Entre Lumière et Ténèbres
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Sora
Kanashibari:le personnage (principal?) est paralysé,il pense mais ne peut plus bouger.
Vu dans Gintama.
Selon eux,les animateurs sont paresseux et créent alors un épisode comme ça.


Edité le 06-04-2021 à 15:02:44 par Sora


Sora
Si on met le logo du Shonen Jump à l'envers, on ne voit plus un pirate mais bien une fille (Vu dans Saiki Kusuo no Psi-nan ).
Sora
Lumière VS Ténèbres:
-Dark VS Krad
-Kogami VS Makishima
-Sacha VS Lawrence
-Sébastian VS Angel
Sora
Les Mangas:

Ecchi - pervert:
Une théorie répandue veut que ce soit la première lettre du mot hentai (変態【へんたい&#12305 écrit en rōmaji qui, avec la prononciation japonaise, a fini par donner ecchi (en anglais, H se prononce /eɪtʃ/). Cependant, les deux mots n'ont plus de signification commune. En effet, même si ecchi va de l'érotisme léger à l'acte sexuel en lui-même (ecchi suru: faire l'amour), il n'y a aucune notion de perversité ou anormalité, contrairement à hentai.

L'orthographe la plus répandue en Occident de ce mot ne respecte pas la méthode Hepburn, selon laquelle il faudrait écrire etchi.



Gore - miam sang :
Le mot gore peut désigner :

* le gore, genre cinématographique dérivé de l'horreur.
o par extension, le mot gore est employé comme adjectif pour qualifier quelque chose qui est sanglant ou violent.
* le gore, un type de sol provenant de la décomposition du granite.


Hentai - XXXX :
Le mot hentai (変&#24907 signifie littéralement « perversion », « anormalité » ou « métamorphose » en japonais. Même s'il peut servir à qualifier des comportements comme le sadisme ou l'inceste, ce mot en lui-même n'a pas nécessairement de connotation sexuelle. Par exemple, on peut parler de « mentalité anormale » ou hentaishinri (変態心理【へんたいしんり】).

Cependant, une grande majorité des dessins animés japonais pornographiques importés en Occident (et surtout parmi les premiers titres sortis) tels que Urotsukidoji, Angel of darkness ou Dragon Pink comportent des scènes « anormales » allant de la copulation avec des monstres imaginaires au sado-masochisme, ce qui a probablement contribué à la confusion entre hentai et ecchi (terme couramment utilisé au Japon pour désigner ce qui est pornographique d'une manière générale, et en Occident pour désigner les mangas et animes érotiques mais non pornographiques).

Shōjo - girl :
Sujet: Shōjo - girl Mar 18 Nov - 8:41

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Le shōjo manga tient ses racines dans l'ère Meiji et prend de l'expansion dans les années 1950. Cependant, c'est qu'au début des années 1970 que ce genre de manga s'est vu vraiment redéfinir, avec les titres du Groupe de l'an 24. Ce sont ces mangaka qui ont inventé, entre autres, le sous-genre du shōnen ai.

Par rapport au shōnen manga, ce genre se caractérise par des récits davantage centrés sur les relations entre personnages. Ces derniers sont souvent dotés d'immenses yeux supposés exprimer davantage les émotions. Les métaphores visuelles et flash-back sont omniprésents ; en général, ce type de manga se centre sur une histoire d'amour aux étapes très conventionnelles.

, qui signifie adolescente en japonais, est exclusivement utilisé pour désigner un type de manga. Le shōjo manga (少女漫画), parfois écrit shoujo manga (en wāpuro rōmaji), est un style de manga dont la cible éditoriale est avant tout constituée par les jeunes adolescentes, même si les garçons en lisent aussi. Le genre est à opposer au shōnen manga (少年漫画, le manga pour jeune garçon).


Magical girl :
Magical girl (魔法少女, mahō shōjo ou majōkko en japonais) est un terme générique, employé la plupart du temps à tort pour les mangas et animes, désignant toutes les jeunes filles ayant des pouvoirs magiques, et par extension les mangas ou animes dans lesquels on les trouve comme héroïne (il s'agit donc d'une double désignation).

On peut définir plus précisément la magical girl comme une petite fille, liée à un royaume magique d'une manière ou d'une autre, possédant de manière plus ou moins notoire des pouvoirs magiques pour faire le bien dans sa vie quotidienne, et étant éventuellement dotée pour cela d'une baguette et de compagnons magiques. Le genre a connu une évolution majeure à l'apparition de Sailor Moon. Intégrant des éléments de sentai, cette série a engendré une nouvelle sorte de magical girls, qui combattent le mal en groupe à l'aide de leurs pouvoirs magiques. Ainsi pourrait-on qualifier ce nouveau genre de « Magical Sentai ».

Ces séries, à l'origine destinées aux filles, sont aussi appréciées par les garçons pour des raisons souvent distinctes et sont aussi l'objet de produits dérivés tant à la télévision que sous toutes formes de produits dérivés allant du paquet de chips à la brosse à cheveux, en passant par les figurines et autres goodies. Ce sont des séries ayant généralement un énorme succès au Japon, et parfois dans d'autres pays.


Shōnen - boys :
En occident, le mot shōnen, qui signifie adolescent en japonais, est exclusivement utilisé pour désigner un type de manga. Le shōnen manga (少年漫画, shōnen manga? le manga pour jeune garçon), parfois écrit shounen manga (en wāpuro rōmaji), est un type de manga dont la cible éditoriale est avant tout constituée par les jeunes adolescents, même si les filles en lisent aussi. Il est à opposer au shōjo manga (少女漫画, shōjo manga? le manga pour jeune fille).

Il existe une confusion fréquente entre le genre nekketsu (voir ci-dessous) et le shōnen manga. Il est à noter que le shōnen manga n'est pas un genre : le terme désigne la cible éditoriale du manga. Ainsi, un manga est considéré comme un shōnen s'il a été prépublié au Japon dans un magazine dont la cible première est composée de garçons.





Shōnen-ai :


Shōnen-ai (少年愛, amour des jeunes hommes) est un terme vieilli se référant aux manga et anime relatant des amours entre de jeunes hommes, en particulier pour les bishōnen. À l'origine, le genre traitait des relations très fortes mais non-sexuelles entre jeunes hommes. Des nos jours, il en est venu à désigner des relation romantiques mâle-mâle. Le prédecesseur de Shōnen-ai était tanbi.

Les œuvres Shōnen-ai sont généralement moins sexuellement explicites que le yaoi, et les personnages qui y sont impliqués sont généralement plus jeunes. Le shōnen-ai est très populaire au Japon, en particulier parmi les jeunes écolières et les femmes au foyer, et se retrouve fréquemment en élément scénaristique des shōjo manga et animes. Il trouve également un large public en Amérique, en particulier parmi les femmes hétérosexuelles entre 18 et 24 ans et parmi les hommes homosexuels, bien que ce dernier public ne soit pas une cible recherchée des auteurs.

Le terme shōnen-ai n'est pas très utilisé au Japon à cause d'une ancienne connotation proche de la pédérastie et de la pédophilie ; l'expression en pseudo-anglais (wasei-eigo) Boy's Love (ボーイズラブ, bōizu rabu ou encore Boys Love ou Boys' Love ou BL) l'a remplacé. Ironiquement, dans les société occidentales on observe le phénomène inverse : le terme anglais "boylove" est fortement connoté alors que le terme japonais n'a pas ce sens.

L'attrait du shōnen-ai est difficile à décrypter, et notamment du point de vue occidental. La majorité du lectorat est jeune et féminin, et en tant que tel, les histoires sont principalement dessinées par des femmes, et poussées auprès de l'audience féminine. De nombreux fans déclarent être attirés par la beauté et la distance des personnages, ainsi que par la représentation idéalisée de l'amour masculin. Certains suggèrent que, du fait que les histoires excluent les femmes des relations, elles ne sont pas sexuellement angoissantes pour ce lectorat féminin tout en lui permettant de s'identifier aux personnages. D'autres suggèrent qu'il est parfaitement naturel pour les femmes d'être émoustillées par l'idée de l'amour et du sexe entre mâles, tout comme l'érotisme lesbien est incroyablement populaire auprès de l'audience masculine. En règle générale, c'est avant tout la découverte du sentiment amoureux vu par les hommes qui intéresse les lectrices de ces mangas.

La plupart des lecteurs/spectateurs découvrent ce genre sur une série en particulier, par l'intermédiaire d'un pair ou ami, et se lie émotionnellement avec les personnages, notamment ceux ayant un esprit créatif et appréciant de voir la manière de réagir de différentes personnes dans différentes situations.

L'audience est forte : un manga comme Gravitation a généré 9 million de dollars de profits au États-Unis, où il est la meilleures vente BD/manga de ces 20 dernières années.

Le shōnen-ai doit être séparé de la production de BD visant le marché homosexuel ; les relations qui y sont dépeintes sont entre garçons, souvent aussi jeune que 14 ans, mais parfois même 12 voire 10 ans, et sont souvent totalement insensées sur un plan psychologique : la dynamique y est irréaliste. Le but du shōnen-ai est le maintien de la fantaisie, et pas du tout d'être le reflet de la vie homosexuelle. Bien que certaines BD pour ce marché ont été commercialisées au Japon, il s'est toujours agit d'affaire clandestines, indépendantes et à petits tirages et faible diffusion. Ceci s'explique par le fait que le but des romans Shōnen-ai n'est pas du tout, selon leurs auteurs, de défendre l'homosexualité, car la narration est souvent très éloignée de la réalité. La distinction entre la narration et la réalité sociale est flagrante : ce qui est admis dans un manga (une romance entre hommes) peut être rejeté par ses lecteurs dès qu'il s'agit de la réalité et non plus d'un manga.

Le terme JUNE a également été utilisé au Japon, mais uniquement pour des travaux originaux (par pour des fanfictions où les personnages seraient détournés dans un but de mise en scène homosexuelle), et principalement pour le contenu du 1er magazine populaire dédié au shōnen-ai, JUNE magazine. Ce magazine, ayant atteint son pic de popularité au milieu des années 1980, se livrait à un culte du binanshi, le beau garçon (prédécesseur de l'actuel bishōnen). Depuis, la plupart des manga shōnen-ai professionnels ont été publiés dans les magazines pour filles traditionnels. Un marché prospère pour les dōjinshi à thème orienté gay s'est récemment développé au Japon, tournant principalement autour du Comiket. Cette grande convention annuelle propose en effet plusieurs étages de manga (principalement amateurs) et d'artistes gekiga vendant leur œuvres, un des étages du sous-sol étant dédié au shōnen-ai et yaoi.



Shōjo-ai - Yuri :
Le shōjo-ai (少女愛, amour de jeunes filles) est du shōjo manga (bande dessinée japonaise pour fille) avec une pointe d'amour en plus (en effet, en japonais, ai signifie amour). Il parle le plus souvent de relations sous-entendues ou de fortes amitiés entre deux femmes.

Au Japon, la culture du sempai fait que les filles ont une admiration quasiment sans bornes pour leur supérieure, véritable modèle, d'où le flou de leurs sentiments…

On note une nette recrudescence des représentations shōjō-ai dans les médias grand public tels que les mangas et animes depuis le début des années 2000, le plus souvent comme un point de détail (deux filles parmi d'autre, l'histoire s'intéressant à toute une classe ou à d'autres protagonistes), mais aussi parfois comme point d'intérêt, comme dans Kashimashi ~girl meets girl~ (un triangle amoureux uniquement féminin).

Le yuri est différent: il annonce clairement qu'il s'agit d'amour et il y a souvent des scènes sexuelles, explicites ou non. Cette tendance existe depuis plus de temps qu'on ne le pense, mais les relations féminines étaient autrefois cachées dans l'intrigue principale de l'histoire…

Après l'apparition du terme Boy's Love pour le shōnen-ai, le terme Girl's Love (ガールズラブ, gāruzurabu) est apparu au milieu des années 2000.
Sora
L'ombre
L'ombre mystérieuse des mangas policiers et de détectives.
Référence aux mangas shônen policiers Kindaichi Shounen no Jikenbo (Les Enquêtes de Kindachi) et Meitantei Conan (Détective Conan).
Sora
Si on met le logo du Shonen Jump à l'envers, on ne voit plus un pirate mais bien une fille (Vu dans Saiki Kusuo no Psi-nan ).
Sora
Émission " Japon-L'art du paradoxe "
Autre pilier de la culture japonaise:le manga.
Près de 2 milliards d'exemplaires vendus chaque année.
40% des ventes au Japon.
Exemples de codes:les grands yeux.
Manga:mode d'expressions par l'image.
L'expressivité dans un visage,quand on est un héros,elle est d'abord dans les yeux.
Le manga:c'est l'école de la vie japonaise.
On peut se projeter dans tous les univers de fiction ou de réalité (Exemple:dans une entreprise.).
Beaucoup d'interactions entre la société japonaise et le manga.
La société japonaise est codifiée et avec beaucoup de règles.
Á l'inverse,dans l'univers du manga,tout est permis,de l'ultra-violence à la sexualité débridée.
Comme tout est codifié et que dans l'ensemble,les Japonais respectent ces codes,consignes et instructions,qu'il faut bien quelque part un lieu pour se relâcher.
Un exutoire,ça libère.


Edité le 23-04-2020 à 11:38:14 par Sora


Sora
Le responsable du Dragon Toys s'appelle Thomas Nguyen.
Sora
Historique
L'animation japonaise s'installe en France en juillet 1978 grâce au succès de Goldorak .
***
Le cri qui tue.


Edité le 20-07-2019 à 11:52:33 par Sora


Sora
Le sidekick sert à mettre en valeur le heros et à s'occuper des sbires du boss pendant que le heros s'occupe de lui. ^^
 
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