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Sora
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?

Si LGBT paraît donc aujourd'hui largement adopté (c'est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l'association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l'extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l'ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).

Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :

L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.

G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.

B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.

T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d'instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d'inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l'AJL, dans son «kit à l'usage des rédactions».

Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.

I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l'intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.

A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s'engager dans des relations sexuelles», explique l'association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d'attirance physique.

+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).

Et à «Libé» ?
Aujourd'hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.

Source:
https://www.liberation.fr/france/2018/01/25/mais-ca-veut-dire-quoi-lgbtqia_1625090/
Sora
Vous pleurez devant les films ? C'est bon signe !


Pleurer devant un film ou en écoutant une musique serait le signe d’une grande empathie et d’une intelligence émotionnelle.

Impossible de ne pas verser une larme devant le Roi Lion ? Chaque épisode de Grey’s Anatomy est une épreuve ? Vous luttez sans cesse contre vos émotions au cinéma ?

Félicitations ! Vous êtes une belle personne.

L’ocytocine, responsable de vos larmes
Les scènes ou les musiques émouvantes entraînent un pic d’ocytocine dans le sang. L’ocytocine est souvent décrite comme étant l’hormone du bonheur. C’est aussi l’hormone de l’empathie. Verser une petite larme serait donc le signe que vous parvenez à vous mettre à la place de l’autre, à comprendre ce qu’il traverse.


De nombreuses qualités
Les personnes facilement émues sont donc empathiques, généreuses et altruistes. Et non pas faibles comme on l’a longtemps pensé. En plus, oser pleurer en public prouve une certaine confiance en soi.

Au contraire, les personnes qui ne ressentent aucune émotion face à une jolie scène ou un moment triste seraient considérées comme narcissiques et égoïstes. Donc n’hésitez plus, lâchez vos émotions !

Les larmes de mémoire
Notons aussi que certains individus réagissent plus fortement parce que la scène qu’ils regardent ou la musique qu’ils écoutent fait écho en eux. Il suffit que ces personnes traversent une épreuve de deuil pour pleurer devant une scène d’enterrement ou une rupture pour s’identifier à la chanson "All by myself" de Céline Dion.

Ces larmes-là sont appelées les "larmes de mémoire" car elles ravivent des sentiments vécus.

Source:
https://www.nrj.be/article/1399/vous-pleurez-devant-les-films-?-cest-bon-signe&fbclid=IwAR0JSxw_Ijw22k8U9OhgO7psHQwcOyc92YoWYMR0moTlfzn6hOZD-cw2S4o


Edité le 22-04-2021 à 21:11:43 par Sora


Sora
« L’identité de genre » c’est plus approprié n’est pas un mode de vie ou une théorie c’est une appellation qui se réfère au faite de se sentir homme, femme, ni l’un ni l’autre ou les deux. (A ne pas confondre avec orientation sexuelle )
Sora
https://www.flair.be/fr/lifestyle/situations-plus-jeune-que-leur-age/?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR35jWagcpoCzT-ZuaqAkkCERNXOL0dG3ooMRKp531lPagIAwt_V8_L7OKc#Echobox=1602859213
Sora
"La femme mûre ne domine pas, elle touche. Elle ne provoque pas, elle est provocante. Elle n'est pas intelligente, elle est sage. Elle ne s'insinue pas, elle montre subtilement le chemin. Elle n'est pas pressée, elle attend le bon moment. Elle ne vole pas, elle flotte. Elle ne se soucie pas de la quantité, elle préfère la qualité. Elle ne voit pas, elle regarde. Elle ne marche pas, elle se promène. Elle n'est pas exigeante, elle aime juste savourer. Elle ne juge pas, elle analyse. Elle ne réconforte pas, elle réchauffe le coeur. Elle ne cherche pas, elle éveille les sens. Elle n'est pas exigeante, elle est sélective. Elle ne brille pas, elle illumine. Elle n'aime pas être regardée, elle préfère être écoutée. Elle ne devine pas, elle perçoit. Elle ne parle pas de sexe, elle est maître dans l'art de l'amour. Elle n'est pas facile, elle est flexible. Elle ne commande pas, elle gère. Elle ne renaît pas, elle est en floraison constante.
Et enfin la femme mûre est un ensemble de toutes les beautés possibles car c'est une femme ....
" by H.B.S..
Sora
Mythe du self-made man
Avec de la modération et en travaillant dur,un individu obtient toujours le succès et le prospérité.
Sora
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Par Guillaume Lecaplain — 25 janvier 2018 à 18:42

Le sigle désignant les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles n'en finit plus de s'étendre. Mais à quoi correspondent toutes ses lettres ? «Libération» fait le point.
Mais ça veut dire quoi, LGBTQIA+ ?
Une femme qui aime les femmes, un homme qui aime les hommes, OK, on maîtrise : une lesbienne, un gay. Mais un homme né femme, et qui aime les femmes ? Et une personne qui ne se définit ni comme homme, ni comme femme ? Et une personne qui n’a aucune sexualité ? Comment les définir ?
Ces catégories bien précises, qui peuvent par ailleurs avoir des revendications différentes, sont souvent regroupées dans le même sac du sigle LGBT (lesbienne gay bi trans), qui a remplacé dès le début des années 90 le terme «gay» jugé trop restrictif. Les «revendications gay» ou la «culture gay» n’embrassaient pas tout le spectre des personnes non hétérosexuelles, laissant notamment croire que, chez les homos, il n’y avait que des hommes. «On se bat pour dire LGBT ; parler de communauté gay est un raccourci, une facilité de penser», explique Mathieu Brancourt, de l’association des journalistes LGBT (AJL). Le sigle LGBT «permet de désigner une orientation sexuelle [LGB] mais aussi une identité de genre [T]». Pour qu’il soit efficace, continue-t-il, LGBT «doit être explicité à chaque fois» par les journalistes.
Si LGBT paraît donc aujourd’hui largement adopté (c’est le terme par exemple employé par le gouvernement), on voit aussi apparaître des variantes, comme LGBTQ (recommandé aux Etats-Unis par l’association LGBT de critique des médias Glaad), LGBT+ ou l’extension LGBTQIA+. Ces termes un peu barbares ont tout de même le mérite de représenter l’ensemble des identités possibles rassemblées (au moins) par un point commun : elles ne correspondent pas à la sexualité majoritaire dans laquelle un homme (né homme) a un rapport avec une femme (née femme).
Mais à quoi correspondent toutes les lettres de ces sigles ? Examinons-les une à une :
L comme lesbienne. Une femme qui a des relations sexuelles avec une femme.
G comme gay. Un homme qui a des relations sexuelles avec un homme.
B comme bi. Une personne qui a des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.
T comme trans. Une personne née homme ou née femme et qui ne se sent pas appartenir à ce genre. «Le terme transsexuel-le est parfois utilisé pour désigner plus spécifiquement les personnes trans opéré-e-s. Les personnes non-opéré-e-s peuvent être appelé-e-s trangenres. Pour éviter d’instaurer une hiérarchie, on préférera le terme personnes trans, qui permet d’inclure la multiplicité des parcours et des identités», détaille l’AJL, dans son «kit à l’usage des rédactions».
Q comme queer. Sa définition est un peu plus floue, mais le terme est finalement très simple à comprendre : une personne se dit queer quand elle ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle, ou ne se sent pas appartenir à un genre défini.
I comme intersexe. Les personnes intersexes ne sont nées ni homme ni femme. Il existe plusieurs situations qui peuvent mener à l’intersexuation. Gaëtan Schmitt par exemple, que Libération avait rencontré en 2017, est né avec un micropénis et un vagin rudimentaire. En France, environ 200 enfants seraient concernés sur les 800 000 naissances annuelles.
A comme asexuel. «Les personnes asexuelles ne ressentent pas le besoin de s’engager dans des relations sexuelles», explique l’association pour la visibilité asexuelle. Elles peuvent avoir des relations amoureuses mais revendiquent le droit à ne pas ressentir d’attirance physique.
+ comme : et tous les autres. Aux Etats-Unis, le sigle le plus long est LGBTTQQIAAP : lesbian, gay, bisexual, transgender, transexual, queer, questioning (des personnes qui se questionnent sur leur sexualité), intersex, asexual, allies (les alliés hétérosexuels de la cause), pansexuels (qui revendiquent une attirance pour n'importe quel genre). On voit parfois aussi en anglais apparaître un O, pour «other» (les autres).
Et à Libération ?
Aujourd’hui, le terme LGBT est le plus couramment utilisé et, à ce titre, correspond le mieux pour décrire la situation de ces personnes et de leurs revendications. Nous y ajoutons un + pour englober toutes les autres réalités.
Source:
https://www.liberation.fr/france/2018/01/25/mais-ca-veut-dire-quoi-lgbtqia_1625090
***
Agenre. Niveau genre, il y a ceux que tout le monde connait: homme et femme (ou mâle et femelle, bien que ce ne soit pas des termes qu'on utilise souvent pour des humains). Mais il y a plein d'autres genres au milieu. Agenre est l'un d'eux. Ca veut dire que je ne me sens ni femme, ni homme. Ca vaut pour 90% du temps. Les 10% restants, c'est généralement dû aux attentes de la société, puisque mon corps est celui d'une femme, donc ce sont des complexes plus qu'autre chose.
Genderqueer (non-binaire et au genre qui peut changer avec le temps -- différent de gender fluid qui peut être différent d'un jour à l'autre.
***
Sapiosexualité: en effet, Le terme « sapiosexuel » est relativement nouveau, ce qui est connu comme néologisme. Il est composé de la racine latine sapio-, pour sapiens, et de l'adjectif -sexuel, pour former sapiosexuel, celui qui trouve que l'intelligence est la caractéristique la plus attirante sexuellement chez l'autre.


Edité le 02-09-2019 à 21:59:04 par Sora


Sora
À partir de quand est-on surefficient mental?

«Je pense trop»: cette phrase, vous vous la dites peut-être souvent… trop souvent! Vous en avez marre de ce cerveau qui bouillonne en permanence. Si c’est le cas, ces deux livres vous aideront sûrement à y voir plus clair. Christel Petitcollin, Conseil et Formatrice en communication et développement personnel, s’est penchée sur ce qu’elle appelle les surefficients mentaux.

J’ai l’impression d’entendre souvent dans mon entourage des gens se plaindre car ils avaient cogité toute la nuit. À partir de quand est-on alors réellement surefficient mental?
«Il y a bien entendu l’aspect ‘trop penser’. En réalité, on pense trop quand on commence à en souffrir. Ça ne viendrait pas à l’idée à une majorité de personnes de dire qu’elles pensent trop. L’autre caractéristique est que la pensée est complexe et arborescente. Être surefficient, c’est à partir du moment où chaque idée que l’on a débouche sur dix autres idées qui débouchent sur dix autres idées… C’est une espèce de foisonnement sans fin.»

C’est donc cette pensée arborescente qui caractérise le surefficient mental?
«Exactement. Je le vois dans les foires du livre: les gens qui ne pensent pas trop ne se sentent pas du tout concernés par le livre. Les gens qu’ils le sont doutent, les gens qui sont sûrs de ne pas l’être le savent.»
Est-ce la même chose d’être surefficient et haut potentiel?
«On commence à se rendre compte que dans les hauts potentiels, il y a non seulement ceux qui ont une pensée linéaire mais également ceux qui ont une pensée dite complexe. On regroupe sous le terme ‘haut potentiel’ ces deux populations. On commence aussi à se rendre compte que les surefficients ratent les tests de QI. En réalité, les tests sont conçus de manière à ce qu’il y ait une réponse à une question. Or pour le surefficient mental, une question apporte dix réponses. Ils ont donc neuf chances sur dix de rater. Les surefficients sont par ailleurs hyperémotifs, et les tests en eux-mêmes les bouleversent. En plus, ils sont chronométrés, donc ça les stresse. Ils sont dans des conditions émotionnelles et affectives qui les font rater les tests de QI. À la fois, ils pourraient faire partie des hauts potentiels mais comme ce sont des HP complexes, les tests de QI ne sont pas représentatifs pour eux.»

D’après vos livres, il existe plusieurs profils. Mais ils sont tous caractérisés par une très grande sensibilité.
«L’hyperesthésie est la première caractéristique qui définit un surefficient. L’individu a alors les cinq sens très développés, très en alerte et toujours en éveil. Les surefficients ne peuvent pas ne pas capter les choses, ils n’ont pas le ‘sélecteur’ qui les trie.»
Cela ne concerne pas forcément tous les sens.
«C’est compliqué… Les surefficients ne savent pas comment les autres perçoivent le monde. C’est donc difficile de savoir quel sens est plus développé et s’il y en a qu’un seul ou plusieurs. Dans tous les cas, ils ont le sens du détail plus que les normaux pensants. Ils ont une audition plus développée, sont plus sensibles au chaud-froid… Jean-Claude Van Damme dit ‘Je suis aware’. Pour moi, c’est être hyperesthésique. Il pense que tout le monde peut être ‘aware’ mais il fait erreur en pensant que les normaux pensants le sont. Il dit aussi: ‘quand t’es con, tu ne sais pas que tu es con. Mais quand tu n’es pas con, tu sais que des fois, t’es con’. En fait, plus on est intelligents, moins on sait qu’on l’est. C’est pour ça que le terme de surdoué pose problème aux surefficients. Ils ne se reconnaissent pas comme étant intelligents.»

Par ailleurs, être surefficient ne sous-entend pas pour autant faire de grandes études.
«Comme les études ne sont pas adaptées à leur cerveau, ils ont même plus de chances d’être en échec scolaire.»

Mais ça ne veut pas dire non plus que si vous êtes surefficient, vous êtes forcément en échec scolaire. Ce n’est donc pas facile de se reconnaître dans ce profil.
«Oui et non. Disons que si vous vous sentez hypersensible, si vous avez l’impression d’avoir une pensée qui ne s’arrête jamais et qui part en étoile, si vous vous savez très empathique, vous avez donc beaucoup de chances d’être surefficient mental.»

Vous expliquez, dans vos livres, que le surefficient est créatif mais ne sait pas forcément qu’il est.
«Il faut pour cela revenir à la base et voir comment à l’école primaire, on asphyxie la créativité des enfants. S’ils étaient créatifs au début, ils ne s’en rappellent peut-être même plus. Ce qui devient prégnant dès la petite école, c’est l’ennui. Les cerveaux surefficients commencent très vite à s’ennuyer et traversent la vie en s’ennuyant. Les manques de créativité, de stimulation, d’apprentissage les plongent dans un ennui complexe. C’est là qu’ils perdent leur créativité.»

L’école joue donc un rôle important.
«On sait que l’école d’aujourd’hui n’est plus du tout adaptée aux enfants. On dit qu’elle sert plus à formater qu’à réellement instruire. Il y aurait un véritable besoin de réformer l’école en profondeur pour que les enfants qui pensent trop ne s’y ennuient pas et pour que les individus à cerveau complexe trouvent aussi leur place. En France, certaines grandes écoles, en sciences politiques par exemple, commencent à s’interroger sur la trop grande conformité des élèves qu’elles recrutent et le manque d’esprit innovant et créatif. Elles commencent à mettre en place des recrutements parallèles. Il y a un début de prise de conscience du problème et de ce gâchis.»

Maïté Hamouchi

Source:
https://www.msn.com/fr-be/lifestyle/bien-etre/à-partir-de-quand-est-on-surefficient-mental/ar-BBOlBnO?ocid=spartandhp
***
https://adultehp.ch/etre-surefficient.shtml


Edité le 14-10-2018 à 13:56:20 par Sora


Sora
Bien que les personnes asexuelles ne ressentent pas d'attirance sexuelle, certaines créent ou désirent créer des relations romantiques[réf. à confirmer]12,13. Les personnes qui sont asexuelles et qui cherchent à créer des relations romantiques le font pour de multiples raisons mais elles ne sont pas attirées sexuellement par leurs partenaires.

Le langage utilisé pour spécifier ces attirances est le suivant :
Hétéroromantique : attirance romantique pour les personnes d'un sexe différent. Il s'agit de l'aspect romantique de l'hétérosexualité ;
Homoromantique : attirance romantique pour les personnes d'un même sexe. Il s'agit de l'aspect romantique de l'homosexualité ;
Biromantique : attirance romantique à la fois homoromantique et hétéroromantique (pas nécessairement en même temps). Il s'agit de l'aspect romantique de la bisexualité ;
Panromantique : attirance romantique pour toutes les personnes, indépendamment de leur sexe. Il s'agit de l'aspect romantique de la pansexualité ;
Aromantique : absence d'attirance romantique.

***

Hétérosexuel
Homosexuel
Bisexuel
Pansexuel
Asexuel
Homophobie
Sora
Métiers

Musique
Le vocoder ou vocodeur est un dispositif électronique de traitement du signal sonore. Son nom, contraction de voice coder (« codeur de voix » en anglais), a été francisé en « vocodeur ». Il analyse les principales composantes spectrales de la voix (ou d'un autre son) et fabrique un son synthétique à partir du résultat de cette analyse.

Caissière
SABAM:sourire amabilité bonjour au revoir merci.


Edité le 25-05-2018 à 09:50:09 par Sora


 
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