Entre Lumière et Ténèbres
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Sora
Film
Malgré son succès, il déçoit ses fans lui reprochant son scénario mal écrit et son surplus de décors en CGI. (Chronique Disney)
Sora
Selon la Chronique
Il est assurément l'opus le plus atypique de tout le catalogue des films d'animation produits par la firme de Mickey du vivant de Walt Disney lui même.
Il désire absolument réaliser un long-métrage basé sur l'oeuvre de son auteur fétiche.
Walt Disney a toujours été passionné par l'histoire de Lewis Caroll.
Alice, conte moderne élevant l'enfant au-delà de la mièvrerie en le rendant capable de saisir le ridicule des adultes et la prison de leurs conventions.
Les oeuvres de Carroll ont, depuis, pris une autre dimension résolument adulte, tant leurs discours sont complexes.
Attentes de Walt Disney : une atmosphère britannique, un côté enfantin et une ambiance d'absurde.
Le film apparaît ainsi plus comme une succession de scénettes ayant bien du mal à se lier entre elles.
Il n'est ainsi pas évident pour le spectateur de suivre le réalisateur dans sa volonté de mettre en exergue la grande curiosité dont fait preuve Alice.
Le délicieux et inestimable passage du morse et du charpentier coupant la rencontre de Tweedle Dee et Tweedle Dum résume à lui seul le sentiment de perdition éprouvé par le spectateur qui se demande alors où l'on veut bien le conduire. Jamais Disney n'avait atteint un niveau d'absurde aussi élevé.
Tous les repères sont en effet habilement malmenés.
Alice au pays des merveilles prend toute sa valeur quand le spectateur accepte d'en vivre l'absurde et le loufoque.
Alice, rôle-titre, est en apparence la plus fade. Elle est, en fait, censée porter le fil conducteur du récit  tout en représentant l'ordre, dont son éducation incomplète l'a imprégnée.
La vraie réussite du film est là : dans sa pléiade de rôles secondaires, tous réussis !
Le chat du Cheshire est ainsi à couper le souffle.  Il est, par excellence, le symbole de l'absurde.
Paradoxalement, il est aussi le seul personnage à vraiment "écouter" Alice. Ses rayures harmonieuses rappelant un pyjama de bagnard.
Alice au pays des merveilles est assurément bien loin des standards de Disney.

Source:
https://www.chroniquedisney.fr/animation/1951-alice.htm


Edité le 02-01-2018 à 12:30:00 par Sora


Sora
Notes à propos du film allemand " Le lapin blanc ":
selon Simon Keller,le lapin blanc est une porte qui ouvre sur un autre monde.
Sora
Notes à propos du livre

"Sourire comme un chat de Chester" est au XIXe siècle une expression courante en anglais.

"Fou comme un chapelier/lièvre de Mars" ,ce sont des expressions courantes en angleterre.

"L'Etoile" est un poème de Jane Taylor que les enfants anglais chantent comme : "Ah ! Vous dirais-je, maman ..." "Brille, brille petite Etoile, je me demande ..."

Alice, tu es une pure merveille! <3
(Lawis Caroll, tu es un génie!)



Edité le 05-06-2016 à 12:21:22 par Sora


 
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