Entre Lumière et Ténèbres
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Sora
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   Posté le 20-04-2015 à 13:46:55   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

La maman s'appelle:madame Dumbo.

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   Posté le 26-12-2017 à 11:40:18   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Selon la Chronique:
Le plus court des dessins animés des studios de Mickey.
L'univers cartoon est de nouveau d'actualité et s'inscrit dans la lignée du savoir-faire des artistes des studios Disney, largement développé dans leurs courts-métrages.
Monsieur Loyal:maître du cirque.
Casey Junior est, enfin, un des personnages secondaires les plus remarquables. Apparu dans Le Dragon Récalcitrant, il est, en effet, un exemple parfait de personnification, par l'animation, d'un objet.
La séquence de La Parade des Éléphants Roses est également, dans un autre registre, une scène mémorable du film. Totalement surréaliste, elle porte en elle un clin d'œil à l'œuvre de Dali.
Destinée à représenter l'enivrement alcoolique, elle est tout simplement effrayante. Les couleurs vives, le rythme répétitif, le vacarme crescendo, les formes retenues sont autant d'éléments qui participent à une impression d'apocalypse sonore et visuel particulièrement dérangeante et rarissime chez Disney.
La critique encense littéralement Dumbo. Elle salue le retour de Disney à ce qu'elle attendait alors de lui : à savoir, une histoire simple et un dessin cartoon.
=>Une fois que tu es cantonné dans quelque chose,tu ne peux vraiment pas t'en sortir...
Le film est aussi une formidable réussite économique. Son faible coût rapporté à ses exceptionnelles recettes, permet ainsi à la compagnie de Mickey de se refaire une santé financière après les échecs commerciaux.
Il a contribué à la réputation de la signature de Walt Disney lui même.

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/animation/1941-dumbo.htm


Edité le 26-12-2017 à 11:47:48 par Sora




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   Posté le 30-03-2019 à 14:20:42   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Selon la Chronique:
Cette relecture de Dumbo par Tim Burton est à la fois une revisite du classique de Walt Disney de 1941 tout en étant un retour au source pour le réalisateur.
Tim Burton, pour sa part, retrouve avec lui, un univers et un ton qui ont longtemps fait le charme et la particularité de ses œuvres et que nombre de spectateurs lui reprochaient d'avoir perdus.
Ainsi, le Dumbo de 2019 conserve toute la naïveté et le charme du film d'animation mais lui apporte une approche différente, un point de vue tourné vers les personnages humains et une morale contemporaine.
L'origine de l'histoire remonte ainsi à 1939 quand le couple Helen Aberson et Harold Pearl, en instance de divorce, écrivent une petite aventure intitulée, Dumbo the Flying Elephant.
Cinquième long-métrage des studios Disney, Dumbo sort finalement au cinéma le 23 octobre 1941.
Définitivement ancré dans l'inconscient collectif, il appartient à l'envieuse catégorie des films événements qui ont contribué à la réputation de la signature de Walt Disney lui-même.
La symbolique de la différence et du rejet est aussi très forte.
La formule est toute trouvée : une nouvelle adaptation d'un classique de la littérature enfantine, déjà traité par le passé par les studios, avec la vision, si possible, d'un réalisateur de renom.
Il faut dire que ce dernier était décidément trop court pour être adapté tel quel. Mais le scénariste a gardé son message principal : celui de l'apprentissage de la confiance en soi.
Il aborde aussi la notion où tout un chacun doit savoir trouver au plus profond de lui ce qui fait sa véritable beauté, même si elle constitue justement la différence que certains trouveront anormale ou laide.
Le scénariste cherche ainsi à changer de point de vue par rapport au film de 1941 en explorant la façon dont les humains qui entourent Dumbo réagissent au fait que l'éléphant sache voler tout en insistant plus sur le contexte historique dans lequel se déroule le film, celui de l'âge d'or des cirques.
S'enfuir, tout abandonner, pour rejoindre un spectacle ambulant est une idée qui hante Tim Burton souvent même s'il n'aime pas certains éléments du cirque comme les animaux captifs, les clowns ou les défis quotidiens contre la mort menés par les acrobates.
Par contre, l'envie de faire partie d'une famille de rejetés et d'iconoclastes qui n'arrivent pas à rentrer dans le moule de la société est puissante chez lui.
Dumbo marque à la fois un défi et une zone de confort pour Tim Burton.
Et le pari est réussi ! Le nouveau Dumbo arrive, en effet, à rendre hommage au classique d'animation, par petites touches, sans forcément le singer mais en proposant une solide relecture.
La démarche débute d'ailleurs sur une ouverture très inspirée avec le train Casey Junior qui va de ville en ville transportant le cirque et ses saltimbanques.
Les cinéphiles reconnaîtront ainsi la petite souris Timothée ou encore la cigogne qui s'invite judicieusement dans une séquence-clé de façon très poétique.
À chaque fois, la réinterprétation des séquences est superbement pensée et mise en image s'éloignant de l'aspect surréaliste du film d'animation tout en proposant un spectacle plus merveilleux.
Enfin, un dernier élément primordial du dessin animé, le symbole de la plume, se voit également réutilisé mais d'ailleurs de manière plus intensive que dans le film d'animation…
Tim Burton s'empare donc du monde de Dumbo en proposant ce qui est assurément son meilleur film à prises de vues réelles de la décennie.
Le spectateur sent, en effet, de nouveau, vraiment le réalisateur inspiré. Il offre ainsi un film familial magnifique, empli de poésie et d'un brin de naïveté, avec de superbes messages.
Comme avec Edward aux Mains d'Argent, il livre une ode à ce personnage hors-norme, qu'est le petit éléphanteau, moqué par tous mais qui cache un trésor au fond de lui, un don dont il ignore tout.
Comme dans Big Fish, le monde du cirque inspire le réalisateur : il fait, ni plus, ni moins qu'une déclaration d'amour à tous les phénomènes de foire qu'il croise, que cela soit la sirène enrobée, le dresseur de serpent, le magicien ou encore le colosse, homme à tout faire. Et ce ne sont pas là de simples faire-valoir ; ils assument tous un vrai rôle dans le film et la tendresse de Tim Burton à leur encontre se ressent vraiment.
L'artiste choisit aussi de changer la morale du film d'animation en livrant pas moins qu'un plaidoyer contre la cruauté de placer les animaux en cage ou de les exploiter pour dive.
Plus évident encore est sûrement le contraste qu'il veut donner entre le cirque des Frères Medici et le Dreamland grandiloquent de V.A. Vandevere. Il met ici en exergue la différence entre le petit cirque familial itinérant de province dont les années de gloire sont derrière lui avec le grand parc d'attractions clinquant et moderne. Il est difficile alors de ne pas y voir une critique formulée contre Disneyland, du moins dans son concept de proposer un lieu de divertissement fixe, tuant l'envie d'itinérance de ville en ville. Tim Burton révèle en réalité surtout qu'il préfère des lieux à taille humaine qu'il juge au final plus chaleureux. Il n'empêche : les studios Disney ont laissé une vraie liberté artistique au réalisateur.
L'acteur sait manifestement jouer au père maladroit comme il l'avait déjà montré dans la biographie fictive de Pamela L. Travers.
Les deux jeunes acteurs parviennent à se rendre attachants même s'ils ont un peu de mal à livrer un jeu varié.
À la fois amusant et touchant, il apporte beaucoup de légèreté à l'opus sachant rendre son personnage particulièrement humain.
Il est ici le vrai méchant de l'histoire qui ne cherche que la gloire et la suprématie n'hésitant pas à écraser quiconque entend lui résister ou à se débarrasser de ceux qui lui semblent inutiles.
L'acteur s'amuse de nouveau à camper un sale type tout en lui donnant une classe incroyable faisant que le spectateur adore le détester.
Ici, elle fait passer son personnage de l'artiste un peu hautaine à la femme engagée qui se laisse émouvoir par la famille Farrier et le petit éléphanteau. Elle prend pour cela un petit accent français tout à fait charmant.
Il sera aussi noté quelques endroits de Dreamland qui rappellent de vraies attractions de Walt Disney notamment le Carousel of Progress.
Tim Burton livre ici l'un de ses meilleurs films "live" depuis des années, retrouvant la poésie et le charme qui le caractérise. Hommage appuyé au film d'animation sans en être une pâle copie.

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/film/2019-dumbo.htm


Edité le 31-03-2019 à 11:30:51 par Sora




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   Posté le 01-04-2019 à 10:51:02   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Derrière le Dumbo de Disney se cache l'histoire vraie de Jumbo, le "plus grand animal au monde" martyrisé de zoos en cirques, enivré d'alcool, exploité jusqu'à l'exhibition de son squelette. Voici l'histoire de cet éléphant star, qui a promené sur son dos Churchill et Roosevelt.
***
Dans l'histoire originale de Dumbo, Timothée était un rouge-gorge, et non une souris. Des dessins préparatoires ont été réalisés pour le film de 1941, comme ce dessin de Ward Kimball, montrant l'éléphanteau accompagné d'un rouge-gorge. Il fut par la suite décidé de transformer Timothée en souris, pour ironiser sur le fait que les éléphants craignent les souris, hormis Timothée et Dumbo qui sont amis.
Source:
https://blog-disney-pixar.skyrock.com/


Edité le 20-04-2019 à 12:01:36 par Sora




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   Posté le 08-04-2020 à 14:59:01   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Films
1932 : La Monstrueuse Parade, drame américain de Tod Browning
1941 : Dumbo, dessin animé des Studios Walt Disney
1952 : Sous le plus grand chapiteau du monde, comédie dramatique américaine de Cecil B. DeMille
1986 : Barnum, téléfilm biographique américain de Lee Philips, interprété par Burt Lancaster
2002 : Gangs of New York, film dramatico-historique de Martin Scorsese, interprété par Roger Ashton-Griffiths
2003 : Big Fish, film fantastique américain de Tim Burton avec Ewan McGregor et Albert Finney
2017 : The Greatest Showman, film musical américain de Michael Gracey, interprété par Hugh Jackman
2019 : Dumbo, film fantastique de Tim Burton avec Colin Farrell, Michael Keaton et Danny DeVito.

Dumbo vient de la légende du Greatest Showman!!!

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