Entre Lumière et Ténèbres
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Dernières réponses
Sora
"Mais surtout, Galyn Susman est associée à une histoire incroyable survenue durant la production de Toy Story 2, film pour lequel, elle occupe le poste de responsable de la direction technique. En 1998, une erreur humaine entraîne la disparition de scènes entièrement animées et de nombreux autres fichiers stockés sur les serveurs. Environ 90% du travail en cours est perdu. À cette époque, Galyn Susman vient d’avoir un bébé et travaille depuis son domicile. Elle propose alors de rapporter son ordinateur de stockage, présent chez elle. Ordinateur sur lequel se trouve l’entièreté du film jusqu’à sa dernière sauvegarde 15 jours avant la disparition des fichiers. Elle aura donc permis de restaurer la majeure partie de Toy Story 2. Version qui aura finalement été réécrite dans les semaines qui ont suivi." (Chronique Disney)
Sora
"moi c'est seulement en mars 2020 que j'avais compris le rapprochement, mais quand j'avais revu toy story 1 et volt pour la énième fois, c'est là que dans mon esprit ça m'a fait "tilt !" et que en effet en réfléchissant bien, Volt a fait exactement comme Buzz l'éclair, du fait que tout les deux ils pensaient qu'ils étaient de véritables super-héros qui combattent les méchants, mais en fait en découvrant la vérité, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas réellement ce qu'ils pensaient être. Mais bien sûr après, tout les deux en comprenant ce qu'ils étaient en vrai, même si ils ne sont pas des super-héros, au fond ils sont bien plus que ça : Buzz a la chance unique d'être le jouet d'Andy et de le rendre heureux tout les jours, et Volt a l'incroyable chance d'être le chien et meilleur ami de Penny ainsi que d'être toujours là pour elle "
Sora
TOY STORY
Disney / Pixar
LA THÉORIE
Le film se passe pendant le divorce des parents d'Andy.

LES ARGUMENTS
- Le déménagement, évènement majeur dans l'intrigue de Toy Story, peut très bien être la conséquence d'un récent bouleversement dans la famille d'Andy.

- A aucun moment des trois films on aperçoit le père d'Andy. Même 15 ans après le premier opus, dans Toy Story 3, la maman semble élever seule ses deux enfants.

- Andy, dans le premier Toy Story, apparait comme un garçon solitaire. On peut très bien imaginer qu'il est perturbé par le divorce de ses parents et qu'il trouve donc refuge auprès de ses jouets favoris.
Sora
56 Easter Eggs You Missed In TOY STORY 4:
https://www.youtube.com/watch?v=dVQ7pSQkA6Q
Sora
Toy Story 4 selon la Chronique
À l'origine, ils ne pensaient pas lancer une nouvelle suite mais confessent avoir trouvé une nouvelle idée, celle d'une comédie romantique centrée sur une belle histoire d'amour, qui a tellement emballé John Lasseter au point qu'il a voulu réaliser le film lui-même.
Stephany Folsom qui sera activement aidé d'Andrew Stanton vont alors réécrire les trois quarts du script de Jones et McCormack en particulier les passages centrés sur la relation entre Woody et la Bergère.
Le film décide ainsi de raconter pourquoi elle n'était pas dans le troisième opus et ce qu'elle a fait depuis.
De plus, son destin offre l'opportunité de traiter plus profondément une thématique qui avait été effleurée dans les précédents longs-métrages : celui des jouets perdus.
Woody a, il est vrai, toujours été attaché à un enfant, d'abord à Andy puis à Bonnie. Pour lui, le bonheur de ses propriétaires est le phare qui a guidé sa vie et justifié toutes ses actions.
En retrouvant la Bergère, il se rend compte ce que représente de ne plus être dédié à un enfant et de vivre sa vie de façon indépendante et sans attaches. En filigrane, le film aborde ainsi le thème du changement de vie.
La métaphore de la gestion de carrière est ainsi évidente avec le délicat choix de certains qui hésitent entre la sécurité, quitte à rester au placard mais en gardant leur indéfectible loyauté à leur entreprise et leur collègue, et l'inconnu qui permet d'apporter la nouveauté et le sentiment d'avoir encore un usage tout en permettant de s'investir plus pour soi, son couple et sa famille.
Toy Story 4 aborde également un autre sujet plutôt ambitieux : l'essence même du jouet. Qu'est-ce qui définit le fait qu'un objet soit un jouet ou non ?
Le personnage est dès lors intéressant à plus d'un titre car il permet de projeter deux peurs de deux autres protagonistes du film. Le premier est bien sûr Woody qui veut veiller au bien-être de Bonnie quitte à appliquer les anciens schémas qu'il avait pour Andy.
La construction de ce nouveau jouet est une béquille qui lui permet de passer une étape importante dans sa vie : celle de son entrée en maternelle, dans un monde et avec des enfants qu'elle ne connaît pas.
Une autre piste scénaristique importante, abordée dans le long-métrage, est ainsi la meilleure façon de se faire aimer d'un enfant.
Gaby Gaby pense, il est vrai, qu'il faut absolument être dans un état parfait pour se faire remarquer d'un enfant.
L'opus innove également en proposant aussi d'aller visiter de nouveaux lieux où il est possible de trouver des jouets comme une fête foraine et un antiquaire.
Dans le premier, il s'agit de jouets pouvant être gagnés en lots dans certains jeux de tirs. Dans le second, ce sont des jouets si vieux qu'il n'ont plus droit de citer dans un magasin spécialisé moderne mais qui ne sont pas encore assez bien pour mériter d'être collectionnés.
Enfin, la dernière réussite à noter est sûrement le traitement suivi pour sa fin. Certes, la conclusion de Toy Story 4 n'est pas en mesure d'atteindre l'intensité de celle de Toy Story 3 qui refermait elle, en plus, tout un cycle. Pour autant, elle apparait à la fois logique, émouvante et, à certains égards, déchirante. Surtout, les studios Pixar ont osé faire ce qui était juste et n'ont pas cherché la facilité. Ils n'ont pas pris le risque de sacrifier l'intérêt du film en créant une redite avec les anciens opus. Ici, la fin donne sa force au récit et rend cohérents tous les thèmes déroulés jusqu'alors. Elle permet aussi d'apporter un prolongement à celle de Toy Story 3 avec un regard un peu plus doux amer.
Sa personnalité se voit aussi beaucoup modifiée passant d'un caractère prévenant, maternel et doux à celui d'une aventurière libre, indépendante et un brin égoïste.

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/animation/2019-toy-story-4.htm


Edité le 08-07-2019 à 18:32:05 par Sora


Sora
R : Avant toute considération, il faut savoir que le personnage de Bo Peep provient à la base d'une comptine anglo-saxonne que, peu ou prou, tous les enfants anglophones connaissent, et qui est souvent retranscrite dans la francophonie par la comptine Il Pleut Bergère.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle prend ce nom en français, tout simplement parce que Bo Peep n'évoque rien de ce côté de l’Atlantique.
Sauf que « La Bergère », en tant que nom, n’est pas pratique à prononcer lorsque le personnage est placé au centre de l’action comme c’est le cas dans Toy Story 4.
Il a donc été jugé nécessaire de donner à La Bergère le nom fonctionnel de Bo Peep car, non seulement, il est cité un très grand nombre de fois pendant l'aventure mais en plus, des répliques de comiques de répétition sont faites sur lui.
Donc, au final, cette astuce de traduction pratico-pratique fonctionne bien : il suffit juste de supposer que, jusqu'à présent, en VF, (autrement dit chronologiquement avant Toy Story 4), personne n'avait pas eu l'occasion de prononcer ou d'entendre son « petit nom » de Bo Peep mais que La Bergère s'est, en réalité, toujours appelée comme cela...
(Chronique Disney)
Sora
Geri, le vieux monsieur du court-métrage Le Joueur d'Echecs, aura le rôle du nettoyeur de jouets dans Toy Story 2 en 1999.
Buzz l'Éclair s'inspire de Buzz Aldrin.
Buzz l'Éclair, nom utilisé pour l'un des protagonistes des longs-métrages d'animation en images de synthèse des studios Pixar, Toy Story, a été inspiré par Buzz Aldrin. En 2009, Aldrin rendit hommage au personnage lorsqu'il fit apparaître à ses côtés une miniature du célèbre ranger de l'espace au Magic Kingdom de Walt Disney. (Wikipédia)


Edité le 17-02-2019 à 16:42:04 par Sora


Sora
Selon la Chronique
Indépendamment de tout aspect chronologique, Toy Story 2 est assurément le film "fondateur" de Pixar.
Le studio de Luxo Jr était un grand dans le monde de l'animation, gage d'extrême qualité, inventif, innovant, décomplexé et surtout, profondément respectueux de son public.
Avant Toy Story 2, il faut, il est vrai, remonter à 1945 pour trouver, au cinéma, une suite (Les Trois Caballeros) à un long-métrage d'animation (Saludos Amigos de 1943) même si, en l'espèce, parler de continuation de concept serait plus juste.
Sa genèse est d'ailleurs assurément atypique quand Toy Story 2 prend des airs de film "bonus" ne faisant pas partie du contrat de cinq longs-métrages que Disney et Pixar (représentées respectivement par Steve Jobs et Michael Eisner alors meilleurs amis du monde) signent juste après le succès de Toy Story.
Alors qu'il reçoit régulièrement dans son bureau la visite de ses enfants - alors bambins -, émerveillés par toutes les figurines s'y trouvant, John Lasseter s'évertue sans cesse à leur faire prendre conscience de leurs caractères d'objets de collection et non de simples jouets.
Toy Story 2 est ainsi construit sur un questionnement plus ambitieux qu'il n'y parait aux premiers abords : un jouet est-il mieux traité à l'abri d'une vitrine ou aux mains d'un enfant ? Au-delà de cette considération pratique, s'en trouve, en effet, une autre à l'évidence bien plus complexe : vaut-il mieux vivre sa vie pleinement quitte à la perdre ou chercher à se mettre à l'abri pour viser l'immortalité ?
Cherchant à densifier le propos, ce dernier a la riche idée d'imaginer, autour de Woody, une sérié télé culte remontant aux années 50 et intitulée Woody's Roundup, dont le cow-boy ne serait qu'un des jouets dérivés anciennement produits et aujourd'hui jalousement recherchés par quelques collectionneurs fanatiques.
Chez Pixar, la qualité reste le maitre-mot.
John Lasseter lui-même mouille sa chemise : il reporte ainsi d'un an son break familial estival et, vu l'ampleur de la tâche, reprend le poste clé de réalisateur du film.
La plus emblématique reste ainsi l'utilisation de la série télé mettant en scène Buzz l'Eclair même si elle évolue finalement en jeu vidéo.
La présence du deuxième Buzz offre, par exemple, de belles occasions de quiproquos. Elle permet notamment de faire réapparaître le personnage de Zurg (en qualité de jouet cette fois-ci), effectuant au passage un formidable clin d'œil cinématographique à L'Empire Contre-Attaque.
Leur interaction est véritablement hilarante, faisant de leur présence un élément essentiel de la sensation d'extrême qualité de l'opus tout entier.
Al:l'humain collectionneur plus filou que méchant,au passage il est, à l'époque, le meilleur humain jamais dessiné par les studios Pixar - ils ont fait beaucoup mieux depuis...
Enfermé dans sa boite de présentation, il a ainsi perdu ce que les autres jouets du film acquièrent instantanément : leur humanité.

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/animation/1999-toystory2.htm


Edité le 04-08-2018 à 15:24:35 par Sora


Sora
Selon la Chronique
Toy Story est un évènement comme il s'en produit peu dans l'histoire du cinéma. Il marque en effet l'avènement, à l'échelle d'un long métrage, de la technologie 3D dans le cercle jusqu'ici très fermé du monde de l'animation.
Toy Story est une révolution dans le cinéma d'animation comparable au passage du noir et blanc à la couleur, ou plus en avant encore, du muet au cinéma parlant !
Affublé d'un Lucas Computer Graphics Division, il n'est, en effet, alors qu'un simple département autonome d'Industrial Light & Magic (I.L.M.), la compagnie de Georges Lucas.
Pourtant, c'est aux mains de deux autres personnes que le studio à la lampe de bureau va connaitre son incroyable essor : John Lasseter et Steve Jobs.
Tron, considéré, à juste titre, comme l'ancêtre de la production 3D.
Il est d'ailleurs l'un des rares à prendre conscience du formidable potentiel de l'utilisation des ordinateurs dans le monde de l'animation.
En 1986, Steve Jobs - le célébrissime fondateur d'Apple - rachète la division infographie d'I.L.M. à Lucasfilm. Aussitôt rebaptisée Pixar, elle devient très vite le studio qui défriche le nouveau monde de l'animation 3D, à une époque où personne ne croit à son exploitation à grande échelle.
De nombreux courts-métrages. Luxo Jr., Red's Dream, Tin Toy, Knick Knack - des histoires dépourvues de dialogues à la bande-son jazzy chère à Woody Allen - naissent ainsi et constituent toutes de véritables petits bijoux.
Fort de ce début de reconnaissance, Pixar décroche de nombreuses commandes publicitaires qui sont alors son unique source de revenus. Signant jusqu'à quinze spots en 1991, la firme s'impose, peu à peu, dans le domaine de la 3D et acquiert une maîtrise incomparable dans l'art du dessin animé par ordinateur.
Parallèlement, Tim Burton décroche, avec Batman, lui aussi la lune. Ayant quitté Disney en 1984 en laissant dernier lui un cartoon en image par image, Vincent, et une idée de long-métrage, L'Étrange Noël de Monsieur Jack ; désormais auréolé d'une réputation de réalisateur banquable, il revient frapper à la porte de Mickey pour essayer de concrétiser son idée première.
Partant de l'idée de proposer un récit du point de vue des jouets, il imagine ainsi la rivalité entre deux joujoux, l'un ancien et l'autre flambant neuf.
La trame terriblement efficace provient d'une unique interrogation : qu'est-ce qui effraie le plus au monde un jouet ? La réponse prend des airs de fusée à trois étages : être cassé, être boudé, être supplanté !
Pour le jouet neuf, la figurine spatiale s'impose sans trop de mal.
Le personnage de Buzz est d'ailleurs tellement bien défini qu'il est, un temps, envisagé de débuter Toy Story par une séquence 2D supposée être un extrait de sa sérié animée. L'idée est toutefois vite abandonnée au motif qu'elle lui fait la part trop belle au détriment de son opposé, le jouet has-been.
L'acteur, à l'occasion de ses essais de vocalise, donne aux artistes Pixar l'idée saugrenue mais brillante de persuader Buzz d'être véritablement un ranger de l'espace. Le personnage ne s'imagine donc pas un instant être un simple jouet mais se croit égaré sur terre. Les quiproquos n'en seront que plus faciles !
Le contraste est vite trouvé : à l'immensité du vide intersidéral, origine de Buzz, est ainsi opposé le terre-à-terre plancher des vaches représenté par la personne d'un cowboy de pure tradition américaine.
D'abord imaginé Bud Lucky, une poupée ventriloque à la façon de Charlie McCarthy conduit par Edgar Bergen dans Coquin de Printemps, il devient ensuite Woody, un mannequin articulé équipé, à l'ancienne, d'une lanière dans le dos lui permettant de débiter des phrases toutes faites.
Jeffrey Katzenberg impose en effet ses vues et, exigeant de voir le récit s'adresser clairement à un public adulte, dénature à outrance le projet.
La décision d'arrêter la production de Toy Story est sur le point d'être annoncée quand une réunion de la dernière chance est montée au cours de laquelle Pixar présente une version de story-board entièrement remanié en deux semaines. Elle fait son petit effet et relance le projet ; la démission fracassante de Jeffrey Katzenberg (parti en 1994 créer Dreamworks) apporte sa pierre à l'édifice : le film récupérant son titre premier, Toy Story.
Pixar donne vie aux jouets de générations entières de spectateurs d'une manière jamais vue au cinéma.
Le public applaudit devant la prouesse tandis que la Critique reste bouche bée.
Elle reprend néanmoins la parole pour dénoncer la contre-performance obtenue sur les humains, dont l'animation 3D reste par trop perfectible.
Balbutiante à l'époque, elle les prive, en effet, de leur humanité, en restituant d'eux une apparence "plastique" fort gênante.
Sa chambre prenant d'ailleurs des airs de laboratoire du Docteur Frankenstein.
Sous l'impulsion de son grand frère, d'y voir intégrées trois chansons à la condition notable qu'elles ne soient pas interprétées par les personnages.
Toy Story est terminé dans les temps. Il sort à la fin de l'année 1995 et provoque un raz de marée, non seulement dans les salles mais également au sein de la Critique qui ne trouve pas de mots assez forts pour souligner son génie artistique et technique.
John Lasseter reçoit également de ses pairs un Oscar Spécial pour le développement de la technique à l'origine du premier film en images de synthèse de l'histoire du cinéma.
Personne à l'époque de la conception de Toy Story ne s'attend, en réalité à ces résultats exceptionnels.
Toy Story apparait comme un film chainon du cinéma comme l'a été Blanche Neige et les Sept Nains.
Les artistes qui ont travaillé dessus sont, quinze ans plus tard, des pionniers qui ont révolutionnés le 7e art, tout du moins pour son genre "animation".
La rançon du succès de ce film emblématique a pourtant un redoutable revers, celui d'avoir ringardisé à outrance les films 2D au point même de voir Disney décider de fermer ses propres studios.
Toy Story est à John Lasseter ce qu'est Blanche Neige et les Sept Nains à Walt Disney : leur premier - et à jamais plus beau - bébé !

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/animation/1995-toystory.htm


Edité le 01-08-2018 à 12:09:38 par Sora


Sora
Moments les plus "puissants":
-Toy Story 3:quand ils vont tous être brûlés dans la benne à ordures
***
Le nom de famille d'Andy est Davis! Andy Davis!


Edité le 15-01-2022 à 17:59:50 par Sora


 
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