 | | Entre Lumière et Ténèbres | | Administrateurs : Sora |
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|  Posté le 03-05-2008 à 16:44:29    
| J’ai publié en 1927 The Origin of the State (l’origine de l’Etat).
Qui suis-je ?
Réponse : Robert Harry Lowie
J’ai étudié les Indiens Shoshone (Amérique du Nord).
Qui suis-je ?
Réponse : Robert Harry Lowie
Je suis l’un des fondateurs de l’anthropologie culturelle.
Qui suis-je ?
Réponse : Robert Harry Lowie
Je suis membre de la SFIO (Section Française de l’International ouvrière)
et j’ai participé à la libération de l'Afrique.
Qui suis-je ?
Réponse : Georges Balandier
J’ai fondé avec Michel Maffesoli, en 1982, le Centre d'études sur l'actuel et le quotidien .
Qui suis-je ?
Réponse : Georges Balandier
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| Posté le 04-05-2008 à 14:34:47
| Piège
En Australie, tu rencontres
un aborigène qui ne comprend
pas ta langue, mais, il te
montre le ciel. Tu penses qu’il te
prend pour un Dieu et te demande
la danse de la pluie.
Imite la poule et tourne 3 fois
sur toi-même en disant :
« Pluie ! Pluie ! «
Piège
Un troupeau de rhinocéros
a chargé sur toi.
Pour te réfugier, tu décides
de prendre refuge dans un arbre.
Monte sur une chaise et crie :
« wooouuuaaah !!! «
Piège
Tu es sur les traces d’un gorille
et tu te retrouves nez à nez
avec lui. Celui-ci n’a pas
l’air de bonne humeur…
Tu décides d’essayer de
l’intimider en montrant ta puissance.
Tape sur ta poitrine en
hurlant le cri de Tarzan.
Piège
Tu es au bord de la rivière
et le courant t’emporte.
Tous tes habits sont trempés !
Monte changer d’habits.
Piège
Tu es dans le désert.
Tu as soif. Enfin, tu tombes
sur une oasis et tu demandes
à ses habitants s’ils ont de l’eau pour toi.
Bois 3 verres de boissons différentes.
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| Posté le 04-05-2008 à 14:46:18
| Piège
Tu es perdu dans la jungle
et tu te demandes comment
retrouver ton chemin. Tu te
souviens qu’un sage t’a dit
de te repérer aux cris des oiseaux
et de les suivre.
Sors dehors et imite
le cri d’un oiseau.
Piège
Tu es affamé dans
un désert et tu trouves
3 brindilles. Tu hésites à
les manger. Tu as tellement
tu as faim. Et, tu succombes.
Cueille 3 brindilles d’herbe,
rince-les au lavabo et mange-les.
Piège
Tu n’es pas en forme aujourd’hui
et tu te sens un peu flagada. Mais,
ton corps doit être
en forme car tu escalades une montagne.
Mets-toi à terre et fais
une série de pompages. (10 minimum.)
Piège
Tu te retrouves devant
l’homme le plus fort de
la tribu. Celui-ci ne veut pas
te laisser passer. Tu lui proposes
un jeu et le perdant devra
laisser passer l’autre.
Défie l’un des joueurs
et faites un bras de fer.
Piège
Lors de ton expédition,
tu te retrouves face à un
léopard. Malheureusement,
tu ne peux pas faire demi-tour.
Tu as lu quelque part que si l’animal
a déjà mangé, il ne sera pas agressif,
il suffit juste de l’apaiser.
Chante une berceuse.
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| Posté le 04-05-2008 à 15:33:51
| Piège
Tu es au pôle Nord.
La température baisse,
tu commences à avoir très froid.
Va chercher un pull dans
ta garde-robes et enfile-le.
Piège
Tu es perdu et tu cherches
ton cheval qui a disparu
dans la forêt. Tu rencontres
un Indien mais celui-ci ne
comprend pas ta langue.
Dessine un cheval sur une feuille.
Piège
Tu es sur un bateau,
dans la jungle, mais, celui-ci
s’est fait prendre par un serpent
géant. Pour être à l’heure à
ton rendez-vous, tu sautes sur
la berge et cours le plus vite possible.
Cours sur place pendant 3 min.
Piège
Tu es dans un ancien
tombeau et tu trouves
un enfant perdu tout triste.
Tu décides de lui remonter
le moral.
Prends une lampe de poche
et fais 2 ombres chinoises différentes.
Piège
Tu es dans un désert et
il fait terriblement chaud.
Tu dois absolument enlever
une couche pour respirer un peu mieux.
Enlève tes chaussettes.
(Ou, si tu n’en as pas tes pantoufles.)
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| Posté le 04-05-2008 à 16:20:18
| A la recherche de la cité perdue
Règle du jeu
Incarnez un ethnologue ou un membre d’une tribu
et partez à la recherche de la cité perdue …
A travers des questions, rassemblez des indices !
Mais, attention aux pièges !!!
La découverte de la cité ne dépend que de vous !
Matériel :
- 1 plateau de jeu.
- cartes ( questions pour les ethnologues, questions pour la tribu, pièges et indices.).
- 2 pions. Les jumelles pour le groupe des ethnologues et le masque pour la tribu.
- 1 dé à 6 faces.
- 1 règle de jeu.
But du jeu :
Être le premier groupe à trouver la cité perdue.
Préparation du jeu :
- Placez le plateau de jeu sur la table.
- Placez vos 4 paquets de cartes à différents endroits sur la table, autour du jeu, faces cachées.
- Sortez la carte « Cité perdue » du tas et cachez-la sous le plateau de jeu.
- Formez vos groupes équitablement, autant d’ethnologues d’un côté et autant de membres d’une tribu de l’autre. Posez les 2 pions sur la case départ.
- L’équipe qui a fait le plus gros score au dé commence et l’on joue ensuite dans le sens des aiguilles d’une montre.
Déroulement de la partie :
Le premier groupe qui a gagné relance le dé.
Ils avancent leur pion en fonction du nombre de cases indiqué par le dé.
S’ils tombent sur une case « Q », l’équipe adverse prend une carte « Q » du paquet et la lit à haute voix. Si l’équipe questionnée donne la bonne réponse, ils peuvent recevoir une carte « Indice », mais, ils restent sur place et c’est au tour de l’autre équipe de jouer.
Si la réponse est mauvaise, ils restent sur la case.
S’ils tombent sur une case « P », un membre de l’équipe la lit à haute voix et tous les membres doivent obéir et réaliser la chose demandée. L’équipe adverse juge si oui ou non, ce qui est demandé est bien réalisé. Ensuite, on passe à l’autre équipe et ainsi de suite.
Une fois la carte utilisée, on la remet à la fin du paquet.
Les cartes :
Le jeu est composé de 4 sortes de cartes différentes.
- Les questions pour les ethnologues : sont des questions qui doivent être posées aux ethnologues par la tribu.
- Les questions pour la tribu : sont des questions qui doivent être posées à la tribu par les ethnologues.
- Les pièges : sont des cartes pour les 2 équipes comportant certaines tâches à réaliser.
- Les indices : sont les cartes qui doivent être amassées le plus possible par les 2 équipes. Ensemble, elles doivent mener à la découverte de la cité perdue.
Une fois les cartes « Q » et « P » utilisées, on les remet à la fin du paquet.
Pour les cartes « Indices », l’équipe qui l’a gagnée doit la garder.
Fin de partie :
Si l’un des pions se trouve sur la case « Arrivée », l’équipe adverse prend la carte « Cité perdue », prend connaissance de la réponse et leur demande quelle est la cité perdue.
A l’aide de leurs cartes indices, les membres de l’équipe se concerte et tranche.
Si la réponse est bonne, l’équipe gagnante à le droit de créer leur propre carte piège et de demander à l’équipe adverse de réaliser la chose demandée.
Si la réponse est mauvaise, c’est l’inverse qui se produit, l’équipe qui a posé la question crée la carte piège et demande à l’autre équipe de réaliser la chose demandée.
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| Posté le 04-05-2008 à 18:25:47
| Cité 1
1. pillées dès l'Antiquité
2. entourée par de hautes falaises qui forment une barrière naturelle
3.mes trésors sont rassemblés dans deux grandes caches
4.curiosités touristiques dès la période de la Grèce et de la Rome antiques..
5. Le faste de mon trésor , laisse entrevoir ce que devaient posséder mes rois
6. je suis connue pour abriter des tombes
7. Son nom arabe est Biban el-Moulouk
8.mon nom est la vallée des rois
Cité2
5. Alexandre le Grand en -331 m’a conquis et détruit partiellement
1. ma construction commence en -521
6. je suis classée patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO depuis 1979.
4. je suis une ruine de la capitale achéménide
2. De nombreuses archives écrites sur des tablettes d’argiles découvertes dans les bâtiments du trésor et les fortifications livrent des renseignements précieux sur mon administration impériale.
3. ma construction fait appel à des ouvriers et artisans venus de toutes les satrapies de l’empire.
7.je suis fondée par Darius Ier
8.mon nom est persépolis
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| Posté le 04-05-2008 à 22:28:32
| A la recherche de la cité perdue
Règle du jeu
Incarnez un ethnologue ou un membre d’une tribu
et partez à la recherche de la cité perdue …
A travers des questions, rassemblez des indices !
Mais, attention aux pièges !!!
La découverte de la cité ne dépend que de vous !
Matériel :
- 1 plateau de jeu.
- 61 cartes ( 15 questions pour les ethnologues, 15 questions pour la tribu, 15 pièges et 16indices.).
- 2 pions. Les jumelles pour le groupe des ethnologues et le masque pour la tribu.
- 1 dé à 6 faces.
- 1 règle de jeu.
But du jeu :
Être le premier groupe à trouver la cité perdue.
Préparation du jeu :
- Placez le plateau de jeu sur la table.
- Placez vos 4 paquets de cartes à différents endroits sur la table, autour du jeu, faces cachées.
- Sortez la carte « Cité perdue » du tas et cachez-la sous le plateau de jeu.
- Formez vos groupes équitablement, autant d’ethnologues d’un côté et autant de membres d’une tribu de l’autre. Posez les 2 pions sur la case départ.
- L’équipe qui a fait le plus gros score au dé commence et l’on joue ensuite dans le sens des aiguilles d’une montre.
Déroulement de la partie :
Le premier groupe qui a gagné relance le dé.
Ils avancent leur pion en fonction du nombre de cases indiqué par le dé.
S’ils tombent sur une case « Q », l’équipe adverse prend une carte « Q » du paquet et la lit à haute voix. Si l’équipe questionnée donne la bonne réponse, ils peuvent recevoir une carte « Indice », mais, ils restent sur place et c’est au tour de l’autre équipe de jouer.
Si la réponse est mauvaise, ils restent sur la case.
S’ils tombent sur une case « P », un membre de l’équipe la lit à haute voix et tous les membres doivent obéir et réaliser la chose demandée. L’équipe adverse juge si oui ou non, ce qui est demandé est bien réalisé. Ensuite, on passe à l’autre équipe et ainsi de suite.
Une fois la carte utilisée, on la remet à la fin du paquet.
Les cartes :
Le jeu est composé de 4 sortes de cartes différentes.
- Les questions pour les ethnologues : sont des questions qui doivent être posées aux ethnologues par la tribu.
- Les questions pour la tribu : sont des questions qui doivent être posées à la tribu par les ethnologues.
- Les pièges : sont des cartes pour les 2 équipes comportant certaines tâches à réaliser.
- Les indices : sont les cartes qui doivent être amassées le plus possible par les 2 équipes. Ensemble, elles doivent mener à la découverte de la cité perdue.
Une fois les cartes « Q » et « P » utilisées, on les remet à la fin du paquet.
Pour les cartes « Indices », l’équipe qui l’a gagnée doit la garder.
Fin de partie :
Si l’un des pions se trouve sur la case « Arrivée », l’équipe adverse prend la carte « Cité perdue », prend connaissance de la réponse et leur demande quelle est la cité perdue.
A l’aide de leurs cartes indices, les membres de l’équipe se concertent et tranchent.
Si la réponse est bonne, l’équipe gagnante à le droit de créer leur propre carte piège et de demander à l’équipe adverse de réaliser la chose demandée.
Si la réponse est mauvaise, c’est l’inverse qui se produit, l’équipe qui a posé la question crée la carte piège et demande à l’autre équipe de réaliser la chose demandée.
A la recherche de la cité perdue – Bou-Ouadil Malika, N’Soko Laura, Kay Larissa – Editions Unicor – Jeu de société.
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 12-05-2008 à 11:01:56
| A la recherche de la cité perdue
Règle du jeu
Incarnez un ethnologue ou un membre d’une tribu
et partez à la recherche de la cité perdue …
A travers des questions, rassemblez des indices !
Mais, attention aux pièges !!!
La découverte de la cité ne dépend que de vous !
Matériel :
- 1 plateau de jeu.
- cartes ( questions pour les ethnologues, questions pour la tribu, pièges et indices.).
- 2 pions. Les jumelles pour le groupe des ethnologues et le masque pour la tribu.
- 1 dé à 6 faces.
- 1 règle de jeu.
But du jeu :
Être le premier groupe à trouver la cité perdue.
Préparation du jeu :
- Placez le plateau de jeu sur la table.
- Placez vos 4 paquets de cartes à différents endroits sur la table, autour du jeu, faces cachées.
- Sortez la carte « Cité perdue » du tas et cachez-la sous le plateau de jeu.
- Formez vos groupes équitablement, autant d’ethnologues d’un côté et autant de membres d’une tribu de l’autre. Posez les 2 pions sur la case départ.
- L’équipe qui a fait le plus gros score au dé commence et l’on joue ensuite dans le sens des aiguilles d’une montre.
Déroulement de la partie :
Le premier groupe qui a gagné relance le dé.
Ils avancent leur pion en fonction du nombre de cases indiqué par le dé.
S’ils tombent sur une case « Q », l’équipe adverse prend une carte « Q » du paquet et la lit à haute voix. Si l’équipe questionnée donne la bonne réponse, ils peuvent recevoir une carte « Indice », mais, ils restent sur place et c’est au tour de l’autre équipe de jouer.
Si la réponse est mauvaise, ils restent sur la case.
S’ils tombent sur une case « P », un membre de l’équipe la lit à haute voix et tous les membres doivent obéir et réaliser la chose demandée. L’équipe adverse juge si oui ou non, ce qui est demandé est bien réalisé. Ensuite, on passe à l’autre équipe et ainsi de suite.
Une fois la carte utilisée, on la remet à la fin du paquet.
Les cartes :
Le jeu est composé de 4 sortes de cartes différentes.
- Les questions pour les ethnologues : sont des questions qui doivent être posées aux ethnologues par la tribu.
- Les questions pour la tribu : sont des questions qui doivent être posées à la tribu par les ethnologues.
- Les pièges : sont des cartes pour les 2 équipes comportant certaines tâches à réaliser.
- Les indices : sont les cartes qui doivent être amassées le plus possible par les 2 équipes. Ensemble, elles doivent mener à la découverte de la cité perdue.
Une fois les cartes « Q » et « P » utilisées, on les remet à la fin du paquet.
Pour les cartes « Indices », l’équipe qui l’a gagnée doit la garder.
Fin de partie :
Si l’un des pions se trouve sur la case « Arrivée », l’équipe adverse prend la carte « Cité perdue », prend connaissance de la réponse et leur demande quelle est la cité perdue.
A l’aide de leurs cartes indices, les membres de l’équipe se concerte et tranche.
Si la réponse est bonne, l’équipe gagnante à le droit de créer leur propre carte piège et de demander à l’équipe adverse de réaliser la chose demandée.
Si la réponse est mauvaise, c’est l’inverse qui se produit, l’équipe qui a posé la question crée la carte piège et demande à l’autre équipe de réaliser la chose demandée.
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 12-05-2008 à 16:04:41
| Points positifs
- Connaissance d'un artiste belge, de renommée internationale ayant été tour à tour dessinateur, sculpteur, décorateur de théâtre et des stations de métro, auteur de courts-métrages d'animation, acteur, illustrateur de livres, ...
- C'est un artiste passé maître dans l'art de la communication : ses dessins et ses aquarelles, d'apparence pourtant modeste, sont souvent plus éloquents que de grands discours philosophiques.
L'auteur fait bien passer son message, il accroche le coeur et donne des formes à nos combats. Il s'est aussi brillamment servi du support des affiches pour défendre les causes qui lui sont chères (Les Droits de l'Homme, les Droits de l'Enfant, Amnesty International, ...).
- Son univers pictural est tendre, ses couleurs pastel sont douces. Ces drôles de petits bonhommes coiffés de leur chapeau et ces oiseaux s'envolant vers les étoiles ne nous laissent pas indifférents : ils réveillent notre imaginaire et parlent à nos rêves.
Ses chemins mènent vers la tendresse et vers des horizons d'un bleu infini, vers la poésie.
- La Fondation Folon se situe au coeur du Parc Solvay, un écrin de verdure dans la Ferme du château de la Hulpe et elle recèle plus de 300 oeuvres de l'artiste qui témoignent de l'aquarelliste, du sérigraphe, du graveur, d'affichiste et créateur d'objets qu' était Folon.
De nouvelles oeuvres sculptées jalonnent toute l'étendue du domaine et permettent de se questionner sur le message qu'a voulu faire passer l'auteur.
Points négatifs
- Certaines critiques d'art reprochent à l'artiste d'être inclassable et d'avoir touché à tous les domaines.
Son art leur semble simpliste et superficiel, trop naïf et répétitif, il parle à tout le monde mais n'apporte que quelques sensations. C'est un démagogue.
- Le fait de combiner la visite de 300 oeuvres plus le "décodage" des messages de chaque sculpture pourrait sembler long aux élèves.
Pourquoi y emmènerais-je mes élèves ?
- Pour leur faire connaître l'artiste belge qui a connu une renommée internationale, qui s'est épanoui dans de nombreux domaines et qui a su créer un style.
- Pour faire travailler leur imagination en leur montrant des images indélébiles qui porte un regard tendre et serein sur notre monde, qui l'enveloppe de tendresse et de pureté.
- Pour discuter avec eux des valeurs humanistes que prônait Folon qui s'est engagé dans des causes qui lui sont chères : l'enfance, les Droits de l'Homme, ...
- Pour leur montrer toutes les facettes d'une scénographie qui met les oeuvres d'un artiste en valeur (dessins, affiches, vidéos, décors, ...).
- Pour prolonger cette activité par un atelier d'écriture à partir d'une oeuvre choisie créée par l'artiste afin d'exercer son imagination, sa sensibilité.
Edité le 12-05-2008 à 17:35:40 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 12-05-2008 à 16:21:30
| Mes valeurs
Il y a énormément de valeurs qui me tiennent à coeur. Citons en vrac la liberté, le bonheur, l'amour, l'amitié, la paix, l'honnêteté, le courage, la fraternité, l'égalité, le respect, la tolérance, le partage, la justice.
Elles guident mon comportement que ce soit envers moi-même ou envers les autres
Elles nous renvoient à notre conscience et à notre responsabilité, c'est une sorte d'idéal qu'il faut essayer de respecter et d'atteindre.
Parmi toutes les valeurs citées, j'en développerais trois.
La première est la liberté. C'est avoir le droit de faire ce que l'on veut, ne pas être soumis à quelqu'un. C'est pouvoir exprimer ses idées librement sans être arrêté. C'est le droit de choisir sa religion ou de ne pas en avoir.
C'est important de pouvoir agir en toute liberté selon son bon vouloir, du moment que cela n'est pas défendu par la loi.
Il n'est pas juste d'enfermer des gens de façon arbitraire sans qu'ils aient d'avocats indépendants pour les défendre comme en Chine par exemple.
La seconde, c'est la recherche du bonheur.
Pour moi, la recherche du bonheur est une quête permanente. Le bonheur ne se trouve pas forcément dans l'amitié ou dans l'amour que les autres nous donnent mais aussi au plus profond de nous-mêmes. Chaque individu a son propre bonheur, sa propre joie de vivre et qu'en la partageant avec ceux qui en sont démunis, qui sont "déséquilibrés", cela peut changer un peu les choses.
Nous n'avons pas tous la chance d'avoir une maison, de pouvoir aller à l'école mais chaque personne a la chance sur cette terre de connaître l'amour, l'amitié, ... et cela, il ne faut pas le gâcher.
La troisième que je vais développer est la tolérance.
A l'heure du village planétaire et du brassage des cultures, la tolérance est une vertu très importante.
Aujourd'hui, chaque communauté religieuse tolère la présence de religions concurrentes mais si les religions pouvaient apprendre à se connaître et à dialoguer, ce serait une bonne chose. Ce qui est regrettable, c'est que certains croyants croient détenir LA vérité et méprisent dès lors les autres croyances alors qu'une même vérité peut revêtir différents visages.
Il faut tendre vers la pensée que ce qui est meilleur pour certains ne l'est pas forcément pour d'autres et admettre le pluralisme des idées.
Edité le 12-05-2008 à 17:37:29 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 12-05-2008 à 16:26:30
| Les personnages historiques
Voici trois personnages historiques qui forcent mon admiration :
Soeur Emmanuelle :
Son message est simple : la vie est belle quand on aime.
Son dynamisme, sa joie et ses convictions frappent.
Elle a écrit "Richesse de la pauvreté" où elle démontre que dans les bidonvilles, l'homme sourit aux autres, leur parle, la relation entre humains y est très importante.
Le bonheur, c'est de ne jamais perdre la communication avec les autres. Dans les bidonvilles, la solidarité était à la base.
Elle dénonce les multinationales et engage des jeunes à entrer dans les instances internationales et à se battre pour qu'il y ait un peu de justice dans notre monde.
Martin Luther King :
Homme de valeur qui a dirigé en tant que leader le mouvement noir aux Etats-Unis.
Ce pasteur se fit connaître par son action de boycotter les autobus municipaux ( elle dura 381 jours) afin de s'opposer à toute forme de ségrégation raciale.
Ce champion de l'action non violente organisa une marche sur Washington pour obtenir une loi sur les droits civiques.
Son discours "I have a dream"[/î] est resté célèbre, il faisait le rêve d'une nation américaine respectueuse de l'égalité de tous.
En 1964, il s'éleva contre la guerre au Vietnam.
Il fut assassiné le 4 avril 1968 (Il a eu le Prix Nobel de la paix en 1964).
[i] Le dalaï-lama :
Personnalité charismatique.
Chef spirituel et temporel d'un pays qui n'existe pas.
Il lutte pour la survi de 6 millions de Tibétains, face à plus d'un milliard de Chinois.
C'est un lama souriant qui incarne des valeurs comme le contre-pouvoir, le droit à la différence, l'aspiration à la paix, la résistance à la loi du plus fort.
Depuis son exil en 1959 en Inde, il dénonce, inlassablement et sans la moindre haine l'occupation chinoise.
Sa religion est celle de la gentillesse, il aide les gens à croire en eux, à avoir confiance.
Edité le 12-05-2008 à 18:48:21 par Sora
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| Posté le 27-07-2008 à 17:10:39
| Kay
Larissa
1NS - FLE
25 juillet 2008
Les femmes dans la guerre
Introduction
Le rôle des femmes dans la guerre est mis à l'honneur par cette exposition, depuis la bataille de Waterloo jusqu'à nos jours.
Certaines sont des figures connues (Edith Cavell, Gabrielle Petit), bon nombre de ces héroïnes sont anonymes.
Quelques-unes ont suivi leur mari parfois avec leurs enfants, leur servant de cantinière, de vivandière ou de lavandière, d'autres, déguisées en hommes, vont participer au combat.
Durant la guerre 40-45, elles vont remplacer les hommes partis au front, vont s'activer dans les camps et faire tourner les usines. Elles sont aussi souvent infirmières.
Dans la dernière partie, une exposition de photos évoque la période contemporaine où les femmes et les enfants sont les victimes principales des conflits et des guerres.
Points positifs
Tout d'abord, j'ai trouvé le thème de l'exposition très original. En effet, cela pourrait montrer aux élèves qu'il n'y a pas que les hommes qui se sont engagés dans la guerre. On apprend qui ont été les cantinières, les résistantes ainsi que les infirmières, et, quel était leur devoir au sein des camps de guerre.
La deuxième chose qui m'a plu est le fait que l'exposition était entièrement composée de pièces éparses qui venaient soit d'un musée, soit d'une collection privée. On pouvait admirer des bidons de cantinières, des masques à gaz, des poupées à l'effigie des religieuses, des anciennes cartes postales, des lettres et des magazines.
Toute la visite se fait à pied, en regardant les objets à la vitrine et en lisant la petite explication à côté. Elle s'étend sur trois pièces, en parcourant le musée de Wellington, à Waterloo.
Et, pour la finale, on a droit à une petite vidéo ( deux épisodes de 58 minutes ) relatant les aventures de Dédé De Jongai qui, passant par l'Espagne, a caché des soldats, ainsi que des pilotes pendant la guerre.
Points négatifs
Pour ma part, c'est la vidéo qui m'a le plus déçue. Certes, on est devant un très beau docu-fiction relatant les aventures de Dédé, tout en l'écoutant, elle, à l'époque où le film a été tourné.
Mais, le vidéo est beaucoup trop longue.
Déjà, la visite est courte, elle ne dure que, plus ou moins, une heure, rajouter le premier épisode de la vidéo et vous obtenez 2 heures.
Je ne sais pas si les élèves pourront rester une heure de plus pour regarder la fin.
Pourquoi y emmènerais-je mes élèves ?
Comme je l'ai déjà dit plus haut, je veux leur montrer que les hommes n'étaient pas les seuls impliqués dans la guerre. Des femmes sont venues les aider en apportant leurs compétences propres, certaines sont mêmes très connues, mais, la plupart sont quand même restées dans l'ombre.
En emmenant mes élèves là-bas, je pourrai déjà leur présenter le fameux musée, qui renferme toute l'explication de la bataille de Waterloo.
Ils seront étonnés de toutes les affaires prêtés rien que pour l'exposition. Celles-ci sont tous authentiques et datent d'il y a longtemps ! Je trouve que c'est le plus beau cadeau que l'on puisse faire à une exposition.
Apprendre que Eliane Guyot et Jeanne Oriane ont aidé pour notre patrie leur révèle aussi l'histoire de la Belgique.
Dans cette exposition, nous ne sommes pas là spécialement pour les femmes non plus. Il y a une quantité de magnifiques tableaux, venant de Ernest Weiller ou de Marin Lavigne, que les élèves pourront apprécier en tant qu' art de guerre, et, analyser après quelques explications.
Voir ceci pourra leur donner un indice sur l'époque ainsi que leur mode de pensée.
Et, enfin, terminer le tout par un film, cela mettra le côté théâtral de la magie du cinéma pour qu'ils retiennent tout de même quelque chose de la visite.
Une fois rentrés en classe, on peut leur demander comme travail de questionner leurs grand-parents sur leur implication dans la guerre, ou encore, s'ils cachent des trésors de ce passé.
Edité le 17-08-2008 à 14:12:12 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 04-08-2008 à 10:34:26
| Kay
Larissa
1NS - FLE
juillet 2008
Oriental Fascination (1889-1915)
Le japonisme en Belgique
Introduction
Qui n'a jamais entendu parler de l'art japonais ? Beaucoup de personnes apprécient l'esthétique japonaise mais peu d'entre elles connaissent le nom de grands peintres.
Pour mieux les connaître et se rendre compte de l'influence des artistes japonais sur les artistes belges en cette fin du XIXième siècle, rendez-vous à la superbe exposition traitant de ce thème à l'Hôtel de Ville de Bruxelles.
A côté des oeuvres d'Utamaro, de Kitagawa, de Hiroshige et d'Hokusaï, on y retrouve aussi des oeuvres splendides de Fernand Khnopff, Georges Lemmen, Félicien Rops, Léon Spilliaert, Théo Van Rysselberghe et bien d'autres.
Les thèmes japonais traditionnels qui représentent des fleurs, des oiseaux, des courtisanes, des divinités, des paysages sont repris en partie dans les tableaux des auteurs belges précités.
Point positifs
Le choix des estampes japonaises et des tableaux des artistes belges procurent un émerveillement; les oeuvres sont d'une très grande beauté.
On comprend mieux d'où vient la fascination pour le Japon car les oeuvres dégagent beaucoup de charme et de mystère. On apprend à connaître l'imaginaire des Japonais, leurs légendes et leur mode de pensée.
Le Japon a fourni une nouvelle source d'inspiration aux artistes puisqu'il s'est ouvert à l'Occident en 1854 et il a favorisé l'apparition du modernisme chez nos artistes.
Le décor est déjà assez majestueux, l'Hôtel de Ville est un cadre fabuleux et au plafond se trouvent de multiples gravures et citations. L'endroit est agréable et "magique" pour organiser une visite.
Les tableaux sont accrochés au le mur, en indiquant leur auteur, le titre de l'oeuvre ainsi que sa date de création, et, comment il a été fait, de manière à respecter des thèmes. Entre ceux-ci, on a droit à des tableaux de peintres belges montrant comment ceux-ci voyaient l'art oriental, et, l'influence qu'il a apporté sur leurs chefs-d'oeuvre.
Un panneau explicatif se trouve judicieusement à l'entrée, ce qui permet aux visiteurs de s'imprégner du contexte dans lequel les oeuvres sont apparues et, quand le Japon a décidé de s'ouvrir au monde et de partager ses trésors.
Un guide explicatif est prêté à l'entrée et devra être rendu à la fin de la visite.
Il y a un parcours sans faute, les tableaux sont exposés dans la plus grande lumière et sont disposés de façon structurée : les artistes belges côtoyent les artistes japonais autour d'un même thème. Exemple : les paysages, les animaux, les femmes, ...
Il est très intéressant de mettre en rapport des civilisations qui vont se développer parallèlement et qui vont s'influencer à un moment donné dans le domaine esthétique et artistique.
Points négatifs
Les commentaires gagneraient à être plus fournis et à être écrits plus lisiblement.
Même dans le guide explicatif, les renseignements donnés sur l'oeuvre portaient parfois plus sur l'exposition où elle était apparue que sur sa signification.
Dommage qu'il n'y avait pas d'audioguide.
Pourquoi y emmènerais-je mes élèves ?
Pour que les élèves découvrent l'art japonais,en connaissent les thèmes et l'imaginaire, en apprécient la réalisation, les techniques employées et leur influence sur certains auteurs belges célèbres.
Après ceci, ils pourront faire des recherches sur certaines légendes japonaises qui ont été représentéees sur des tableaux.
De plus ils pourront découvrir les techniques de l'estampe japonaise et tenter d'en reproduire une.
Aussi pour leur apprendre à voir, à apprécier et à respecter leur propre patrimoine comme celui d'une autre culture, à les confronter à d'autres cultures dans le but de les comprendre et de susciter les facultés de tolérance.
Comme les jeunes témoignent d'un engouement pour les mangas, ils s'intéresseront à l'esthétique japonaise et à tout ce qui touche à ce pays fascinant, ils chercheront peut-être des réponses à leurs questions dans la philosophie orientale.
Edité le 17-08-2008 à 13:24:39 par Sora
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| Posté le 09-08-2008 à 12:28:46
| Kay
Larissa
1NS - FLE
août 2008
Art du monde islamique
Introduction
Exposition de plus de 350 objets authentiques, présentés par région et par période, qui permettent de découvrir ou de mieux connaître l'art islamique.
Un tableau aide le visiteur attentif à découvrir la structure du parcours proposé et un audioguide compris dans le prix de la visite facilite celle-ci, la rend plus intéressante et plus concrète.
On y découvre des éléments d'architecture provenant d'une mosquée du Pakistan, un énorme écran qui s'inspire de l'habitation islamique traditionnelle : la moucharabieh et qui laisse pénétrer une lumière légère, subtilement voilée.
Au fil du parcours, on rencontre de superbes tissus filés d'or et de soie, des tapis, les chemises à broderies du XIIème siècle, des pantalons de soie avec des ceintures de corde faites de matières précieuses, des étoffes luxueuses...
La collection comprend également de la céramique datant du IXème au XIXème siècle, de la verrerie, des objets en métal dont le superbe casque d'un sultan mamelouk. Les miniatures et les livres présentent aussi des vieux contes arabes.
Sur la mezzanine, on y étudie la vie dans le désert, dans un village et en ville.
Points positifs
Pièce splendide, décor superbe et ambiance feutrée grâce à l'énorme moucharabieh, aux fragments en bois de la mosquée ainsi qu'à trois colonnes provenant du Pakistan.
Un vaste territoire est couvert passant du Sud de l'Espagne jusqu'au Nord de l'Inde.
Une musique d'ambiance y est diffusée provenant du MIM ce qui ouvre encore plus les portes du monde oriental.
On reste à l'heure orientale avec ces objets diversifiés tels que les tapis, les tissus, les étoffes, les superbes céramiques et leurs motifs au bleu de cobalt, les poignards, la porte intérieure marocaine que date du début du XXème siècle et son unité chromatique et décorative, les objets de luxe raffinés.
Explications intéressantes fournies par les panneaux et les audioguides.
Points négatifs
Il y a tellement d'empires qui se sont succédé qu'il est difficile de tout assimiler.
Tous les grands pays islamiques ( par exemple l'Indonésie ) ne sont pas représentés.
On parle surtout des populations de haut rang tels que les souverains, les riches et les marchands, on parle peu des gens simples et de la vie quotidienne.
Certaines explications sont peu éclairées,on a donc une petite difficulté à les lire.
Pourquoi j'y emmènerais mes élèves ?
Découverte de l'art islamique, de ses couleurs, de sa beauté et de sa finesse.
Etudier en quoi l'Islam fut un facteur d'unification pour toutes ces régions, de quelle façon l'Orient islamique a stimulé l'enthousiasme des savants, la création des artisans et l'imaginaire des artistes.
Connaissance d'un passé et de certaines traditions ( Exemple : pratiques processionnelles ), approche d'une mentalité.
Les élèves peuvent être acteurs de l'exposition grâce aux audioguides et surtout aux cinq écrans d'ordinateurs interactifs et aux jeux pour les enfants.
Etudier le mélange des traditions orientales à des traditions romaines et wisigothiques locales en Andalousie.
Apprendre en quoi le développement du commerce international a contribué à des échanges mutuels aux niveaux culturels et artistiques.
Edité le 09-08-2008 à 13:29:18 par Sora
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| Posté le 16-08-2008 à 14:02:54
| Kay
Larissa
1NS - FLE
août 2008
Le dessous des cartes (Mapas Abiertos)
Présentation
Exposition centrée sur la création photographique de l'Amérique latine et centrale et aux Caraïbes sur une période allant de 1991 jusqu'à maintenant.
Plus de deux cent photos prises par des artistes traitant de sujets contemporains et offrant leur vision de cette société.
L'exposition se divise en trois parties, la première s'intitule "Rituels d'identité" où figurent des représentations du corps et de la personne. La deuxième, "Scénarios", qui explore le lien entre le privé et le public, l'individuel et le collectif, et la troisième se nomme "Histoires alternatives", elle remet en question la façon dont on dit l'histoire et elle remet en cause la notion de vérité.
Points positifs
Images captivantes qui traitent surtout de l'identité et de la place de l'individu dans son environnement social.
Cette exposition illustre l'intégration de la photographie dans le domaine des arts plastiques, c'est un symbole de modernité pour les créateurs.
Interaction entre le sujet photographié et le dispositif photographique mis en place ainsi que les techniques dont il dispose (fractionnements, masquage, déguisements, traverstissements, maquillage, pose).
Le collage, le montage des photos, des manipulations digitales créent des espaces de représentation et des mises en scène "théâtrales".
Les artistes se détachent des sujets typiques latino-américains (l'impressionnant, l'héroïque ou l'épique) et se tournent vers les sujets apparemment banaux (immeubles morts), le kitch et le mauvais goût (nudité dans une scène de crucifixion), la narration des expériences quotidiennes.
Ils s'intéressent plus à la fragilité de l'être, à la douleur humaine et à l'environnement destructeur.
Points négatifs
A part les atmosphères et les émotions qui se dégagent à la vue de ces photos élaborées, des audioguides sont absolument nécessaires pour nous décrire les visions et les intentions des artistes.
Des catalogues de l'exposition sont mis à notre disposition dans la deuxième salle, mais ils ne sont écrits qu'en espagnol.
Certains thèmes sont choquants et irrévérencieux (exhibition de nudité de mauvais goût)
Pourquoi j'emmènerais mes élèves à cette exposition ?
La photographie est un média intéressant pour poser un regard critique et parfois comique sur la société actuelle (commentaire discret face aux anciennes utopies).
Les photos sélectionnées dans cette exposition sont toutes porteuses de signification, c'est une compétence intéressante à développer chez les élèves : essayer de comprendre le message de l'artiste.
L'identité est au coeur de la thématique ainsi que la place de l'individu dans son environnement social.
Ce regard particulier rend compte de la réalité sociale de vingt pays et de cinq-cent-vingt millions d'habitants d'une façon originale.
Certaines photos poétiques ou mystiques renvoient au questionnement de tout être humain, même si nous ne comprenons pas tout, elle nous renvoie à notre propre spiritualité. Pour ces peuples très religieux, la puissance spirituelle réside dans toute chose. Et pour nous ?
Cette exposition est aussi une preuve des efforts que les artistes ont fournis pour moderniser le langage photographique.
Point de départ d'une activité avec les élèves : prenez une photo de votre ville et livrez votre opinion sur elle.
Thème : "La photographie, une manière de parler de votre ville."
Ou bien : "Prenez un tableau célèbre et refaites-en une nouvelle interprétation par un montage photos.
Edité le 17-08-2008 à 13:28:30 par Sora
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| Posté le 17-08-2008 à 12:01:16
| Kay
Larissa
1NS - FLE
août 2008
Expo 58
Au musée royal de l'Afrique centrale
Présentation
- En 2008, l'Exposition universelle présentée à Bruxelles en 1958 fête ses 50 ans.
- Le Musée royal de l'Afrique centrale a été impliqué dans cet évènement puisqu'il a prêté certaines de ses collections aux sept pavillons consacrés au Congo belge et au Ruanda-Urundi. De plus, les Congolais qui participaient à l'exposition ont été accueillis à Tervuren dans un nouveau bâtiment aménagé pour eux à cette occasion.
- Le parcours de cette exposition temporaire est très particulier puisqu'il s'effectue dans des différentes pièces du musée permanent et qu'il y traite d'un thème de l'exposition universelle en lien avec les objets exposés dans chacune des pièces (Exemple : photos du palais de l'agriculture dans la salle d'économie.).
Points positifs
- Vidéo intéressante à l'entrée de l'exposition faisant alterner un film d'époque commenté par un Africain présentant les pavillons congolais et les analyses d'un historien africain contemporain : elle permet de se rendre compte de la différence de perception entre les Belges et les Africains à l'époque. En effet, la Belgique, à travers son exposition, donne une image édulcorée et triomphale du Congo belge, elle met l'accent sur la notion de civilisation et les progrès réalisés depuis la cession du Congo à l'Etat belge. Sur le terrain, d'après l'historien, la réalité est tout autre : les affaires ralentissent, il y a de plus en plus de jeunes déscolarisés qui tombent dans la délinquance.
- Témoignages des Congolais invités pour l'exposition qui font part du racisme dont ils font l'objet de la part des visiteurs , surtout les artisans qui ont été placés dans un village "congolais" reconstitué.
- Ingénieuse trouvaille de parcourir le magnifique musée permanent en cherchant les panneaux, les cartes et les explications sur l'Expo 58, cela permet de revoir de fabuleux animaux empaillés, de superbes bijoux, des insectes terrifiants, des masques de toute beauté, des matières premièresn, des plantes, des parures, ...
- Musée d'une belle architecture dans un site verdoyant, se situant près de la forêt de Soignes.
- Il y a des audioguides pour ceux qui le désirent.
Points négatifs
- Prévoir une après-midi pour bien profiter de ce musée car il est fascinant et recèle énormément de pièces intéressantes.
Pourquoi j'emmènerais mes élèves à cette exposition ?
- Cette exposition éveille l'intérêt pour l'histoire de la période coloniale.
- Elle incite les élèves à adopter un regard critique sur la façon dont les Africains étaient perçus à l'époque et à se demander si certaines idées du passé ont survécu jusqu'à nous.
- On peut percevoir grâce à de nombreux objets authentiques l'identité culturelle africaine.
- Stimuler leur participation active par une préparation adéquate, en leur demandant de développer un des thèmes présentés dans l'exposition au choix.
- Jeu de piste avec un formulaire à trous pour les intéresser à la visite et s'assurer qu'ils aient bien lu les textes et écouter les films et les vidéos.
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| Posté le 29-11-2008 à 17:46:57
| 1.) Qu'est-ce que Socrate a dit?
"Je sais que je ne sais rien." (5ième siècle av. J-C.).
2.) Que soulevons-nous après avoir écouté la chanson de Renaud ?
Un portoricain et une Afghane, par un même phénomène, se retrouvent victimes de la "violence éternelle". Mais, pourquoi cette violence éternelle ? Pourquoi en sommes-nous victimes ? Ce n'est pas la bible qui est remise en cause, ni le coran mais une mauvaise interprétation des religions.
L'intérêt d'une guerre peut être économique ou financier. (Ex : le pétrole.) Renaud entend par "éternelle" qu'on se sent impuissant face à cette violence, qu'elle a toujours existé et qu'elle existera toujours.
C'est une vision noire de l'Humanité.
3.) Quel est le message optimiste de Claude Javeau ?
"Il faut écouter notre petit murmure face au bruit du monde".
4.) Que fait la chanteuse Axel Red ?
Elle ne cultive pas un ensemble mais plusieurs identités cutlurelles car elle est d'origine flamande mais chante en français.
5.) Selon Hubert Reevs, qu'est-ce que le Big Bang ?
C'est "notre horizon d'univers connu". Notre vue voit jusqu'au Big Bang, mais, pas plus loin.
6.) Quelle est la vitesse de la lumière ?
300 000 km/s.
7.) Quelle est la vitesse du son ?
340 m/s.
8.) Combien de km séparent la lune de la Terre ?
300 000 km.
9.) Comment voit-on le soleil ?
Tel qu'il était il y a 8 min.
10.) Cite une galaxie que l'on peut observer en dehors de la nôtre ?
Celle d'Andromède, à 2 millions d'années-lumières de la Terre. Si un petit homme vert regardait la Terre d'Andromède, il verrait des australopithèques.
Hubble, lui, voit une explosion de particules.
11.) Quel est le film le plus célèbre de Charlie Chaplin ?
"Le grand dictatuer" en 1938.
Il y a un recul grâce à l'humour qui est une force exceptionnelle. Ce film est sorti AVANT même l'annexion de l'Autriche. Comme s'il avait voulu prévenir le monde de ce qui allait se passer puisque que ceci se produira vraiment !
12.) Sachant que nous sommes tous formés d'atomes, quelle conclusion pouvons-nous tirer sur le plan de l'Univers ?
~>Puisque l'atome est l'élément universel de l'Univers entier, nous avons tous une origine commune : "Nous sommes des poussières d'étoile."( H. Reeves.)
Nous devons alors nous sentir faisant partie d'un tout cohérent, respecter les animaux, les végétaux, les hommes, ...
Sinon, on aura peut-être un retour de flammes de la nature ?
13.) A dater :
- Le Big Bang ?
- 15 milliards d'années.
- La vie sur Terre ?
- 3,5 milliards d'années.
- L'apparition de la Terre ?
- 4,5 milliards d'années.
14.) De quoi la Terre est-elle composée ?
De 1/5 de terres émergées et de 4/5 de terres immergées.
15.) Cite-moi les 6 continents.
L'Europe, l'Océanie, l'Amérique, l'Afrique, l'Asie et l'Antarctique.
16.) Alors, qu'est-ce que l'Arctique ?
Un océan gelé.
17.) Comment se nommait le seul continent ? Et la seule mer ?
La pangée et la panthalassa.
18.) Qu'est-ce que l'eurasie ? Et la dérive des continents ?
Une plaque techtonique. La techtonique des plaques.
19.) Qu'a permis la dérive des continents ?
L'apparition de l'espèce humaine.
20.) Quelle est la théorie de la bipédie ?
Les forêts africaines étant devenues des savanes, les grands singes se seraient redressés et auraient marcher pour rechercher de la nourriture ailleurs. Selon Ives Coppens.
21.) Qu'est-ce que pour Krishnamunti l'apprentissage ?
L'école, c'est la vie. Il faut tout observer, être curieux, être ouvert à l'apprentissage, poser sans cesse de nouvelles questions pour découvrir de nouvelles choses.
22.) De quand date la découverte de l'imprimerie par Gutenberg ?
En 1452-1453.
23.) Combien de % de la population mondiale vit dans l'ère industrielle ?
15 %.
24.) Qu'est-ce que l'I.D.H.?
L'Indicateur de Développement Humain.
C'est l'ONU qui a créé ça.
Ca parle : du taux d'alphabétisation des adultes et de la scolarisation, donc de l'éducation. De la santé : l'espérance de vie à la naissance.
25.) Que signifie "culture" ?
Culture vient de "cultura" qui veut dire : "Le soin apporté au champ."
Au 16ième siècle, la culture devient la culture générale, c'est l'ensemble des connaissances sur n'importe quel sujet.
Au 18ième siècle, en France, dans le siècle des Lumières, c'est l'ensemble des connaissances intellectuelles. Et, en Allemagne, "Kultur" signifie : "Le génie d'un peuple."
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| Posté le 29-11-2008 à 18:18:17
| 26.) Qui sont les fondateurs de la sociologie et que disent-ils sur la cutlure ?
Durkheim et Mauss. En 1900, quand les gens vivent en société, ils développent une certaine culture.
27.) Qu'étudie l'anthropologie ?
Le physique (Tout ce que nous transmettons sous forme innée) et le culturel ( Tout ce qui est acquis.).
28.) Qu'est Darwin et qu'a-t-il dit ?
En 1859, Charles Darwin, un anthropologue physique et naturaliste, déclare que toutes les espèces vivantes s'adaptent aux modifications de leur environnement naturel au point d'évoluer. Sinon, elles disparaissent.
29.) Que dit le relativisme à propos des cultures ?
Que toutes les cultures se valent.
30.) Qu'est-ce que l'acculturation ?
Une perte d'une partie ou de la totalité de sa culture au contact d'une autre.
31.) Quand a-t-on isolé l'A.D.N. ?
Pas avant le 19ième siècle.
32.) Que font apparaître les anthropologues physiques dans 4 écoles, à propos des théories des évolutions culturelles ?
- L'émergence de la culture : on s'intéresse aux hominidés et on remarque un énorme acquis par rapport à l'inné. (Le petit de l'homme est incapable de vivre sans un environnement familial.)
- Analogies : la transmission d'une culture par rapport à une autre se fait comme la transmission des caractères physiques.
- L.C. Sforza découvre que la différenciation culturelle et génétique est liée à la séparation physique. Tant que les gens sont ensemble, leurs caractères physiques et proches restent.
- E.O. Wilson parle de "coévolution" des gènes et de la culture. On serait préprogrammé en ayant une certaine culture dans nos gènes.
ATTENTION danger : ça voudrait dire que les races existeraient alors.
33.) A quoi est liée l'identité ?
Identité - Individu
- Groupe : Famille (clan), Profression, Loisirs
- Communautaire.
34.) Qu'est-ce qui est fondamental dans l'identité Européenne ?
La sécurité sociale.
35.) Quelle est l'identité Européenne ?
La fraternité ~> La solidarité, donc, la fraternité économique.
Mais, c'est aussi pour un point de vue militaire et politique.
36.) Que revendique-t-elle ?
La sociale-démocratie.
37.) Quand a-t-elle été créée ?
L'Union Européenne a été créée en 1957 grâce au traité de Rome. Elle comptait le Bénélux, l'Allemagne, la France et l'Italie. C'est la plus petite union qui a réussi à ne plus faire de guerres.
Puis, elle est devenue la CEE : la Communauté Economique Européenne. Fin des taxes économiques entre les pays, on pouvait circuler librement.
38.) Qui prend les décisions pour l'Europe ?
Le conseil des ministres.
39.) Comment se nomme leur bâtiment inconnu où ils se rassemblent ?
L'Eulypse.
40.) Que fait la Commission Européenne ?
Elle propose l'ordre du jour, les sujets sur lesquels il faut débattre.
41.) Qu'est-ce qui lui manque ?
Une constitution, un texte fondateur expliquant ce qu'elle est.
42.) Quel est son objectif ?
Continuer la paix.
43.) Quelle est notre culture en Europe ?
Ecriture > alphabet latin > grec.
Nous avons une culture greco-romaine.
Nos chiffres sont arabes.
Mais, les grecs ont puisé leur écriture chez les Phéniciens.
L'alphabet phénicien fut le 1ier alphabet au monde : 12ième siècle av. J-C..
Il vient du Liban.
Il était composé de 22 consommes : l'alphabet cursif.
Les Grecs ont rajouté les voyelles.
La légende de l'Europe est l'histoire d'Europe, une jeune princesse phénicienne qui se fait enlever par Zeus, le roi des Dieux, transformé en taureau blanc et qui l'amène en Crête.
Conclusion : notre culture est donc d'origine phénicienne, libanaise.
44.) Quand est née la Belgique ?
En 1830, c'était un état artificiel, le résultat d'une volonté internationale et d'une frustration bourgoise. Ancien état tampon.
45.) Qu'y avait-il en Belgique ?
Des bourgeois qui voulaient plus de pouvoir, des nobles catholiques et la majorité étaiy protestante.
46.) En quelle année une frontière linguistique fut mise en place ?
En 1962.
47.) En quelle année les femmes peuvent-elles voter ?
En 1947.
48.) En quelle année fut créé le pacte scolaire ?
En 1958. L'Etat paie tout le monde.
49.) Quelle est la richesse de l'identité belge ?
L'absence de fierté. Autodérision : on peut avoir un regard sur soi-même, décalé. Nous ne sommes pas nombrilistes.
50.) Que fait l'anthropologue ?
Il reste dans le global, la théorie, il cherche des mécanismes de manière générale.
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| Posté le 29-11-2008 à 18:46:08
| 51.) Que fait un ethnologue ?
Il passe sa vie entière à étudier un peuple ou un groupe de peuples. Il s'immerge dans la vie d'un peuple pour le comprendre.
52.) Qu'est-ce qu'un peuple ?
Un grand nombre de personnes qui partagent un territoire et des institutions.
Mais, la notion de territoire ne veut plus rien dire, car, les peuples sont dispersés à la surface du globe à cause de diaspora, migrations et, inversément, un peuple n'a pas spécialement besoin d'un territoire officiel.
53.) Qu'est-ce qu'une ethnie ?
Un ensemble de personnes qui partage une même culture et qui en sont conscients. Sentiment d'appartenance. Ils sont plus soudés parce que le groupe est plus petit.
54.) Que signifie "tribu" ?
La même chose que "ethnie", sauf que cette notion fut introduite par les colonisateurs.
55.) D'où vient clan ?
De "clanne" qui signifie "famille" en écossais.
56.) Qu'est-ce qu'une société traditionnelle ?
Une société basée sur les traditions. Elle est en dehors de l'industrialisation. Elle est "néolitique", elle n'a pas de machines. ( Ex : la riziculture inondée en Chine.)
57.) Cite quelques sociétés traditionnelles.
Les bushman de Kalahari, les Pygmées, les aborigènes d'Australie, les mahories, les papous, les Inuits, ...
58.) Qu'est-ce que l'assimilation ?
Une acculturation forcée : tu adoptes mon mode de vie, ma cutlure ou tu peux disparaître...
59.) Cite un problème qu'ont ces sociétés ?
Une perte de territoire liée au climat et à l'industrialisation.
60.) Cite des points communs que ces sociétés traditionnelles ont entre elles.
- Esprit communautaire : la communauté prime sur l'individu.
- Pas ou peu sens de la propriété : tout appartient à tout le monde.
- Peu de hiérarchie, de classes sociales : si il y a un chef, c'est le plus âgé car il possède des connaissances, la sagesse.
- Le shaman : est l'intermédiaire entre les individus et les Dieux. Il y a des valeurs spirituelles.
Animisme : pour eux, dans chaque chose, il y a un esprit, un djinn.
La nature est divinisée car la plupart des éléments vient de celle-ci.
Polythéisme : ils vénèrent plusieurs Dieux.
- Pas ou peu utilisation de l'écriture : l'écriture est réservée aux choses exceptionnelles. La tradition est orale.
- Rites nombreux : rites curatifs : désenvoûter quelqu'un qui aurait mal, faire passer l'enfant à l'âge adulte.
- Ethnocentrisme : les sociétés sont très ethnocentristes, elles se croient seules au monde.
- Chasseurs / Cueilleurs / Nomades.
61.) Quelles sont les menaces pour les sociétés traditionnelles ?
- L'assimilation : leur faire adopter un autre mode de vie.
- Perte de territoire liée au climat et à l'industrialiation.
- La religion.
- Le tourisme.
- Les intérêts économiques.
- L'impérialisme, les guerres.
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 30-11-2008 à 13:35:45
| 62.) Qui sont les Digours ?
Un peuple traditionnel turcophone qui vivait dans l'Ouest de la Chine. Ils ont été colonisés par celle-ci.
63.) Qui sont les Sâmes ?
Les Sâmes sont aussi appellés les Lapons. C'est un peuple qui vit au Nord de la Norvège, la Finlande et la Russie. Ils vivent en harmonie avec le renne mais le chassent aussi. Il y a longtemps, du à Tchernobyl, des poussières radioactives ont affecté les troupeaux.
64.) Qu'est-ce que l'O.N.U. ?
La société des Nations Unies. Son but était de faire la paix. Mais, dans l'entre 2 guerres, ils ont eu un échec royal.
65.) Qu'est-ce que l'O.I.T. ?
L'Organisation Internationale du Travail. Son objectif est de protéger les conditions des travailleurs dans le monde.
66.) Qu'est-ce qu'un peuple autochtone ?
C'est en 1989 qu'on a défini ce que devait être un peuple autochtone.
1. Au dico, indigène = quelqu'un d'originaire de là où il vit.
2. Doit avoir été victime de colonisation, conquête ou génocide.
3. Doit être dominé culturellement, économiquement et politiquement.
4. Ce statut doit être revendiqué pour leur donner des droits.
67.) Les Krudes sont-ils reconnus étant un peuple autochtone ?
Oui.
68.) De quand date la protection ?
Depuis le 20 novembre 2001.
69.) Qu'est-ce que l'U.N.E.S.C.O. ?
U.N.E.S.C.O. = ONU + Education, Science et Culture.
Il est financé par ses propres moyens. Il se trouve à Paris. Son objectif étant de défendre l'éducation, les sciences et la culture. Il a signé un texte fondateur : " La Déclaration Universelle de l'U.N.E.S.C.O. sur la diversité culturelle."
70.) Qu'est-ce que l'O.M.C. ?
L'Organisation Mondiale du Commerce.
71.) En quelle année fut votée une convention sur les expressions culturelles ?
En octobre 2005, mais, elle est restreinte et la partie sur les peuples autochtones apparaît peu et n'a pas été votée à majorité.
72.) Quand une explosion démographique a-t-elle eu lieu ?
Au 20ième siècle, le problème, c'est la répartition. Si on continue la courbe, bientôt on sera 12 milliards.
73.) Qui fut le premier pays à vivre une révolution industrielle ?
La Grande Bretagne en 1750.
Suivie de la Belgique, l'Allemagne et les Etats-Unis en 1830.
74.) Qu'est-ce que l'exode rural ?
Ce sont des gens qui travaillent à la campagne qui vont aller dans les villes.
75.) De quand datent les 1ières migrations internationales ?
A la fin du 19ième siècle, on va chercher des travailleurs transfrontaliers pour le charbonnage et la métallurgie.
76.) Qui la Belgique va-t-elle chercher pour travailler ?
Des Italiens et Polonais.
77.) Que se passe-t-il en 1929 aux Etats-Unis ?
C'est le krach du Wall Street. Tous les pays industrialisés sont touchés. Le chômage étant massif, on va arrêter l'immigration et donner la priorité aux travailleurs de son propre pays.
78.) Que permet la 1ière politique restrictive ?
Un double permis : de séjour et de travail.
Comme les pays ferment leurs frontières, un travailleur étranger doit prouver qu'il a été invité pour rentrer. Et, s'il a le permis de travail, il reste seulement pour quelques mois.
79.) Quel est le calcul du solde migratoire ?
Solde migratoire = Immigration - Emigration.
80.) Que se passe-t-il en Belgique en 1946 ?
C'est "La bataille du charbon", et, ce sont les prisonniers de guerre qui travaillent.
En 1946-48 : accord belgo-italien, ce sont les Italiens qui travaillent.
81.) Que s'est-il passé à Marcinelle ?
Au Bois du Casier, il y eut 262 morts suite à de mauvaises conditions de travail.
82.) Que se passe-t-il en 1974 ?
C'est le choc pétrolier. Arrêt officiel de l'immigration dans tous les pays occidentaux. Phase d'expulsion et de régularisation : alternance. Et, certaines personnes ont droit à la naturalisation.
83.) Chaque décennie, combien de personnes sont-elles régularisées ?
100 000.
84.) Que se passe-t-il en 1960 ?
Les permis de séjour ne sont plus contrôlés et le regroupement familial grandit.
85.) Qui possède des statuts en Belgique ?
Les Belges et les étrangers, dont leurs pays sont membres de l'U.E..
86.) Qu'est-ce qu'un préjugé ?
Ce sont des représentations sociales de ce que sont les "autres", on pense les connaître, sans les connaître, en y apportant un jugement. C'est ce que je pense, sans le dire.
87.) Qu'est-ce qu'un stéréotype ?
Une représentation sociale jugée que j'ai verbalisé, positivement ou négativement.
Ce que j'ai entendu, ce qu'on m'a dit ou ce que j'ai dit tout haut.
88.) Quels osnt les 3 modèles officiels de l'intégration ?
- Le modèle républicain : (En France) assimilation de la culture du pays d'accueil, comme ceci, il a le droit aux valeurs universelles. But : la naturalisation.
- Le modèle anglo-saxon communautaire : relativisme culturel : toutes les cultures se valent. Les étrangers ne doivent pas changer leurs habitudes mais quand même respecter les règles globales. Formation de ghettos.
- Le modèle associatif : actions interculturelles proposées.
89.) Qu'est-ce que l'attitude syncrétique ?
Selon Khamileri, j'élimine les tensions à titre individuel.
"Je fais le ramadan mais je bois une p'tite bière belge quand même ! "
90.) Et l'attitude synthétique ?
Construire un ensemble de valeurs minimales communes, participer à l'élaboration des lois en s'inscrivant sur les listes.
Tout doit bien se passer en pensant à l'autre.
Edité le 30-11-2008 à 14:00:45 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12009 messages postés |
| Posté le 27-03-2010 à 11:57:37
| Pour la fiche :
Nom du jeu : A la recherche de la cité perdue
Auteurs : nos 3 noms et prénoms Bou-Ouadil Malika N’Soko Laura et Kay Larissa
Durée
Type ludique : jeu de société
Thème : la diversité culturelle
Descripteurs E.S.A.R. :
Facette A :
5. Jeu de règle complexe :
05. Jeu de « questions-réponses » complexe
Facette B :
5. Conduite opérationnelle formelle
01.Raisonnement hypothètique
Facette C :
3. Performance
11. Concentration
Facette D :
2. Participation collective
02. Activité compétive
Facette E :
1. Langage réceptif oral
03. Décodage verbal
Facette F :
5. Identité
02. Apprentissage de modes d’organisation sociale.
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