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 Le baby blues

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Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
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   Posté le 20-09-2011 à 14:40:57   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Titre :
le baby blues.



Motivation :
car le sujet m'intéressait, je n'en ai pas entendu parler souvent donc cela m'intéresse de l'étudier, de se renseigner sur la chose (Et je n'aimerais pas que ça m'arrive!).



Définition :
c'est une sorte de dépression qui apparaît avant l'accouchement et après la naissance de l'enfant. Elle concerne la future ou la nouvelle mère.

Le baby blues est une réaction post-natale fréquente, survenant dans les 3 à 10 jours qui suivent l'accouchement et de durée brève, de quelques heures à quelques jours. Cet état passager ne constitue pas une maladie, mais au contraire un moment de dépression nécessaire pour que s'installe la relation mère-enfant. Hypersensibilité et anxiété en sont les principaux signes et réclament avant tout une écoute attentive de la part de l'entourage.



Les causes :
la mère a eu une vie difficile : problèmes familiaux, de couple, migration, ...
OU
la dépression est rattachable à l'état intrapsychique de la future mère que la grossesse confronte à des problèmes non-résolus.

Serai-je une bonne mère ? Vais-je arriver à allaiter ?

La baisse brutale de la concentration en hormones progestatives - très élevée pendant la grossesse - ou le contrecoup des angoisses précédant l'accouchement, du regret de l'état de grossesse ou de la peur de ne pas être à la hauteur.


Cause hormonale : il s'agit de la chute brutale des concentrations en oestrogènes et progestérone dans les quelques heures qui suivent l'expulsion du placenta, concentrations qui étaient très élevées durant la grossesse. Or, ces hormones ont un véritable effet antidépresseur. Ce bouleversement hormonal entraîne une perturbation importante de l'horloge interne et des émotions.
Cause psychologique : elle est liée au contrecoup de la grossesse et de l'accouchement, qui constituent des épreuves réellement fatigantes. Les jeunes mamans souffrent d'un manque plus ou moins important de sommeil et il est bien connu que la fatigue a des répercussions émotionnelles, comme l'irritabilité, l'hypersensibilité et la crainte de ne pas arriver à faire face. Passer du statut de femme enceinte à celui de mère n'est pas toujours facile. Devenir maman suppose de nouvelles responsabilités qui peuvent inquiéter. Sera-t-on à la hauteur ? Enfin, de nombreuses femmes sont désorientées, car elles constatent un décalage entre le bébé imaginé pendant la grossesse et le bébé qu'elles ont en face d'elles.

La fatigue : après un accouchement, toutes les mères souffrent plus ou moins d’un grand manque de sommeil. Les répercussions émotionnelles dues au manque de sommeil sont bien connues : irritabilité, hypersensibilité, sentiment de ne plus pouvoir s’en sortir, colère contre le bébé ou la famille.
Essayez de dormir en même temps que votre bébé ou demandez au papa de vous aider de temps en temps. Si ce dernier râle parce qu’il travaille le lendemain et se doit d’être en forme, demandez lui de s’occuper de votre bébé le samedi matin afin que vous puissiez au moins avoir une grasse matinée dans la semaine.

Si les grands-parents de votre bébé habitent près de chez vous, n’hésitez surtout pas à leur confier votre enfant une fois par semaine (vous le déposez le soir et le reprenez le lendemain soir) ; vous aurez ainsi, une journée entière pour récupérer.

Certaines mamans hésitent souvent à confier leur enfant à ses grands-parents de peur de s’en séparer ou que ces derniers s’en occupent mal. Souvenez-vous toujours que vos parents ont su vous élever et ont été parents avant vous !

Les contraintes d’une nouvelle vie : bon nombre de femmes ne supportent pas l’idée de rester enfermées chez elles à ne rien faire. Sortez un maximum avec votre bébé ; ça vous fera la plus grand bien à tous les deux (votre petit adore découvrir le monde extérieur).
Les bouleversements hormonaux : sachez que votre taux de progestérone et d’oestrogènes qui était très élevé lors de la grossesse, chute à presque zéro dans les 3 jours qui suivent l’accouchement. Or, ces hormones possèdent un effet antidépresseur qui agit sur le cerveau. Cette chute rapide bouleverse le corps et fragilise psychiquement la femme.
L’impression de perdre le contrôle de sa vie : avant l’arrivée de bébé, il était si facile de tout gérer. Avec lui, c’est une surprise continuelle. En effet, rien ne se passe comme on l’avait prévu : le bébé hurle tout le temps et l’on ne comprend pas pourquoi. Face à cette impuissance à calmer leur bébé, certaines mamans culpabilisent en croyant être de mauvaises mères ; d’autres, au contraire, pensent qu’elles ont affaire à un bébé particulièrement difficile…
Les réactions négatives du père peuvent éxacerber le sentiment de fragilité et d’insécurité de la mère. En effet, peu de papas osent prendre les choses en main pour aider leur compagne. Si le bébé est pour sa mère déjà un étranger, pour le père ce sentiment est encore plus profond ! N’hésitez pas à déléguer à votre conjoint une ou deux responsabilités quotidiennes parmi les soins du bébé et laissez le faire seul ! (ne restez pas derrière lui à épier ses faits et gestes, faites lui confiance). Si vous vous en sentez incapable, sortez de la pièce ou de la maison.




Profil :
humeur dépressive en fonction des jours, notion de travail et non de plaisir avec le bébé, anxiété, irritabilité, perte d'appétit sans perte de poids, estomac noué, palpitations, fatigue, sensation de faiblesse, nervosité, troubles du sommeil, endormissement difficile, sensation d'être mieux avec les autres mais peur de sortir, sensation d'être tendue, irritable avec le bébé (ce qui entraine une grande culpabilité).



Les conséquences :
Il s’agit essentiellement d’une influence sur le développement psychoaffectif et comportemental de l’enfant. Les enfants de mères dépressives peuvent présenter des signes d’irritabilité ou d’anxiété avec une difficulté à se détacher de leur mère et une peur des autres. Parfois ils présentent un retard dans les apprentissages, tel le langage ou la motricité. D’autres bébés souffrent de troubles digestifs (spasmes, rejets) ou de troubles du sommeil.



Traitement / remède :
Etre attentif et les réconforter en leur expliquant que le baby blues est un événement fréquent, naturel et tout à fait dénué de gravité.
Être traitées par un psychiatre.
Tout d’abord, il faut en parler : à votre mari ou compagnon qui a le droit de comprendre ce qui se passe, à vos proches et à votre médecin. Confiez-leur vos tracas, vos peurs,... Ensuite, dormez : dans de nombreux cas, la déprime se greffe sur un manque de sommeil dû aux premières fameuses nuits. Il convient de se reposer un maximum et si vos nuits sont courtes, pensez à dormir en journée quand Bébé fait ses siestes. Enfin, ne vous laissez pas aller : enfermez-vous dans votre salle de bain et bichonnez-vous, maquillez-vous même si vous ne sortez pas,... trouvez quelques instants pour vous et rien que vous.

Organiser le retour à la maison : déléguez un maximum de choses au papa, aux grands-parents de votre enfant, ou encore à une aide ménagère.
Ne pas rester isolée : essayez de passer chaque jour un moment avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille et parlez d'autre chose que du bébé.
Programmer une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Se reposer : essayez de dormir en même temps que votre bébé.
En parler à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là : sachez également que le gynécologue ou la sage-femme ont l'habitude de cette dépression passagère chez les jeunes mamans et sauront vous rassurer.
Privilégier le contact physique avec son enfant : il est important de lui faire part de ses émotions et de ses sentiments.
Relativiser : le baby blues n'est pas une maladie, c'est une réaction normale et la plupart des femmes passent par là

Si nécessaire, la prescription d'un tranquillisant, à faible dose, permettra de calmer l'insomnie et l'anxiété de la maman.

Déléguez un maximum de choses soit au papa, soit aux grands-parents de votre enfant, soit à une aide ménagère.
Eviter de répéter au papa " tu ne m’aides jamais". Mais complimentez-le à chaque fois qu’il s’occupe du bébé :" tu es le père le plus merveilleux que je connaisse ", " regarde comme ton fils ou ta fille est ravi que tu t’occupes d’elle ou lui ", " tu ne peux pas savoir comme je suis soulagée et heureuse de pouvoir compter sur toi "…Flatter un papa lui donnera envie de faire encore plus de choses.
Essayez toujours de passer 1 à 2 heures par jour avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille…
Maintenez une partie de la maison toujours rangée. Allez y afin de vous remonter le moral
Forcez-vous à vous habiller et à vous maquiller tous les matins. Ne restez surtout pas en peignoir toute la journée car cela contribuera à vous donner une mauvaise image de vous.
Essayez de dormir ou de vous reposer en même temps que votre bébé.
Programmez-vous une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Planifiez à l’avance 3 sorties par mois avec votre conjoint (demander à une baby-sitter de bloquer pour vous 3 soirées dans le mois).
Invitez des amis qui parlent d’autre chose que du bébé
Exprimez-vous ! Parlez à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là…
Privilégiez le contact physique avec votre enfant et expliquez-lui doucement tout ce que vous ressentez
Relativisez ! Toutes les femmes passent par là !






Conclusion :


Edité le 20-09-2011 à 15:11:26 par Sora




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   Posté le 20-09-2011 à 14:42:19   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

"Bibliographie"Sources:

-http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_p%C3%A9rinatale

-http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/accouchement/index_baby_blues.htm

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Les-symptomes-du-baby-blues

-http://www.e-sante.be/baby-blues/symptome-maladie/499

-http://www.monbebe.com/rubrique/apres/apres-babyblues.php

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Tout-sur-la-depression-postnatale/Les-consequences-de-la-depression-postnatale-pour-le-bebe


Edité le 20-09-2011 à 15:11:39 par Sora




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   Posté le 23-09-2011 à 11:29:09   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Titre :
le baby blues.



Motivation :
personnel


Définition :
c'est une sorte de dépression qui apparaît avant l'accouchement et après la naissance de l'enfant. Elle concerne la future ou la nouvelle mère. C’est un état de déprime que connaissent 80% des jeunes mamans

Le baby blues est une réaction post-natale fréquente, survenant dans les 3 à 10 jours qui suivent l'accouchement et de durée brève, de quelques heures à quelques jours. Cet état passager ne constitue pas une maladie, mais au contraire un moment de dépression nécessaire pour que s'installe la relation mère-enfant. Hypersensibilité et anxiété en sont les principaux signes et réclament avant tout une écoute attentive de la part de l'entourage.



Les causes :
la mère a eu une vie difficile : problèmes familiaux, de couple, migration, ...
OU
la dépression est rattachable à l'état intrapsychique de la future mère que la grossesse confronte à des problèmes non-résolus.

Serai-je une bonne mère ? Vais-je arriver à allaiter ?

La baisse brutale de la concentration en hormones progestatives - très élevée pendant la grossesse - ou le contrecoup des angoisses précédant l'accouchement, du regret de l'état de grossesse ou de la peur de ne pas être à la hauteur.


Cause hormonale : il s'agit de la chute brutale des concentrations en oestrogènes et progestérone dans les quelques heures qui suivent l'expulsion du placenta, concentrations qui étaient très élevées durant la grossesse. Or, ces hormones ont un véritable effet antidépresseur. Ce bouleversement hormonal entraîne une perturbation importante de l'horloge interne et des émotions.
Cause psychologique : elle est liée au contrecoup de la grossesse et de l'accouchement, qui constituent des épreuves réellement fatigantes. Les jeunes mamans souffrent d'un manque plus ou moins important de sommeil et il est bien connu que la fatigue a des répercussions émotionnelles, comme l'irritabilité, l'hypersensibilité et la crainte de ne pas arriver à faire face. Passer du statut de femme enceinte à celui de mère n'est pas toujours facile. Devenir maman suppose de nouvelles responsabilités qui peuvent inquiéter. Sera-t-on à la hauteur ? Enfin, de nombreuses femmes sont désorientées, car elles constatent un décalage entre le bébé imaginé pendant la grossesse et le bébé qu'elles ont en face d'elles.

La fatigue : après un accouchement, toutes les mères souffrent plus ou moins d’un grand manque de sommeil. Les répercussions émotionnelles dues au manque de sommeil sont bien connues : irritabilité, hypersensibilité, sentiment de ne plus pouvoir s’en sortir, colère contre le bébé ou la famille.
Essayez de dormir en même temps que votre bébé ou demandez au papa de vous aider de temps en temps. Si ce dernier râle parce qu’il travaille le lendemain et se doit d’être en forme, demandez lui de s’occuper de votre bébé le samedi matin afin que vous puissiez au moins avoir une grasse matinée dans la semaine.

Si les grands-parents de votre bébé habitent près de chez vous, n’hésitez surtout pas à leur confier votre enfant une fois par semaine (vous le déposez le soir et le reprenez le lendemain soir) ; vous aurez ainsi, une journée entière pour récupérer.

Certaines mamans hésitent souvent à confier leur enfant à ses grands-parents de peur de s’en séparer ou que ces derniers s’en occupent mal. Souvenez-vous toujours que vos parents ont su vous élever et ont été parents avant vous !

Les contraintes d’une nouvelle vie : bon nombre de femmes ne supportent pas l’idée de rester enfermées chez elles à ne rien faire. Sortez un maximum avec votre bébé ; ça vous fera la plus grand bien à tous les deux (votre petit adore découvrir le monde extérieur).
Les bouleversements hormonaux : sachez que votre taux de progestérone et d’oestrogènes qui était très élevé lors de la grossesse, chute à presque zéro dans les 3 jours qui suivent l’accouchement. Or, ces hormones possèdent un effet antidépresseur qui agit sur le cerveau. Cette chute rapide bouleverse le corps et fragilise psychiquement la femme.
L’impression de perdre le contrôle de sa vie : avant l’arrivée de bébé, il était si facile de tout gérer. Avec lui, c’est une surprise continuelle. En effet, rien ne se passe comme on l’avait prévu : le bébé hurle tout le temps et l’on ne comprend pas pourquoi. Face à cette impuissance à calmer leur bébé, certaines mamans culpabilisent en croyant être de mauvaises mères ; d’autres, au contraire, pensent qu’elles ont affaire à un bébé particulièrement difficile…
Les réactions négatives du père peuvent éxacerber le sentiment de fragilité et d’insécurité de la mère. En effet, peu de papas osent prendre les choses en main pour aider leur compagne. Si le bébé est pour sa mère déjà un étranger, pour le père ce sentiment est encore plus profond ! N’hésitez pas à déléguer à votre conjoint une ou deux responsabilités quotidiennes parmi les soins du bébé et laissez le faire seul ! (ne restez pas derrière lui à épier ses faits et gestes, faites lui confiance). Si vous vous en sentez incapable, sortez de la pièce ou de la maison.




Profil :
humeur dépressive en fonction des jours, notion de travail et non de plaisir avec le bébé, anxiété, irritabilité, perte d'appétit sans perte de poids, estomac noué, palpitations, fatigue, sensation de faiblesse, nervosité, troubles du sommeil, endormissement difficile, sensation d'être mieux avec les autres mais peur de sortir, sensation d'être tendue, irritable avec le bébé (ce qui entraine une grande culpabilité). Et enfin physiquement que de bouleversements : seins douloureux, kilos en trop, peau relâchée... déprimant pour certaines. Plus enceinte et pas pour autant redevenue la femme qu’elle était, la jeune maman traverse une période où son estime et sa confiance sont en baisses



Les conséquences :
Il s’agit essentiellement d’une influence sur le développement psychoaffectif et comportemental de l’enfant. Les enfants de mères dépressives peuvent présenter des signes d’irritabilité ou d’anxiété avec une difficulté à se détacher de leur mère et une peur des autres. Parfois ils présentent un retard dans les apprentissages, tel le langage ou la motricité. D’autres bébés souffrent de troubles digestifs (spasmes, rejets) ou de troubles du sommeil.



Traitement / remède :
Etre attentif et les réconforter en leur expliquant que le baby blues est un événement fréquent, naturel et tout à fait dénué de gravité.
Être traitées par un psychiatre.
Tout d’abord, il faut en parler : à votre mari ou compagnon qui a le droit de comprendre ce qui se passe, à vos proches et à votre médecin. Confiez-leur vos tracas, vos peurs,... Ensuite, dormez : dans de nombreux cas, la déprime se greffe sur un manque de sommeil dû aux premières fameuses nuits. Il convient de se reposer un maximum et si vos nuits sont courtes, pensez à dormir en journée quand Bébé fait ses siestes. Enfin, ne vous laissez pas aller : enfermez-vous dans votre salle de bain et bichonnez-vous, maquillez-vous même si vous ne sortez pas,... trouvez quelques instants pour vous et rien que vous.

Organiser le retour à la maison : déléguez un maximum de choses au papa, aux grands-parents de votre enfant, ou encore à une aide ménagère.
Ne pas rester isolée : essayez de passer chaque jour un moment avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille et parlez d'autre chose que du bébé.
Programmer une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Se reposer : essayez de dormir en même temps que votre bébé.
En parler à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là : sachez également que le gynécologue ou la sage-femme ont l'habitude de cette dépression passagère chez les jeunes mamans et sauront vous rassurer.
Privilégier le contact physique avec son enfant : il est important de lui faire part de ses émotions et de ses sentiments.
Relativiser : le baby blues n'est pas une maladie, c'est une réaction normale et la plupart des femmes passent par là

Si nécessaire, la prescription d'un tranquillisant, à faible dose, permettra de calmer l'insomnie et l'anxiété de la maman.

Déléguez un maximum de choses soit au papa, soit aux grands-parents de votre enfant, soit à une aide ménagère.
Eviter de répéter au papa " tu ne m’aides jamais". Mais complimentez-le à chaque fois qu’il s’occupe du bébé :" tu es le père le plus merveilleux que je connaisse ", " regarde comme ton fils ou ta fille est ravi que tu t’occupes d’elle ou lui ", " tu ne peux pas savoir comme je suis soulagée et heureuse de pouvoir compter sur toi "…Flatter un papa lui donnera envie de faire encore plus de choses.
Essayez toujours de passer 1 à 2 heures par jour avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille…
Maintenez une partie de la maison toujours rangée. Allez y afin de vous remonter le moral
Forcez-vous à vous habiller et à vous maquiller tous les matins. Ne restez surtout pas en peignoir toute la journée car cela contribuera à vous donner une mauvaise image de vous.
Essayez de dormir ou de vous reposer en même temps que votre bébé.
Programmez-vous une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Planifiez à l’avance 3 sorties par mois avec votre conjoint (demander à une baby-sitter de bloquer pour vous 3 soirées dans le mois).
Invitez des amis qui parlent d’autre chose que du bébé
Exprimez-vous ! Parlez à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là…
Privilégiez le contact physique avec votre enfant et expliquez-lui doucement tout ce que vous ressentez
Relativisez ! Toutes les femmes passent par là !



-http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_p%C3%A9rinatale

-http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/accouchement/index_baby_blues.htm

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Les-symptomes-du-baby-blues

-http://www.e-sante.be/baby-blues/symptome-maladie/499

-http://www.monbebe.com/rubrique/apres/apres-babyblues.php

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Tout-sur-la-depression-postnatale/Les-consequences-de-la-depression-postnatale-pour-le-bebe

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   Posté le 23-09-2011 à 12:03:09   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Le baby blues

Titre : le baby blues. ~> A écrire au tableau.

Motivation : chacune de nous explique pourquoi elle a décidé de choisir le baby blues comme thème.

Présentation de la thématique : jeu de rôle

Le jeu de rôle commence, c'est l'histoire d'une jeune maman qui va voir un médecin, suite à son accouchement.

Elle toque.


Médecin : Entrez !

La jeune maman entre et s'assied en face du médecin.

Maman : Docteur, je n'en peux plus. Je vois tout en noir, je suis inquiète, je ne mange plus très bien, je ne dors plus assez, mes seins me font mal et je ne me sens plus bien au fond de moi... Je n'ai même plus de plaisir à m'occuper de mon bébé !!! Qu'est-ce que j'ai docteur ???

Médecin : Votre bébé... Depuis quand avez-vous accouché ?

Maman : Cela fait 7 jours maintenant. C'est grave docteur ?

Médecin : Les proportions qu'entraînent votre état risque en effet de vous poser des problèmes au quotidien, qu'il s'agisse de votre bébé ou bien de vous. Mais ne vous inquiètez pas madame, cela est tout à fait normal, vous avez le baby blues !!!

Maman : Qu'est-ce que le "baby blues" docteur ?

Médecin : C'est une sorte de dépression que les jeunes mamans ont pendant 3 à 10 jours. Mais ne vous en faîtes pas, cette dépression est brève, elle peut durer quelques heures mais dans votre cas, il s'agit de quelques jours. Et je le répète, cela est tout à fait naturel, cela n'est en aucun cas une maladie mais un état passager.

Maman : Cela peut poser un problème pour mon bébé ?

Médecin : Malheureusement, oui, si vous n'étiez pas venue me voir pour en parler, votre bébé aurait eu du mal à bien grandir. Les mères dépressives influencent beaucoup le développement psychoaffectif et comportemental de leur enfant. Cela signifie entre autre qu'il aurait eu peur d'aller à la rencontre des autres et qu'il serait toujours resté près de vous. Imaginez un enfant qui reste tout le temps avec sa maman et qui ne se fait pas d'amis, il aurait eu une vie sociable très pauvre... Il aurait eu aussi des problèmes dans les apprentissages, notammement pour étudier les langues et aussi dans la motricité. Il aurait pu également avoir des problèmes digestifs ou des troubles du sommeil. Mais, vous pouvez écarter tout ce que je viens de citer, nous allons analyser ce problème ensemble pour y remédier.

Maman : Merci docteur. Mais j'avais une question à vous poser : pourquoi ai-je cela ?

Médecin : Il existe différentes causes dûes à cet état passager. D'un point de vue hormonale, après avoir accouché, vos concentrations en oestrogènes et en progestérone a chuté. Il faut savoir que ces hormones sont des antidépresseurs et que leur concentration était très élevée pendant votre grossesse. C'est donc tout à fait normal que vous ayez des sauts d'humeur ou que vous ne pleurez pour un rien, c'est comme si vous aviez reçu un choc et que corporellement, vous ne pouviez rien y faire.

Maman : Et y a-t-il d'autres causes ?

Médecin : Bien évidemment ! La fatigue malheureusement ! Vous avez déjà fourni un gros effort en donnant naissance à votre bébé. Après ce magnifique évènement, il vous faut vous reposer et reprendre des forces. Bien sûr, le retour à la maison signifie que vous allez devoir vous occuper de votre bébé et celui-ci a un rythme différent de vous.
Votre statut également a changé, vous n'êtes plus une femme enceinte, vous êtes une maman, cela implique de nouvelles responsabilités. Notamment une perte de confiance en vous, comme vous me l'avez fait remarqué au début de cet entretient : vous vous demandez si vous allez être à la hauteur, si vous allez arriver à l'allaiter, en gros, si vous allez être une bonne mère mais sachez qu'on ne devient pas une bonne mère d'un coup de baguette magique, cela prend du temps. Aucune maman ne naît "bonne mère" dès sa naissance, on devient une bonne mère au fur et à mesure des expériences avec l'enfant. Du coup, vous avez aussi peut-être parfois l'impression que vous perdez le contrôle de votre vie, que vous êtes impuissante face à certaines choses, vous culpabilisez. Mais, cela fait partie des expériences : on tente quelque chose et si cela ne marche pas, on cherche d'autres solutions !

Maman : Très bien, mes hormones, la fatigue, mon statut qui a changé ... Tout ça joue sur mon état en ce moment, y a-t-il encore autre chose ???

Médecin : Malheureusement oui, des choses plus "profondes", plus ancrées en vous pourraient jouer un rôle sur votre état. Je vois que vous avez une peau assez bazannée, êtes-vous d'origine belge ?

Maman : Non docteur, je suis d'origine espagnole et je suis venue en Belgique pour travailler.

Médecin : Votre famille habite avec vous ?

Maman : Nan docteur, j'habite dans un petit appartement avec mon mari. Ma mère est partie de notre foyer quand j'avais l'âge de 6 ans, quant à mon père, il est resté en Espagne.

Médecin : Je vois. Et le fait que votre mère parte vous a t-elle affecté ?

Maman : Même si j'étais jeune, cela m'a affecté énormément. Elle ne s'est jamais occupée de moi. Je me suis sentie totalement délaissée et abandonnée. Heureusement, j'ai mon père et mon mari sur qui compter en cas de besoin.

Médecin : Hey bien voilà, vous venez de le dire vous-même ! Malgré votre passé qui se révèle assez tumultueux, vous avez des gens sur qui compter quand vous ne savez plus quoi faire !!!

Maman : Je ne comprends pas docteur, de quoi parlez-vous ?

Médecin : Pour vous sortir de votre baby blues, plusieurs solutions s'offrent à vous : tout d'abord, ne comptez pas que sur vous-même, donnez aussi un peu de responsabilité à votre père s'il peut venir en Belgique ou bien à votre mari. Si celui-ci a un horaire différent du vôtre, pas de problème, trouvez un compromis et discutez entre vous à propos de qui s'occupe du bébé pendant quelques temps,... N'oubliez surtout pas de leur expliquer ce qu'il vous arrive. Plus vous en parlerez en des gens auxquels vous aurez confiance plus vous trouverez d'autres solutions. Par exemple, s'être adressée à moi est une excellente initiative ! Aussi le manque de sommeil joue malheureusement énormément sur votre caractère alors, n'hésitez pas, dès que vous avez une petite pause, reposez-vous ! Ou encore mieux, quand votre bébé fait sa sieste, faites-en une également pour être en forme quand il se réveillera ! Si cela atteint votre statut de femme, ne cédez pas !!! Enfermez-vous dans votre salle de bain et bichonnez-vous !!! Cela fait parfois du bien de se retrouver seul face à soi et de prendre un moment pour nous.

Maman : Docteur, vous me demandez de ces choses ...

Médecin : Peut-être cela peut vous paraître bizarre et égoïste mais au moins, vous auriez un moment de calme pour vous retrouvez avec vous-même. N'oubliez pas que si vous avez le statut de maman qui est nouveau, vous êtes toujours et vous restez néanmoins une femme. Si jamais le travail à la maison se multiplie, n'hésitez pas à demander une aide-ménagère ! Aussi important, quelques soirs, essayez que votre compagnon s'occupe de l'enfant pour que vous puissiez voir vos amies ou ne fut-ce que sortir un petit peu,changer d'air. Aussi une chose importante à ne pas oublier, ne partagez pas que ce qui ressemble à des "corvées" avec votre bébé, je veux dire sa toilette, le nourrir, ... N'oubliez pas que c'est aussi un être humain et qu'il a besoin de réconfort, qu'il a besoin de vous. Passez des moments avec lui où vous pouvez jouer ensemble ou simplement qu'il reste dans vos bras ou à côté de vous. Et enfin, relativisez !!! Comme je vous l'ai dit, toutes les jeunes mamans passent par-là et ce n'est pas une maladie !!!

Maman : Et si tout ce que vous m'avez conseillé ne marche pas docteur ?

Médecin : S'il est nécessaire, je peux vous prescrire un tranquillisant, à faible dose, qui vous permettra de vous calmer et de retrouver un peu de sommeil. Sinon vous devrez aller voir un psychiatre mais pas de panique, on n'en est pas là !!!


Edité le 24-09-2011 à 10:04:11 par Sora




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Titre :
le baby blues.

Motivation :
personnel

Profil :
humeur dépressive en fonction des jours, notion de travail et non de plaisir avec le bébé, anxiété, irritabilité, perte d'appétit sans perte de poids, estomac noué, palpitations, fatigue, sensation de faiblesse, nervosité, troubles du sommeil, endormissement difficile, sensation d'être mieux avec les autres mais peur de sortir, sensation d'être tendue, irritable avec le bébé (ce qui entraine une grande culpabilité). Et enfin physiquement que de bouleversements : seins douloureux, kilos en trop, peau relâchée... déprimant pour certaines. Plus enceinte et pas pour autant redevenue la femme qu’elle était, la jeune maman traverse une période où son estime et sa confiance sont en baisses




Définition :
c'est une sorte de dépression qui apparaît avant l'accouchement et après la naissance de l'enfant. Elle concerne la future ou la nouvelle mère. C’est un état de déprime que connaissent 80% des jeunes mamans

Le baby blues est une réaction post-natale fréquente, survenant dans les 3 à 10 jours qui suivent l'accouchement et de durée brève, de quelques heures à quelques jours. Cet état passager ne constitue pas une maladie, mais au contraire un moment de dépression nécessaire pour que s'installe la relation mère-enfant. Hypersensibilité et anxiété en sont les principaux signes et réclament avant tout une écoute attentive de la part de l'entourage.


La baisse brutale de la concentration en hormones progestatives - très élevée pendant la grossesse - ou le contrecoup des angoisses précédant l'accouchement, du regret de l'état de grossesse ou de la peur de ne pas être à la hauteur.


Cause hormonale : il s'agit de la chute brutale des concentrations en oestrogènes et progestérone dans les quelques heures qui suivent l'expulsion du placenta, concentrations qui étaient très élevées durant la grossesse. Or, ces hormones ont un véritable effet antidépresseur. Ce bouleversement hormonal entraîne une perturbation importante de l'horloge interne et des émotions.

Cause psychologique : elle est liée au contrecoup de la grossesse et de l'accouchement, qui constituent des épreuves réellement fatigantes. Les jeunes mamans souffrent d'un manque plus ou moins important de sommeil et il est bien connu que la fatigue a des répercussions émotionnelles, comme l'irritabilité, l'hypersensibilité et la crainte de ne pas arriver à faire face. Passer du statut de femme enceinte à celui de mère n'est pas toujours facile. Devenir maman suppose de nouvelles responsabilités qui peuvent inquiéter. Sera-t-on à la hauteur ? Enfin, de nombreuses femmes sont désorientées, car elles constatent un décalage entre le bébé imaginé pendant la grossesse et le bébé qu'elles ont en face d'elles.

La fatigue : après un accouchement, toutes les mères souffrent plus ou moins d’un grand manque de sommeil. Les répercussions émotionnelles dues au manque de sommeil sont bien connues : irritabilité, hypersensibilité, sentiment de ne plus pouvoir s’en sortir, colère contre le bébé ou la famille.


L’impression de perdre le contrôle de sa vie : avant l’arrivée de bébé, il était si facile de tout gérer. Avec lui, c’est une surprise continuelle. En effet, rien ne se passe comme on l’avait prévu : le bébé hurle tout le temps et l’on ne comprend pas pourquoi. Face à cette impuissance à calmer leur bébé, certaines mamans culpabilisent en croyant être de mauvaises mères ; d’autres, au contraire, pensent qu’elles ont affaire à un bébé particulièrement difficile…


la mère a eu une vie difficile : problèmes familiaux, de couple, migration, ...
OU
la dépression est rattachable à l'état intrapsychique de la future mère que la grossesse confronte à des problèmes non-résolus.

Serai-je une bonne mère ? Vais-je arriver à allaiter ?




Les conséquences :
Il s’agit essentiellement d’une influence sur le développement psychoaffectif et comportemental de l’enfant. Les enfants de mères dépressives peuvent présenter des signes d’irritabilité ou d’anxiété avec une difficulté à se détacher de leur mère et une peur des autres. Parfois ils présentent un retard dans les apprentissages, tel le langage ou la motricité. D’autres bébés souffrent de troubles digestifs (spasmes, rejets) ou de troubles du sommeil.


Traitement / remède :
Etre attentif et les réconforter en leur expliquant que le baby blues est un événement fréquent, naturel et tout à fait dénué de gravité.
Être traitées par un psychiatre.
Tout d’abord, il faut en parler : à votre mari ou compagnon qui a le droit de comprendre ce qui se passe, à vos proches et à votre médecin. Confiez-leur vos tracas, vos peurs,... Ensuite, dormez : dans de nombreux cas, la déprime se greffe sur un manque de sommeil dû aux premières fameuses nuits. Il convient de se reposer un maximum et si vos nuits sont courtes, pensez à dormir en journée quand Bébé fait ses siestes. Enfin, ne vous laissez pas aller : enfermez-vous dans votre salle de bain et bichonnez-vous, maquillez-vous même si vous ne sortez pas,... trouvez quelques instants pour vous et rien que vous.

Organiser le retour à la maison : déléguez un maximum de choses au papa, aux grands-parents de votre enfant, ou encore à une aide ménagère.
Ne pas rester isolée : essayez de passer chaque jour un moment avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille et parlez d'autre chose que du bébé.
Programmer une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Se reposer : essayez de dormir en même temps que votre bébé.
En parler à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là : sachez également que le gynécologue ou la sage-femme ont l'habitude de cette dépression passagère chez les jeunes mamans et sauront vous rassurer.
Privilégier le contact physique avec son enfant : il est important de lui faire part de ses émotions et de ses sentiments.
Relativiser : le baby blues n'est pas une maladie, c'est une réaction normale et la plupart des femmes passent par là

Si nécessaire, la prescription d'un tranquillisant, à faible dose, permettra de calmer l'insomnie et l'anxiété de la maman.

Déléguez un maximum de choses soit au papa, soit aux grands-parents de votre enfant, soit à une aide ménagère.
Eviter de répéter au papa " tu ne m’aides jamais". Mais complimentez-le à chaque fois qu’il s’occupe du bébé :" tu es le père le plus merveilleux que je connaisse ", " regarde comme ton fils ou ta fille est ravi que tu t’occupes d’elle ou lui ", " tu ne peux pas savoir comme je suis soulagée et heureuse de pouvoir compter sur toi "…Flatter un papa lui donnera envie de faire encore plus de choses.
Essayez toujours de passer 1 à 2 heures par jour avec un autre adulte : invitez vos amies, votre famille…
Maintenez une partie de la maison toujours rangée. Allez y afin de vous remonter le moral
Forcez-vous à vous habiller et à vous maquiller tous les matins. Ne restez surtout pas en peignoir toute la journée car cela contribuera à vous donner une mauvaise image de vous.
Essayez de dormir ou de vous reposer en même temps que votre bébé.
Programmez-vous une activité récréative par jour : sortir faire les courses, aller voir une amie, promener bébé en faisant les magasins, et même mieux, sortir sans bébé.
Planifiez à l’avance 3 sorties par mois avec votre conjoint (demander à une baby-sitter de bloquer pour vous 3 soirées dans le mois).
Invitez des amis qui parlent d’autre chose que du bébé
Exprimez-vous ! Parlez à votre compagnon, à une amie qui est déjà passée par là…
Privilégiez le contact physique avec votre enfant et expliquez-lui doucement tout ce que vous ressentez
Relativisez ! Toutes les femmes passent par là !

















Essayez de dormir en même temps que votre bébé ou demandez au papa de vous aider de temps en temps. Si ce dernier râle parce qu’il travaille le lendemain et se doit d’être en forme, demandez lui de s’occuper de votre bébé le samedi matin afin que vous puissiez au moins avoir une grasse matinée dans la semaine.

Si les grands-parents de votre bébé habitent près de chez vous, n’hésitez surtout pas à leur confier votre enfant une fois par semaine (vous le déposez le soir et le reprenez le lendemain soir) ; vous aurez ainsi, une journée entière pour récupérer.

Certaines mamans hésitent souvent à confier leur enfant à ses grands-parents de peur de s’en séparer ou que ces derniers s’en occupent mal. Souvenez-vous toujours que vos parents ont su vous élever et ont été parents avant vous !

Les contraintes d’une nouvelle vie : bon nombre de femmes ne supportent pas l’idée de rester enfermées chez elles à ne rien faire. Sortez un maximum avec votre bébé ; ça vous fera la plus grand bien à tous les deux (votre petit adore découvrir le monde extérieur).



Les réactions négatives du père peuvent éxacerber le sentiment de fragilité et d’insécurité de la mère. En effet, peu de papas osent prendre les choses en main pour aider leur compagne. Si le bébé est pour sa mère déjà un étranger, pour le père ce sentiment est encore plus profond ! N’hésitez pas à déléguer à votre conjoint une ou deux responsabilités quotidiennes parmi les soins du bébé et laissez le faire seul ! (ne restez pas derrière lui à épier ses faits et gestes, faites lui confiance). Si vous vous en sentez incapable, sortez de la pièce ou de la maison.




-http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_p%C3%A9rinatale

-http://www.doctissimo.fr/html/grossesse/accouchement/index_baby_blues.htm

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Les-symptomes-du-baby-blues

-http://www.e-sante.be/baby-blues/symptome-maladie/499

-http://www.monbebe.com/rubrique/apres/apres-babyblues.php

-http://www.infobebes.com/Grossesse/Accouchement/L-apres-accouchement/Le-baby-blues/Tout-sur-la-depression-postnatale/Les-consequences-de-la-depression-postnatale-pour-le-bebe

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