les lipstick sont des filles ultra-féminines et quasiment « indétectables » ; les gouines à mèche ont un look variable (slim, Converse ou baskets, sweat, chemise à carreaux, veste en cuir…) avec une caractéristique incontournable : la mèche dite « à la Justin Bieber » ; les fem, un peu indéfinissables, mais forcément féminines, les androgynes… Et puis les filles comme moi, qui ne rentrent dans aucune catégorie.

Comme la plupart d’entre vous, je peux porter jupe et talons aussi bien que jeans et Dr Martens, j’ai les cheveux mi-longs, je me maquille… Bref, je ne me considère pas vraiment comme « masculine » !

Idée reçue n°8 - Les lesbiennes se connaissent toutes, c’est une grande famille.

Selon moi, ça dépend vraiment des villes et de la façon dont on fréquente (ou non) le « milieu », qui englobe tous les lieux LGBTQ (Lesbiens, Gays, Bi, Trans, Queer) : les bars, les boîtes, les clubs dans lesquels on rencontre souvent les mêmes habitué(e)s. Pour ma part, je n’affectionne pas particulièrement ce système un peu confus. C’est vrai que si on sort beaucoup, et qu’on va toujours dans les mêmes endroits, on croise les mêmes personnes et on peut se retrouver à fricoter avec l’ex de son ex, ou découvrir que Machine connaît Bidule qui connaît Truc qui a couché avec l’ex de ta copine, mais ce n’est pas une généralité.

Tout varie selon les filles, la taille des villes, les lieux que l’on fréquente (même si j’ai déjà rencontré une parisienne qui connaissait ma ville, et m’a demandé si je savais que Machine avait couché avec ma copine actuelle). Il y a effectivement une sorte de « réseau » lesbien, comme on le voit dans la série culte The L Word où un personnage relie sur une « Toile » toutes les personnes qui ont eu des rapports, mais ce n’est pas une grande famille. On ne devient pas amie avec une fille juste parce qu’elle aussi est lesbienne, comme le souligne Océane Rose Marie dans son spectacle, La Lesbienne Invisible :

Une orientation sexuelle est un point commun, pas un gage d’amitié.

Idée reçue n°9 - Les lesbiennes se reconnaissent entre elles et voient en chaque lesbienne une cible.

Voici enfin le fameux gaydar (contraction de gay et radar). À force de côtoyer des personnes de l’univers LGBTQ, on apprend à repérer des petits signes qui font parfois la différence (tatouages, piercings, vêtements, coupe de cheveux, attitude…), mais il peut arriver qu’on se trompe sur tout la ligne ou qu’on découvre soudainement que la fameuse pote de promo ultra-féminine s’intéresse de très près aux femmes…

Et ce n’est pas parce qu’on rencontre une fille, lesbienne ou non, qu’on va avoir directement envie de lui sauter dessus !

Idée reçue n°10 – Dans un couple de lesbiennes, il y en a toujours une qui fait l’homme et l’autre qui fait la femme.

Deux filles = deux filles. Il n’y a pas de « rôles ». On a toutes les deux une part de masculin et de féminin, qui varie selon les personnes, mais si on tombe amoureuse de filles, c’est en général parce que c’est d’elles qu’on a envie, pas d’hommes, donc personne ne « fait l’homme ». La question peut se poser de façon plus délicate dans un couple qui compte une femme et un MtF (Male to Female : quelqu’un qui a changé de sexe, ou se considère d’un genre opposé à leur sexe biologique), mais bien que je ne sois pas la mieux placée pour traiter en profondeur de l’univers transgenre, je pense que là aussi il n’y a pas besoin d’un « homme ».

La sexualité, évidemment, évolue avec le temps, et le genre aussi, mais en tant que fille qui n’a eu des relations (physiquement, émotionnellement, mentalement…) qu’avec des filles, je parle de ce que j’ai vécu, tout en gardant à l’esprit qu’il existe bien plus de possibilités que les simples combinaisons femme + homme, homme + homme ou femme + femme.

Idée reçue n°11 – Les lesbiennes se mettent en couple très vite.

Une des blagues lesbiennes les plus connues est : « Que ramène une lesbienne au deuxième rendez-vous ? Un camion de déménagement ! ». Mais comme toutes les blagues, il s’agit d’un cliché et la situation varie énormément selon les gens…

Personnellement, je ne me considère pas du tout concernée par cette plaisanterie, étant un peu phobique de l’engagement (sauf avec mon amoureuse actuelle : on a emménagé ensemble au bout de « seulement » un an). Sans vouloir faire de généralités genrées, je pense que la « fusion » se produit plus facilement au sein du couple lesbien, peut-être parce qu’il est plus facile de se sentir en confiance avec une fille qu’avec le sexe opposé. Une amie lesbienne considère que les « mois homos » ne sont pas les mêmes que les « mois hétéros » : un couple de deux filles, au bout de quatre mois, aurait à peu près atteint le stade d’un couple hétérosexuel vieux de huit mois (un autre cliché repris dans la vidéo d’Océane Rose Marie… plus haut).

C’est un peu capillotracté, mais ça résume mon idée de « fusion », qui tient selon moi au fait qu’on soit toutes les deux des filles, pas au fait qu’on soit toutes les deux lesbiennes. Et puis, on a beau essayer de rester prudentes et raisonnables, quand on est amoureuse, surtout au début, on est pleine de projets… pas vrai ?

Idée reçue n°12 – Les lesbiennes sont vouées à être malheureuses en amour et ont plus de mal à trouver quelqu’un.

Quand on débute dans la « vie lesbienne », on a l’impression d’être seule. Et puis on en rencontre une autre, puis deux, puis trois, et le cercle s’agrandit… évidemment, au quotidien, on a statistiquement plus de chances de craquer sur une jolie hétéro, mais si notre cercle d’amies est composé de plusieurs lesbiennes, il est fort probable de tomber sur quelqu’un qui nous taperait dans l’œil ET avec qui on aurait une chance.

À titre personnel, je suis tombée amoureuse (sans compter les coups de cœur) de deux hétérosexuelles, deux bisexuelles et une lesbiennes. J’ai à peu près autant d’amis LGBTQ que d’amis hétéros, mais je n’ai pas choisi, ça s’est fait naturellement. Et quand je regarde les lesbiennes autour de moi, je n’ai pas l’impression qu’elles aient plus de mal à rencontrer quelqu’un, ou qu’elles soient plus malheureuses en amour que celles qui aiment les garçons.

Idée reçue n°13 – Les relations entre filles sont instables, éphémères. Les lesbiennes sont volages et ont des difficultés à se projeter dans l’avenir.

Ni plus, ni moins instables que les relations hétérosexuelles. C’est une question de personnalité, pas d’orientation ! Certaines choses sont plus compliquées à projeter dans l’avenir, car la société ne donne pas des droits égaux aux couples de même sexe.

Cependant, je suis avec la même personne depuis plus d’un an, nous habitons ensemble depuis des mois, et nous avons plusieurs projets en commun (et nous sommes même fidèles l’une à l’autre… si, si !).

Idée reçue n°14 – Les lesbiennes ne peuvent pas avoir d’enfants.

Tiens, je ne savais pas que « lesbienne » voulait dire « stérile »… Le problème vient de la loi, qui ne donne aucun droit au « parent social ». Par exemple, dans un couple lesbien avec enfant(s), si la mère biologique venait à décéder, rien ne pourrait obliger les grands-parents à confier le ou les enfants à la seconde mère s’ils ne le veulent pas.



Idée reçue n°15 : les lesbiennes ne peuvent pas « vraiment » faire l’amour

Mais faire l’amour, c’est quoi au juste ? Chacun a sa définition. Ce n’est pas parce que le modèle classique hétéronormé sous-entend que rapport sexuel va avec pénétration qu’il faut négliger le pouvoir des doigts, de la langue, de l’imagination, voire des accessoires pour celles qui veulent… Faire l’amour ne veut pas dire pénis, en tout cas, pas pour moi !

Idée reçue n°16 : lors d’un rapport sexuel entre filles, rien « n’indique » lorsque c’est fini

La question m’a été posée par un mâle qui se demandait ce qui marquait la fin du rapport en l’absence d’éjaculation. J’ai envie de dire : c’est fini quand on a plus envie ! C’est parfois après un ou plusieurs orgasmes, parfois de façon plus progressive, mais les deux personnes s’en rendent compte de toute façon. L’avantage étant que si l’une a déjà joui, elle peut continuer sans interruption jusqu’à satisfaire sa compagne (ce qui est possible dans une relation hétérosexuelle, mais avec un « changement de méthode » dû au fait que la pénétration est difficilement possible une fois que l’homme a éjaculé).

La bisexualité

Petite digression à propos des bisexuels : étrangement, il y a au sein de la « communauté » gay et lesbienne une sorte de « biphobie » : eh oui, les clichés et la discrimination ne sont pas l’apanage des hétéros…

Idée reçue n°17 : les bisexuels sont forcément infidèles

Selon un cliché courant, les bisexuels seraient des personnes volages qui auraient « besoin » des deux sexes et ne pourraient donc pas se contenter de coucher avec une seule personne : sortir avec un(e) bi signifierait donc être cocu(e) à coup sûr. Or, la plupart des bisexuels en couple que je connais n’ont pas envie d’aller voir ailleurs, simplement parce qu’ils sont amoureux d’une personne, et pas d’un sexe. Ce serait donc chouette de tordre le cou à ce cliché !

Pour finir…

En tant que lesbienne, les seules vraies problématiques auxquelles je me retrouve confrontée sont les suivantes : si un jour, j’ai envie de me marier, est-ce que je le pourrai ? Et si je veux des enfants ? Fonder une famille ? C’est loin d’être à l’ordre du jour, mais c’est toujours un peu douloureux de ne pas avoir les mêmes droits que tout le monde parce qu’on aime une personne du même sexe.

Le plus pénible à vivre au quotidien, ce sont souvent les regards des gens, à l’extérieur. Ces personnes dans la rue qui nous fixent quand on se tient la main. Qui nous font des remarques, des mimiques suggestives. Ce n’est pas fréquent, mais c’est arrivé. Les petites mamies qui nous jugent d’un air désapprobateur. Les mecs libidineux d’un certain âge, qui nous mettent mal à l’aise avec leurs regards. Les garçons un peu lourds qui voient qu’on est ensemble mais font comme si ce n’était pas le cas. Ces moments où on est pas très rassurées, dans certains quartiers où on sait qu’il ne vaut mieux pas marcher enlacées. C’est parfois drôle, parfois lassant, selon les jours, selon l’humeur.

Et puis il y a les discours blessants de certains politiques, les remarques maladroites ou pleines d’incompréhension. Mais globalement, ça se passe bien. Le plus rigolo, c’est quand on croise une lesbienne « reconnaissable » dans la rue. Il y a parfois ce regard de connivence, ce sourire discret qui signifie : « Vous et moi, on est dans le même camp ». Et c’est bête, mais ça fait toujours plaisir de croiser un couple, de se dire qu’on est « naturellement » visibles, que l’homosexualité tend à se banaliser, à faire partie du paysage, à sortir du placard. Simplement acceptée et respectée. Ou alors des petits trucs, comme l’agenda de madmoiZelle et sa petite phrase : « L’agenda des madmoiZelles qui aiment les madmoiZelles », que l’on peut interpréter comme on veut, mais qui me plaît bien, à moi…

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Le transhumanisme.

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ERGOPHOBIE.




Vous et moi ne sommes pas pareil. Pourquoi? Vous voulez savoir pourquoi? Je vais vous le dire.

Les différences entre vous et moi commencent par vos choix de vies. Vous rêvez certainement d'avoir un bel emploi, une femme et peut-être des enfants, une maison, une voiture, un chien et toutes ses autres choses qui prouvent que vous existez et qui vous procurent du bonheur.

Pas moi. Moi, je ne désire qu'une chose. Je désire qu'on m’efface. Ma naissance, mon enfance, mes choix, mes erreurs, les gens que j'ai rencontré et mes amis... Je veux que tout cela soit effacé.

Contrairement a vous je ne rêve pas de travailler, de trouver la femme que j'épouserais, d'une maison et d'une voiture. Non moi tout ce dont je rêve c'est de ne plus exister, de n'avoir jamais été.

Je méprise ce monde et tout ses habitants, je méprise cette planète.

Je ne veux pas être heureux, je ne veux pas souffrir non plus, je veux seulement qu'on me fiche la paix.

Comme vous j'ai peur de mourir. Mais contrairement a vous elle ne saurait arriver trop tôt pour moi.

Je vous rassure je n'ai rien contre vous.

Je déteste seulement votre mode de fonctionnement.

Il existe, comme moi, des êtres vivants, dotés d'un cœur et de sang, d'os et de chair, des êtres humains comme vous qui ne souhaitent pas tout ce que vous souhaitez.

Il existe des êtres humains qui ne veulent pas travailler car cela leur fait peur, qui ne veulent pas être responsable car cela leur fait peur, qui ne veulent pas vivre car cela leur fait peur.

Je vous le dis, vous me faites peur. J'ai peur de vous, de votre mode de fonctionnement. J'ai peur de me lever au matin pour aller a un travail qui me détruit, j'ai peur de rentrer chez moi au soir pour regarder un feuilleton qui noie mes rêves dans du coton, j'ai peur d'annoncer a ma copine que j'ai été viré par un patron trop noyé dans son avidité pour en avoir quelque chose a foutre de la personne que je suis.

Moi je ne veux pas vivre dans un monde ou on souffre pour faire souffrir d'autres. Je ne veux pas vivre dans un monde ou on se suffit a soi-même en se délectant du malheur des autres.

Moi, tout ce que je veux, c'est disparaitre. Vivre ma vie ou ma non-existence loin de cette société corrompu et laide. Je ne veux pas mourir, mais je veux partir, m'effacer.

Vous êtes le poison de ma vie. Et si vous lisez ceci vous penserez surement qu'il faut m'enfermer.

Mais sachez qu'en faisant cela vous ne ferez que me rendre service.

Oui, enfermez moi! Isolez moi! Éloignez moi du mal qui me tourmente! Je veux qu'on me traite de fou car votre monde me rends fou!

Avez vous la moindre compassion pour ceux qui ont peur? Avez vous la moindre compassion pour ceux qui ne veulent pas suivre votre ligne verte?

Méditez sur vos actes. Car chacune des systèmes que vous approuverez, que vous estimez être bon pour vos prochains, détruiras la vie d'une personne que vous connaissez.

Pensez a moi, l'homme que votre système as détruit de l'intérieur.

Grâce a vous je ne suis qu'une coquille vide, perdant chaque instant un peu plus de mon esprit pour nourrir mon rêve d'être effacé. Je ne vis pas, je ne fais qu'exister la ou je ne le souhaite pas.

Cessez de trainer des âmes innocentes dans votre délire.

Vous croyez bien faire? Vous ne valez pas mieux que le Démon lui-même.

Si vous avez une quelconque compassion, pensez aux âmes que votre système reposant sur le gain d'argent par l'esclavage détruit chaque jour.

Oui, moi je ne désire pas vivre comme vous. Je ne veux pas travailler car cela m'effraie. Je ne veux pas conduire une voiture car cela m'effraie. Et surtout, je ne veux pas vous ressembler car cela m'effraie.

Je suis ERGOPHOBE. Et je vous dit merde.

***

Je trouve ce texte très intéressant Ca nous permet de (un peu) mieux te connaître et sincèrement, je ne connaissais pas cette phobie ^^ Je trouve ça courageux que tu l'aies écrite et postée ici. Maintenant, je suis d'accord avec toi, je trouve ça triste que l'on ait peur et que du coup, on fuit au lieu d'essayer de comprendre et surtout sans juger.


Edité le 04-06-2016 à 11:08:41 par Sora




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   Posté le 09-07-2016 à 18:52:13   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Notes à propos des Marines (USA):
être sniper ne veut pas dire travailler seul,il y a toujours un observateur et un tireur.
Une tenue NBC:tenue nucléaire bactério-chimique.
Les marines ont:des médecins,des infirmiers,...mais s'ils ont un problème de santé mentale,ils n'ont pas de psychologue,ils n'ont personne.
***
Armée:
Broken Arrow :nom de code pour dire qu'on a perdu une arme atomique.
=>Si vous voyez des papillons voler après une explosion de la sorte,c'est que vous ne risquez aucun danger.
Le titre du film vient du nom de code employé par le Département de la Défense des États-Unis dans le cas d'un accident impliquant une arme nucléaire ou un de ses composants mais ne créant pas de risque de guerre. En cas de vol, saisie ou perte d'une arme nucléaire comme cela a lieu dans le film, le nom de code est Empty Quiver .
John Travolta avait le choix entre incarner Vic Deakins et Riley Hale, l'acteur étant âgé de 41 ans a décidé pour la 1ère fois d'être le méchant principal. Il dira que ce film a changé sa vie.
C'est la 1ère fois que John Travolta fait le rôle de méchant.


Edité le 22-11-2017 à 10:04:30 par Sora




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Personnes célèbres:
-Erika Eiffel:qui s'est mariée avec la Tour Eiffel

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   Posté le 14-01-2018 à 14:32:26   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Parler avec les yeux
Si je vous pose une question visuelle par exemple votre couleur préférée,vos yeux vont s'orienter vers la gauche,vous sollicitez le cortexe visuel et paradoxalement vous dîtes la vérité.

Si vos yeux vont vers la droite,vous sollicitez le centre créatif du cerveau,éventuellement vous mentez.


Edité le 14-01-2018 à 14:32:49 par Sora




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Métiers

Musique
Le vocoder ou vocodeur est un dispositif électronique de traitement du signal sonore. Son nom, contraction de voice coder (« codeur de voix » en anglais), a été francisé en « vocodeur ». Il analyse les principales composantes spectrales de la voix (ou d'un autre son) et fabrique un son synthétique à partir du résultat de cette analyse.

Caissière
SABAM:sourire amabilité bonjour au revoir merci.


Edité le 25-05-2018 à 09:50:09 par Sora




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   Posté le 25-03-2018 à 11:54:47   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Bien que les personnes asexuelles ne ressentent pas d'attirance sexuelle, certaines créent ou désirent créer des relations romantiques[réf. à confirmer]12,13. Les personnes qui sont asexuelles et qui cherchent à créer des relations romantiques le font pour de multiples raisons mais elles ne sont pas attirées sexuellement par leurs partenaires.

Le langage utilisé pour spécifier ces attirances est le suivant :
Hétéroromantique : attirance romantique pour les personnes d'un sexe différent. Il s'agit de l'aspect romantique de l'hétérosexualité ;
Homoromantique : attirance romantique pour les personnes d'un même sexe. Il s'agit de l'aspect romantique de l'homosexualité ;
Biromantique : attirance romantique à la fois homoromantique et hétéroromantique (pas nécessairement en même temps). Il s'agit de l'aspect romantique de la bisexualité ;
Panromantique : attirance romantique pour toutes les personnes, indépendamment de leur sexe. Il s'agit de l'aspect romantique de la pansexualité ;
Aromantique : absence d'attirance romantique.

***

Hétérosexuel
Homosexuel
Bisexuel
Pansexuel
Asexuel
Homophobie

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   Posté le 14-10-2018 à 13:53:30   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

À partir de quand est-on surefficient mental?

«Je pense trop»: cette phrase, vous vous la dites peut-être souvent… trop souvent! Vous en avez marre de ce cerveau qui bouillonne en permanence. Si c’est le cas, ces deux livres vous aideront sûrement à y voir plus clair. Christel Petitcollin, Conseil et Formatrice en communication et développement personnel, s’est penchée sur ce qu’elle appelle les surefficients mentaux.

J’ai l’impression d’entendre souvent dans mon entourage des gens se plaindre car ils avaient cogité toute la nuit. À partir de quand est-on alors réellement surefficient mental?
«Il y a bien entendu l’aspect ‘trop penser’. En réalité, on pense trop quand on commence à en souffrir. Ça ne viendrait pas à l’idée à une majorité de personnes de dire qu’elles pensent trop. L’autre caractéristique est que la pensée est complexe et arborescente. Être surefficient, c’est à partir du moment où chaque idée que l’on a débouche sur dix autres idées qui débouchent sur dix autres idées… C’est une espèce de foisonnement sans fin.»

C’est donc cette pensée arborescente qui caractérise le surefficient mental?
«Exactement. Je le vois dans les foires du livre: les gens qui ne pensent pas trop ne se sentent pas du tout concernés par le livre. Les gens qu’ils le sont doutent, les gens qui sont sûrs de ne pas l’être le savent.»
Est-ce la même chose d’être surefficient et haut potentiel?
«On commence à se rendre compte que dans les hauts potentiels, il y a non seulement ceux qui ont une pensée linéaire mais également ceux qui ont une pensée dite complexe. On regroupe sous le terme ‘haut potentiel’ ces deux populations. On commence aussi à se rendre compte que les surefficients ratent les tests de QI. En réalité, les tests sont conçus de manière à ce qu’il y ait une réponse à une question. Or pour le surefficient mental, une question apporte dix réponses. Ils ont donc neuf chances sur dix de rater. Les surefficients sont par ailleurs hyperémotifs, et les tests en eux-mêmes les bouleversent. En plus, ils sont chronométrés, donc ça les stresse. Ils sont dans des conditions émotionnelles et affectives qui les font rater les tests de QI. À la fois, ils pourraient faire partie des hauts potentiels mais comme ce sont des HP complexes, les tests de QI ne sont pas représentatifs pour eux.»

D’après vos livres, il existe plusieurs profils. Mais ils sont tous caractérisés par une très grande sensibilité.
«L’hyperesthésie est la première caractéristique qui définit un surefficient. L’individu a alors les cinq sens très développés, très en alerte et toujours en éveil. Les surefficients ne peuvent pas ne pas capter les choses, ils n’ont pas le ‘sélecteur’ qui les trie.»
Cela ne concerne pas forcément tous les sens.
«C’est compliqué… Les surefficients ne savent pas comment les autres perçoivent le monde. C’est donc difficile de savoir quel sens est plus développé et s’il y en a qu’un seul ou plusieurs. Dans tous les cas, ils ont le sens du détail plus que les normaux pensants. Ils ont une audition plus développée, sont plus sensibles au chaud-froid… Jean-Claude Van Damme dit ‘Je suis aware’. Pour moi, c’est être hyperesthésique. Il pense que tout le monde peut être ‘aware’ mais il fait erreur en pensant que les normaux pensants le sont. Il dit aussi: ‘quand t’es con, tu ne sais pas que tu es con. Mais quand tu n’es pas con, tu sais que des fois, t’es con’. En fait, plus on est intelligents, moins on sait qu’on l’est. C’est pour ça que le terme de surdoué pose problème aux surefficients. Ils ne se reconnaissent pas comme étant intelligents.»

Par ailleurs, être surefficient ne sous-entend pas pour autant faire de grandes études.
«Comme les études ne sont pas adaptées à leur cerveau, ils ont même plus de chances d’être en échec scolaire.»

Mais ça ne veut pas dire non plus que si vous êtes surefficient, vous êtes forcément en échec scolaire. Ce n’est donc pas facile de se reconnaître dans ce profil.
«Oui et non. Disons que si vous vous sentez hypersensible, si vous avez l’impression d’avoir une pensée qui ne s’arrête jamais et qui part en étoile, si vous vous savez très empathique, vous avez donc beaucoup de chances d’être surefficient mental.»

Vous expliquez, dans vos livres, que le surefficient est créatif mais ne sait pas forcément qu’il est.
«Il faut pour cela revenir à la base et voir comment à l’école primaire, on asphyxie la créativité des enfants. S’ils étaient créatifs au début, ils ne s’en rappellent peut-être même plus. Ce qui devient prégnant dès la petite école, c’est l’ennui. Les cerveaux surefficients commencent très vite à s’ennuyer et traversent la vie en s’ennuyant. Les manques de créativité, de stimulation, d’apprentissage les plongent dans un ennui complexe. C’est là qu’ils perdent leur créativité.»

L’école joue donc un rôle important.
«On sait que l’école d’aujourd’hui n’est plus du tout adaptée aux enfants. On dit qu’elle sert plus à formater qu’à réellement instruire. Il y aurait un véritable besoin de réformer l’école en profondeur pour que les enfants qui pensent trop ne s’y ennuient pas et pour que les individus à cerveau complexe trouvent aussi leur place. En France, certaines grandes écoles, en sciences politiques par exemple, commencent à s’interroger sur la trop grande conformité des élèves qu’elles recrutent et le manque d’esprit innovant et créatif. Elles commencent à mettre en place des recrutements parallèles. Il y a un début de prise de conscience du problème et de ce gâchis.»

Maïté Hamouchi

Source:
https://www.msn.com/fr-be/lifestyle/bien-etre/à-partir-de-quand-est-on-surefficient-mental/ar-BBOlBnO?ocid=spartandhp
***
https://adultehp.ch/etre-surefficient.shtml


Edité le 14-10-2018 à 13:56:20 par Sora




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Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Par Guillaume Lecaplain — 25 janvier 2018 à 18:42

Le sigle désignant les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles n'en finit plus de s'étendre. Mais à quoi correspondent toutes ses lettres ? «Libération» fait le point.
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Une femme qui aime les femmes, un homme qui aime les hommes, OK, on maîtrise : une lesbienne, un gay. Mais un homme né femme, et qui aime les femmes ? Et une personne qui ne se définit ni comme homme, ni comme femme ? Et une personne qui n’a aucune sexualité ? Comment les définir ?
Ces catégories bien précises, qui peuvent par ailleurs avoir des revendications différentes, sont souvent regroupées dans le même sac du sigle LGBT (lesbienne gay bi trans), qui a remplacé dès le début des années 90 le terme «gay» jugé trop restrictif. Les «revendications gay» ou la «culture gay» n’embrassaient pas tout le spectre des personnes non hétérosexuelles, laissant notamment croire que, chez les homos, il n’y avait que des hommes. «On se bat pour dire LGBT ; parler de communauté gay est un raccourci, une facilité de penser», explique Mathieu Brancourt, de l’association des journalistes LGBT (AJL). Le sigle LGBT «permet de désigner une orientation sexuelle [LGB] mais aussi une identité de genre [T]». Pour qu’il soit efficace, continue-t-il, LGBT «doit être explicité à chaque fois» par les journalistes.
Si LGBT paraît donc aujourd’hui largement adopté (c’est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l’association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l’extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l’ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).
Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :
L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.
G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.
B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.
T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d’instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d’inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l’AJL, dans son «kit à l’usage des rédactions».
Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.
I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l’intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.
A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s’engager dans des relations sexuelles», explique l’association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d’attirance physique.
+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).
Et à Libération ?
Aujourd’hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.
Source:
https://www.liberation.fr/france/2018/01/25/mais-ca-veut-dire-quoi-lgbtqia_1625090
***
Agenre. Niveau genre, il y a ceux que tout le monde connait: homme et femme (ou mâle et femelle, bien que ce ne soit pas des termes qu'on utilise souvent pour des humains). Mais il y a plein d'autres genres au milieu. Agenre est l'un d'eux. Ca veut dire que je ne me sens ni femme, ni homme. Ca vaut pour 90% du temps. Les 10% restants, c'est généralement dû aux attentes de la société, puisque mon corps est celui d'une femme, donc ce sont des complexes plus qu'autre chose.
Genderqueer (non-binaire et au genre qui peut changer avec le temps -- différent de gender fluid qui peut être différent d'un jour à l'autre.
***
Sapiosexualité: en effet, Le terme « sapiosexuel » est relativement nouveau, ce qui est connu comme néologisme. Il est composé de la racine latine sapio-, pour sapiens, et de l'adjectif -sexuel, pour former sapiosexuel, celui qui trouve que l'intelligence est la caractéristique la plus attirante sexuellement chez l'autre.


Edité le 02-09-2019 à 21:59:04 par Sora




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Mythe du self-made man
Avec de la modération et en travaillant dur,un individu obtient toujours le succès et le prospérité.

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"La femme mûre ne domine pas, elle touche. Elle ne provoque pas, elle est provocante. Elle n'est pas intelligente, elle est sage. Elle ne s'insinue pas, elle montre subtilement le chemin. Elle n'est pas pressée, elle attend le bon moment. Elle ne vole pas, elle flotte. Elle ne se soucie pas de la quantité, elle préfère la qualité. Elle ne voit pas, elle regarde. Elle ne marche pas, elle se promène. Elle n'est pas exigeante, elle aime juste savourer. Elle ne juge pas, elle analyse. Elle ne réconforte pas, elle réchauffe le coeur. Elle ne cherche pas, elle éveille les sens. Elle n'est pas exigeante, elle est sélective. Elle ne brille pas, elle illumine. Elle n'aime pas être regardée, elle préfère être écoutée. Elle ne devine pas, elle perçoit. Elle ne parle pas de sexe, elle est maître dans l'art de l'amour. Elle n'est pas facile, elle est flexible. Elle ne commande pas, elle gère. Elle ne renaît pas, elle est en floraison constante.
Et enfin la femme mûre est un ensemble de toutes les beautés possibles car c'est une femme ....
" by H.B.S..

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https://www.flair.be/fr/lifestyle/situations-plus-jeune-que-leur-age/?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR35jWagcpoCzT-ZuaqAkkCERNXOL0dG3ooMRKp531lPagIAwt_V8_L7OKc#Echobox=1602859213

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« L’identité de genre » c’est plus approprié n’est pas un mode de vie ou une théorie c’est une appellation qui se réfère au faite de se sentir homme, femme, ni l’un ni l’autre ou les deux. (A ne pas confondre avec orientation sexuelle )

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Vous pleurez devant les films&#8239;? C'est bon signe&#8239;!


Pleurer devant un film ou en écoutant une musique serait le signe d’une grande empathie et d’une intelligence émotionnelle.

Impossible de ne pas verser une larme devant le Roi Lion ? Chaque épisode de Grey’s Anatomy est une épreuve ? Vous luttez sans cesse contre vos émotions au cinéma ?

Félicitations ! Vous êtes une belle personne.

L’ocytocine, responsable de vos larmes
Les scènes ou les musiques émouvantes entraînent un pic d’ocytocine dans le sang. L’ocytocine est souvent décrite comme étant l’hormone du bonheur. C’est aussi l’hormone de l’empathie. Verser une petite larme serait donc le signe que vous parvenez à vous mettre à la place de l’autre, à comprendre ce qu’il traverse.


De nombreuses qualités
Les personnes facilement émues sont donc empathiques, généreuses et altruistes. Et non pas faibles comme on l’a longtemps pensé. En plus, oser pleurer en public prouve une certaine confiance en soi.

Au contraire, les personnes qui ne ressentent aucune émotion face à une jolie scène ou un moment triste seraient considérées comme narcissiques et égoïstes. Donc n’hésitez plus, lâchez vos émotions !

Les larmes de mémoire
Notons aussi que certains individus réagissent plus fortement parce que la scène qu’ils regardent ou la musique qu’ils écoutent fait écho en eux. Il suffit que ces personnes traversent une épreuve de deuil pour pleurer devant une scène d’enterrement ou une rupture pour s’identifier à la chanson "All by myself" de Céline Dion.

Ces larmes-là sont appelées les "larmes de mémoire" car elles ravivent des sentiments vécus.

Source:
https://www.nrj.be/article/1399/vous-pleurez-devant-les-films-?-cest-bon-signe&fbclid=IwAR0JSxw_Ijw22k8U9OhgO7psHQwcOyc92YoWYMR0moTlfzn6hOZD-cw2S4o


Edité le 22-04-2021 à 21:11:43 par Sora




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Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?

Si LGBT paraît donc aujourd'hui largement adopté (c'est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l'association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l'extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l'ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).

Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :

L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.

G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.

B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.

T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d'instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d'inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l'AJL, dans son «kit à l'usage des rédactions».

Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.

I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l'intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.

A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s'engager dans des relations sexuelles», explique l'association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d'attirance physique.

+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).

Et à «Libé» ?
Aujourd'hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.

Source:
https://www.liberation.fr/france/2018/01/25/mais-ca-veut-dire-quoi-lgbtqia_1625090/

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