Entre Lumière et Ténèbres
Entre Lumière et Ténèbres
Administrateurs : Sora
 
 Entre Lumière et Ténèbres  <3Hors RPG<3  */*Fantasialand 2*/* 

 Recherches RDS

Nouveau sujet   Répondre
 
Bas de pagePages : 1  
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:49:45   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://fr.wikipedia.org/wiki/Accident_isch%C3%A9mique_transitoire

Accident ischémique transitoire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir AIT et ICT.
Un accident ischémique transitoire (AIT) ou ischémie cérébrale transitoire (ICT) est un déficit neurologique d'apparition soudaine, d'origine vasculaire, régressant spontanément en moins d'une heure[1] (voir aussi[2]), sans séquelles et sans anomalies à l'imagerie cérébrale. C'est un type d'accident vasculaire cérébral (mini-AVC), qui fait craindre la survenue ultérieure d'un accident ischémique constitué (ou infarctus cérébral ou AVC ischémique, dont les lésions sont définitives).

Il s'agit d'une urgence diagnostique et thérapeutique; tout patient victime de ce type de symptôme doit consulter immédiatement un médecin ou se rendre au service des urgences le plus proche.

Sommaire [masquer]
1 Diagnostic
1.1 Accidents carotidiens
1.2 Accidents vertébro-basilaires
2 Bilan de l'accident
2.1 Clinique
2.2 Examens complémentaires
3 Évolution après l'accident
4 Traitement
4.1 Médical
4.2 Chirurgical
5 Notes et références


Diagnostic[modifier]Les signes et les symptômes varient selon le territoire artériel touché. La vascularisation du cerveau est assurée par deux réseaux distincts : la vascularisation carotidienne (via les artères carotides internes) et la vascularisation vertébro-basilaire (via le tronc basilaire). Le déficit neurologique est provoqué par la diminution ou l'arrêt transitoire du flux sanguin, le plus souvent en raison d'une embolie fibrino-plaquettaire (un caillot de sang) qui bouche une artère. Le caillot provient d'une plaque d'athérome dans la paroi de l'artère, ou plus rarement du cœur. Tous ces signes sont, par définition, transitoires.

Accidents carotidiens[modifier]Cécité monoculaire : en rapport avec l'occlusion de la carotide interne avant qu'elle ne donne l'artère ophtalmique
Hémiparésie brachio-faciale (trouble de la motricité de la moitié du corps), qui peut entre autres se voir à une déviation de la bouche
Troubles de la sensibilité d'un hémicorps
Troubles du langage (aphasie, parole incompréhensibles ou incohérentes) lorsque l'hémisphère cérébral dominant est touché.
Dans le cas rare d'une dissection carotidienne, des douleurs cervicales peuvent être présentes

Accidents vertébro-basilaires[modifier]Troubles visuels bilatéraux (cécité corticale, flou visuel)
Déficit moteur bilatéral ou à bascule (concernant les deux moitiés du corps d'un accès à l'autre)
Déficit sensitif (même remarque)
Syndrome cérébelleux (troubles de la statique et de la coordination des mouvements, troubles de l'équilibre)
Bilan de l'accident[modifier] Clinique[modifier]L'examen neurologique doit être complet, et ne retrouve aucun déficit au décours de l'AIT, par définition. Le reste du bilan consiste à faire l'inventaire des facteurs de risque vasculaires présentés par le patient : notion de tabagisme, d'hypertension artérielle, de cholestérol en excès, obésité, sédentarité, sexe (hommes et femmes ménopausées sont plus exposés), diabète sucré,contraceptifs oraux. L'examen cardiaque et vasculaire recherche un trouble du rythme (la fibrillation auriculaire est grande pourvoyeuse de thrombus dans l'oreillette, qui peuvent provoquer un AIT lorsqu'ils migrent et s'impactent dans une artère cérébrale), un souffle vasculaire (en rapport avec une plaque d'athérome).

Examens complémentaires[modifier]IRM cérébrale, ou à défaut Scanner cérébral sans injection d'iode.
Échographie et doppler des vaisseaux supra-aortiques et transcrânien
Angiographie par résonance magnétique (ARM)
Échographie cardiaque, transthoracique et transoesophagienne
Électrocardiogramme
Bilan biologique : glycémie, bilan lipidique, NFS, bilan d'hémostase, vitesse de sédimentation (VS), parfois enzymes cardiaques.
EEG (électro-encéphalogramme) en cas de doute avec une crise d'épilepsie partielle.
Évolution après l'accident[modifier]Le pronostic de l'accident est par définition très bon, avec une récupération totale sous 24 heures. Cependant, la survenue d'un AIT témoigne d'une anomalie vasculaire ou cardiaque (plus rarement d'un trouble de la coagulation ou d'une maladie de système) qui a une forte probabilité de se manifester à nouveau, avec le risque de constituer cette fois un infarctus cérébral, et donc des lésions définitives. Le pronostic de l'AIT est donc totalement corrélé à la maladie causale (plaque d'athérome artérielle, cardiopathie emboligène) et à ses complications propres.

Traitement[modifier] Médical[modifier]Traitement anticoagulant par héparines : il n'est indiqué que dans le cas d'une origine cardiaque (cardiopathie emboligène, comme par exemple la fibrillation auriculaire), d'AIT à répétition, ou d'AIT lié à une dissection artérielle. Le relais sera pris par des antivitamines K au long cours.
Traitement par antiagrégant plaquettaire (type aspirine) dans tous les autres cas.
Chirurgical[modifier]Il concerne la plaque d'athérome, lorsque :

Elle est symptomatique
Opérable (situées en dehors du crâne)
Responsable d'un rétrécissement du calibre artériel d'au moins 70%
Il n'y a pas de contre-indications opératoires
Elle consiste alors en une ablation de la plaque d'athérome au cours d'une intervention de chirurgie vasculaire (endartérectomie). Le traitement médical doit tout de même lui être associé.


Edité le 17-03-2012 à 17:51:20 par Sora




--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:52:10   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1583_ischemie_cereb.htm


Les accidents vasculaires cérébraux ischémiques (embolie cérébrale, ramollissement cérébral, ictus, attaque cérébrale, infarctus cérébral)


Les accidents ischémiques transitoires (AIT) ou éclipses cérébrales

[?] Qu'est-ce que c'est ?

L'accident ischémique transitoire ou AIT est un déficit neurologique localisé, survenant brutalement et disparaissant complètement en moins de 24 heures.

Il est secondaire à l'occlusion d'une artère cérébrale ou médullaire.

Lorsque le sang n'arrive plus dans le tissu cérébral, il se crée un infarctus ou un ramollissement.

[?] Causes et facteurs de risque

Les causes sont nombreuses :

Les plaques d'athérome (athérosclérose) sur les vaisseaux cervico-céphaliques provoquant un rétrécissement du diamètre des vaisseaux avec risque de sténose pouvant déclencher un accident ischémique transitoire ;
Les cardiopathies emboliques pouvant provoquer une embolie cérébrale : rétrécissement mitral , fibrillation auriculaire et autres troubles du rythme, endocardite, thyréotoxicose. Elles suivent le trajet artériel et touchent principalement le territoire sylvien gauche (vascularisé par l'artère sylvienne gauche) ;
Les dissections des artères cervicales et intracrâniennes qui sont plus fréquentes chez le sujet jeune.
[?] Les signes de la maladie

Les accidents transitoires se traduisent par un épisode neurologique passager totalement régressif dont la durée est de quelques secondes à quelques minutes. Il peut durer parfois quelques heures. Les symptômes apparaissent et disparaissent brutalement.

En fonction du territoire atteint, il peut s'agir d'une cécité d'un oeil transitoire, d'une amputation du champ visuel, de troubles sensitifs ou moteurs localisés, d'aphasie, de troubles cérébelleux, etc.

L'AIT est un signal d'alarme. Il peut prévenir de l'imminence d'un accident vasculaire permanent et doit faire déclencher une enquête. Cet accident vasculaire permanent peut survenir dans les heures qui suivent un AIT ou bien plusieurs années plus tard ou même jamais. Rien ne permet de le prévoir.

[?] Examens et analyses complémentaires

Le bilan biologique, l'électrocardiogramme, l'écho-Doppler cervical, le scanner cérébral et parfois l'artériographie carotidienne permettent le diagnostic.

[?] Traitement

Un patient victime d'un accident ischémique transitoire doit être hospitalisé. Un scanner est pratiqué, ainsi qu'un bilan biologique, un électrocardiogramme, un écho-Doppler cervical et si possible transcrânien.

D'autres examens sont ensuite demandés en fonction de l'orientation clinique.

Le traitement cherche à prévenir les récidives (traitement des facteurs de risque d'athérosclérose et des causes éventuelles d'embolies) et à éviter l'évolution vers un accident constitué. Il utilise les anti-agrégants plaquettaires, et parfois la chirurgie ou l'angioplastie transluminale percutanée.

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:53:10   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://www.med.univ-rennes1.fr/cerf/edicerf/NR/NR009.html

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:54:07   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://www.fmcoeur.com/site/c.ntJXJ8MMIqE/b.4850689/k.3A4F/AVC__Isch233mie_c233r233brale_transitoire_TIA_ou_ICT.htm



Ischémie cérébrale transitoire (TIA ou ICT)
Une ischémie cérébrale transitoire (ou ICT) est une urgence médicale. Si vous avez subi une ICT, vos risques de subir un accident vasculaire cérébral (AVC) sont accrus.

Qu’est-ce qu’une ICT?
Qu’est-ce qui se produit pendant une ICT?
Pourquoi une ICT est-elle une urgence médicale?
Qu’est-ce qui cause les ICT?
Comment font les médecins pour savoir si une personne a subi une ICT?
Comment prévenir une nouvelle ICT? Comment prendre en charge les principaux facteurs de risque?
Le traitement des ICT

Qu’est-ce qu’une ICT?
Même si le terme médical est ischémie cérébrale transitoire ou ICT, plusieurs personnes parlent de mini-AVC. Ce problème survient quand un caillot sanguin obstrue la circulation sanguine dans le cerveau pendant un court laps de temps. Les symptômes d’une ICT sont presque identiques à ceux d’un AVC, mais ils se résorbent au bout de quelques minutes ou de quelques heures. Le fait de subir une ICT constitue un important signe avant-coureur. L’ICT indique que vos risques d’AVC sont plus élevés.


Une ICT vous informe qu’un AVC est imminent. L’ICT vous donne donc la chance de prévenir un AVC.
Qu’est-ce qui se produit pendant une ICT?
Vous pouvez sentir un ou tous ces symptômes de l’AVC, mais ils disparaissent en quelques minutes ou quelques heures. Pour en savoir plus sur les signes avant-coureurs.

Pourquoi une ICT est-elle une urgence médicale?
Une ICT est un signe avant-coureur important qui vous indique que la circulation sanguine à l’intérieur de votre cerveau ne va pas bien.

Il est très important de composer le 9-1-1 ou le numéro d’urgence de votre localité parce que vous obtiendrez ainsi de l’aide beaucoup plus rapidement. Les médecins pourront peut-être vous administrer un médicament afin de dissoudre le caillot et de restaurer la circulation sanguine à l’intérieur de votre cerveau, dans la mesure où vous vous présenterez à l’hôpital dès l’apparition d’un des cinq signes avant-coureurs, car ce médicament n’est efficace qu’au cours des trois premières heures. N’essayez pas de déterminer seul ce qui cause vos symptômes et n’attendez pas qu’ils se résorbent. Appelez le 9-1-1 le plus rapidement possible. Même si vos symptômes disparaissent, votre médecin doit quand même déterminer pourquoi vous les avez éprouvés.


Une ICT représente un important avertissement à l’effet que vos risques d’AVC sont élevés.
Une fois que vous avez subi une ICT, vous courez davantage de risques de subir un AVC. Les risques sont plus élevés immédiatement après avoir subi l’ICT et demeurent élevés pendant toute l’année suivante. La bonne nouvelle, c’est qu’une ICT vous avertit que vos risques sont élevés et vous donne la chance d’agir afin de les réduire.

Qu’est-ce qui cause les ICT?
La cause la plus fréquente des ICT est un caillot sanguin ou la présence de plaque qui bloque la circulation du sang vers le cerveau. Voici comment cela se produit.



ICT causée par une plaque
ICT causée par un caillot sanguin

Une plaque est une accumulation de cholestérol, de dépôts adipeux et d’autres substances le long des parois intérieures des artères, qui entraînent un rétrécissement du vaisseau sanguin (ce qui est appelé athérosclérose). La plaque peut faire obstacle à la circulation du sang vers le cerveau. Un fragment de plaque peut aussi se détacher et aller obstruer une des artères à l’intérieur du cerveau.
Un caillot sanguin peut se former ailleurs dans l’organisme et se déplacer vers le cerveau. Plusieurs caillots sanguins passent du cœur vers les artères qui alimentent le cerveau.

Si vous souffrez de fibrillation auriculaire (des battements de cœur rapides et irréguliers), de problèmes de valvules cardiaques, de foramen ovale perméable (malformation de la paroi qui sépare les deux cavités supérieures du cœur) ou d’un affaiblissement du muscle cardiaque, vous courez des risques accrus d’ICT.


D’autres problèmes de santé sont aussi susceptibles de provoquer une ICT. Consultez votre professionnel de la santé pour savoir si vous courez davantage de risques d’ICT.

Comment font les médecins pour savoir si une personne a subi une ICT?
Il est parfois difficile pour les médecins de savoir si vous avez subi une ICT parce que les symptômes se sont habituellement résorbés au moment où vous consultez. Le secret du traitement des ICT consiste à savoir qu’une ICT s’est bel et bien produite. Le médecin peut vouloir vous soumettre à des tests afin de comprendre pourquoi l’ICT est survenue. Ensuite, vous et l’équipe de soins de santé pouvez préparer un plan destiné à prévenir les futures ICT et les futurs AVC. Pour plus de renseignements, visitez notre section Tests.

Comment prévenir une nouvelle ICT? Comment prendre en charge les principaux facteurs de risque?
L’objectif du traitement consiste à vous empêcher de subir une nouvelle ICT ou un AVC. La façon d’y arriver consiste à réduire vos facteurs de risque. Bien que certains facteurs de risque échappent à votre contrôle, vous pouvez gérer les autres en adoptant des modes de vie sains, en prenant des médicaments sur ordonnance ou en subissant une intervention chirurgicale.

Facteurs de risque que vous pouvez contrôler

Facteurs de risque incontrôlables

Le traitement des ICT
Médicaments prescrits par les médecins

Les médecins prescrivent deux principaux types de médicaments contre les ICT : les antiplaquettaires et les anticoagulants ou éclaircisseurs de sang. Ces médicaments empêchent les caillots de se former ou les détruisent afin de réduire les risques d’AVC chez les personnes ayant déjà subi une ICT ou un AVC. Pour plus de renseignements, visitez notre section Médicaments.

Votre médecin peut aussi prescrire des médicaments afin de contrôler la pression artérielle ou améliorer le cholestérol.

Quand on vous a prescrit un médicament, vous devez :

&#9632;Prendre ce médicament tel que prescrit.
&#9632;Signaler sans délai tout effet secondaire à votre équipe de santé.
&#9632;Cesser de prendre le médicament uniquement après avoir consulté votre équipe de soins de santé.
&#9632;Apporter vos médicaments avec vous dans leur contenant original chaque fois que vous consultez le médecin.
Pour toute question concernant les médicaments, consultez votre équipe de santé.

Intervention chirurgicale

Parfois une intervention chirurgicale représente le meilleur moyen de prévenir un AVC. Votre médecin vous dira si ce traitement vous convient le mieux. Pour plus de renseignements, visitez notre section Interventions chirurgicales et autres procédures.

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:55:17   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://sante-guerir.notrefamille.com/v2/services-sante/article-sante.asp?id_guerir=1826


Ischémie cérébrale
Elle se traduit par un syndrome neurologique dramatique déficitaire progressif plus ou moins intense en rapport avec une insuffisance circulatoire cérébrale.

SYMPTOMES

Le plus souvent il s'agit d'un coma accompagné d'une HEMIPLEGIE (paralysie de la moitié du corps) .
Ce coma brutal ou progressif s'accompagne d'une fièvre élevée, d'une aréflexie pupillaire à la lumière, d'une respiration bruyante et de troubles de la parole en général quand l'hémiplégie est à droite.

CAUSES

Ce peut être :
- l'athérome (voir ATHEROSCLEROSE )
- une embolie cérébrale, souvent d'origine cardiaque (RETRECISSEMENT MITRAL , ENDOCARDITES , ARYTHMIE CARDIAQUE - voir ces termes)
- une hypotension importante
- une MIGRAINE qui persiste
- des lésions artéritiques.

TRAITEMENT

Il est variable selon la cause mais en général est celui d'un coma hémiplégique :
- matelas alternating (c'est un matelas qui se gonfle et se dégonfle par endroit de manière à ce que le corps du malade ne soit pas toujours porté aux mêmes points) ou mieux matelas à eau, et massage pour éviter les escarres
- réhydratation du malade par perfusions
- antibiothérapie systématique pour éviter une infection urinaire ou pulmonaire
- traitement médical visant à éviter l'oedème cérébral.
Bien entendu l'hospitalisation s'impose.

En cas d'AVC d'origine ischiemique (ramollissement) il faut veiller à ne pas faire tomber trop vite une éventuelle HYPERTENSION .
On pourra utiliser avec précaution :
- les vaso-dilatateurs cérébraux (acide nicotinique, vincamine) .
- les anti-agrégants plaquettaires (Persantine 75, Aspirine, Ticlid)
- l'administration d'anticoagulants pourra être discutée.

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:57:03   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://www.orthopedie.com/Traumatologie/Fracture-col-du-femur/Clou-gamma-fracture-pertrochanterienne-du-femur.html

Clou gamma : fracture pertrochantérienne du fémur
Écrit par Garotta Lorenzo
Advertise - Pubblicitè - Pubblicità
Clou gamma et fracture pertrochanterienne


Photo n°1 : fracture pertrochanterienne du fémur. Cette fracture nécessite un traitement chirurgical (clou gamma, vis plaque, THS…) diffèrent de la fracture du « col du fémur » pour laquelle une prothèse peut être envisagée.


Photo n°2 : ostéosynthèse par clou gamma. Ce clou qui a la forme de la lettre grecque « », est un système très solide, qui peut être posé par voie mini invasive et permet au patient de marcher en appui partiel dès les premiers jours post opératoires. Le but de la chirurgie est de retrouver au plus tôt la déambulation et la verticalisation : ceci limite toutes les complications liées au décubitus dorsal prolongé chez les patients âgés (escarres, faiblesse généralisée, phlébites…)

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 17:58:56   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://www.maitrise-orthop.com/corpusmaitri/orthopaedic/mo75_clous_gamma/index.shtml

http://fr.wikipedia.org/wiki/Clou_gamma


Edité le 17-03-2012 à 17:59:26 par Sora




--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 18:04:25   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

http://forum.doctissimo.fr/sante/Entorses-et-fractures/femur-gamma-clou-sujet_456_1.htm

Bonjour,
le clou Gamma fabriqué par la sté STRYKER peut être laissé à vie s'il ne provoque aucune gêne. Il est cependant préférable de l'ôter après une période de 1an 1/2 à 2 ans suivant la consolidation.
RAISONS:
au delà de cette période de temps il est plus difficile de pratiquer l'ablation du clou, mais surtout en cas de nouvelle fracture, notamment dans un accident de moto ou de voiture, si celui-ci est tordu il est quasiment impossible de le retirer sans provoquer de réels dégâts osseux.
Après l'ablation il est conseillé d'être prudent pendant 5 à 9 semaines pour permettre à l'os de se réhabituer aux nouveaux transfert de charge.

--------------------
Sora
Lumière
Voyageur des Mondes
Sora
11939 messages postés
   Posté le 17-03-2012 à 18:27:18   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

La prévalence des chutes dans la population âgée est très élevée, environ 30 % des personnes de plus de 65 ans vivant au domicile font une chute par an, ce chiffre passe à 50 % pour les plus de 85 ans. Le risque de rechuter dans l’année est multiplié par 4 après une première chute, la morbidité est considérable, impliquée à des degrés divers dans 1/3 des hospitalisations des plus de 70 ans, constituant, un enjeu majeur socio-politique et économique.

Pour les sujets vivant seuls au domicile, la station prolongée au sol sans pouvoir se relever, encore dénommée "syndrome de la tortue", est susceptible d’entraîner une rhabdomyolyse avec hypothermie, lésions cutanées, déshydratation, insuffisance rénale, surinfection. Le scanner effectué en phase initiale montre dans les formes importantes la présence d’un myooedeme qui témoigne de la profondeur de l’atteinte.

L’existence d’un séjour au sol supérieur à une heure est un facteur de mauvais pronostic. La moitié des chuteurs qui ont passé plus d’une heure au sol décèdent dans les six mois.

Devant tout changement de comportement du sujet âgé, il faut également penser à l’hématome sous dural qui survient dans les heures où les jours suivant la chute.



1 • Causes des chutes
Les phénomènes de désafférentation liés à la sénescence (audition, vue, système vestibulaire), le ralentissement de la vitesse d’intégration des informations posturales, les pathologies de l’appareil locomoteur, les effets combinés de la fonte musculaire et d’une alimentation déséquilibrée, la baisse des capacités cognitives, l’isolement ou la réduction des liens sociaux, la polymé-dication, concourent à une altération des performances de marche et des réactions d’équilibration.

Si de nombreuses pathologies sont responsables des chutes observées à l’occasion d’un malaise ou d’une maladie qu’il convient de dépister par une évaluation diagnostique méthodique et précise, 40 à 50 % des chutes sont accidentelles et surviennent fréquemment au domicile dans les pièces les plus utilisées (parquet ciré, carrelage mouillé, tapis non fixé, descente de lit, barre de seuil, mauvais éclairage, activité à risque déséquilibrant). A l’extérieur, il s’agit d’accidents de la voie publique, ou par mauvaise perception d’une dénivellation, ou encore suite à une bousculade, une agression...

Si les causes physio-pathologiques de réduction motrice sont nombreuses au cours du vieillissement, les étiologies psychiques et psychologiques le sont également. Certaines inhérentes au processus même de la sénescence, d’autres relèvent d’avantage de phénomènes psychopathologiques.

2 • Incidence de l’âge sur les localisations fracturaires
5% des chutes survenant chez les personnes âgées s’accompagnent de fractures et 10 % sont associées à d’autres traumatismes sévères.

Trois fractures sont particulièrement fréquentes chez les sujets de plus de 50 ans et s’échelonnent suivant une chronologie liée au vieillissement :

1 • Avec un âge moyen de 55 ans celle du poignet est la plus précoce, rare chez les hommes, elle guette près d’une femme sur 5. Elle doit toujours faire rechercher une fragilité osseuse préexistante plus importante que celle naturellement liée à l’âge.

2 • Avec un âge moyen de 67 ans, le tassement vertébral est la manifestation fracturaire la plus fréquente, une femme sur quatre environ subira cette fracture qui diminue la taille et entraîne une déformation cyphosante.

3 • Avec un âge moyen de 79 ans les fractures de l’extrémité supérieure du fémur menace 17 % des femmes et 6 % des hommes, elles surviennent le plus souvent à la suite d’un traumatisme mineur, voire en l’absence de tout traumatisme, suggérant fortement une ostéoporose importante ou une origine maligne, pour cette dernière, il faut alors rechercher des signes de suspicion, comme un flou des corticales, une lyse osseuse associée à la fracture, un syndrome inflammatoire, une hypercalcémie, s’interroger sur une localisation atypique, une douleur préexistante dans la région concernée, une altération de l’état général, la présence d’une maladie de Paget (transformation sarcomateuse) ou d’un processus néoplasique.

3 • Conséquences traumatiques aux membres inférieurs
3 - I Fractures de l’extrémité supérieure du fémur :

Environ 90 % des fractures du col du fémur dans la population âgée surviennent au cours d’une chute. Malgré les apparences la chute du sujet âgé est le plus souvent plurifactorielle, ainsi, une femme de 50 ans ayant un Z score fémoral à moins une déviation standard (risque relatif de 2,6) et une faible vision (inférieure à 2/10 a presque une chance sur deux (45 %) de se casser le col du fémur au cours de sa vie...

Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur augmentent exponentiellement avec l’âge et l’allongement de la durée de vie, elles engagent souvent le pronostic vital avec un taux de mortalité environ 3 fois plus important que celui des autres sujets dans la même tranche d’âge, toujours leur autonomie, 15 à 25 % des sujets jusque là indépendants sont institutionnalisés après leur fracture, tandis que 30 % nécessitent la mise en place d’aides techniques ou humaine.

La direction de la chute est un élément déterminant, si les fractures du poignet sont observées lors des chutes vers l’avant avec souvent une bonne conservation des réflexes de protection, pour les fractures du col fémoral, environ 60 % surviennent lorsque la chute se fait sur le côté.

Le retentissement fonctionnel va de l’impotence fonctionnelle totale à la conservation quasiment intacte de la fonction motrice. Chez le vieillard, des signes sans aucune spécificité peuvent être la seule manifestation clinique d’une fracture, tels que confusion mentale, agitation ou prostration.

3 - I - a Traitement chirurgical :

Que la fracture touche le col fémoral ou le massif trochantérien, le traitement est chirurgical, il a pour objectif le lever précoce ainsi qu’une reprise rapide de la déambulation dans le but d’améliorer le résultat fonctionnel et surtout vital.. Le type d’intervention est fonction de l’âge physiologique, ainsi pour les fractures du col après 65 ans chez un sujet actif, exempt de comorbidités l’ostéosynthèse à foyer ouvert est envisagée lorsque le risque de nécrose est faible (Garden I et II), en revanche lorsque le risque de nécrose est important (Garden III ou IV), l’arthroplastie est indiquée.

Au contraire des fractures cervicales, les fractures du massif trochantérien siègent en os spongieux et à distance de la vascularisation céphalique, le traitement repose sur l’ostéosynthèse quel que soit l’âge du patient, la vis-plaque est souvent préférée au clou-plaque, les fractures trochantéro-diaphysaires plus instables bénéficient actuellement d’un montage solide à foyer fermé par clou gamma verrouillé en distalité.

Pour les fractures pathologiques, une localisation au col sera traitée par arthroplastie, pour les fractures du massif trochantérien, les prothèses massives de reconstruction laissent souvent place aux ostéosynthèses palliatives, avec dans certains cas un comblement par ciment, ce qui permet de faire remarcher immédiatement le patient.

3 - I - b Prise en charge rééducative :

Elle passe par une évaluation clinique globale qui va permettre d’obtenir un instantané de la situation médico-socio-environnnementale du patient âgé. Elle débouche sur une action précoce, individualisée, à visée essentiellement fonctionnelle, dans le but de redonner la meilleure autonomie possible et permettre un retour rapide dans le cadre de vie habituel. Ses objectifs dans la période post-opératoire sont:

3 - I - b -1 prévenir les complications de décubitus

C’est d’abord maintenir l’intégrité de la peau en sachant que la perte d’épaisseur du tissu graisseux sous cutané est de 6 % par décade au-delà de 40 ans, le pli cutané sacré devient plus mince, les facteurs associés comme la dénutrition (poids, albuminémie inférieure à 35 g/l), les variations de la volémie, le dessèchement cutané, la présence d’un diabète, d’un terrain artéritique, vont constituer une accumulation de facteurs de risque qui altèrent la microcirculation locale et favorisent la constitution d’escarre. C’est dire l’importance du traitement des pathologies intercurrentes ou associées (anémie, fièvre, déshydratation), maintenir ou récupérer un bon état nutritionnel, diminuer les médicaments potentiellement iatrogènes.

En prévention courante il est habituel d’utiliser les surmatelas statiques qui offrent l’avantage d’un bon confort et d’un entretien facile; pour les sujets à risque plus élevé ou avec escarre constituée les surmatelas dynamiques sont alors indiqués, l’objectif est d’assurer un soulagement efficace de l’appui sacré et de limiter le risque de macération.

Localement, la prévention consiste en la mise en décharge des points d’appui à risque, les changements alternés de position (3/4), la réduction du temps de décubitus par la position assise en fauteuil, la verticalisation sur table, et dès que possible entre les barres parallèles.

Les zones à risque sont inspectées pluriquotidiennement, l’hygiène est maintenue par une toilette au savon doux, suivie d’un séchage soigneux, des changes réguliers et rapides seront effectués chez les patients incontinents, l’application de films transparents permet d’éviter les frottements sur les proéminences fragiles, les manoeuvres de transfert doivent éviter les forces de tension et de cisaillement susceptibles d’aggraver la microcirculation cutanée. La massothérapie de prévention par des manoeuvres lentes et des effleurages améliore la circulation locale, elle renforce également la surveillance des régions exposées

3 - I - b - 2 Prévenir les complications thrombo-emboliques

BARRELIER et col, ont réalisé une exploration veineuse par écho-doppler systématique sur une population de1647 malades relevant d’un geste orthopédique ou traumatologique, ce travail confirme que les veines musculaires, en particulier soléaires, sont le point de départ de la plupart des thromboses veineuses profondes [26].

Si le risque de TVP augmente de façon continue et linéaire en fonction de l’âge, dans cette série 931 malades (56%) étaient asymptomatiques, 717 (44%) avaient des signes cliniques d’appel., mais on relève surtout que la sélection clinique n’a pas été meilleure que celle du hasard avec 38 % de TVP dans la population asymptomatique contre 33 % dans la population symptomatique ...

La prévention précoce associe le traitement médical (HBPM) à la lutte contre la stase veineuse, qui constitue le facteur déclenchant le plus important. Le sujet alité effectue des exercices musculaires comme des contractions espacées des fléchisseurs et releveurs du pied associées à un travail respiratoire diaphragmatique, les bas de contention participent à la prévention et limitent les conséquences oedémateuses fréquemment associées. La constatation de douleurs et le dépistage son systéma-tiquement intégrés aux soins. La position déclive obtenue en surélevant les pieds du lit ainsi que les mobilisations actives et le lever précoce contribuent à diminuer la fréquence des thromboses veineuses.

3 - I - b - 3 Prévenir les complications orthopédiques

La limitation d’amplitude articulaire, l’enraidissement et l’attitude vicieuse des membres inférieurs sont des situations fréquentes chez la personne âgée, souvent favorisées par des atteintes dégénératives des grosses articulations.

L’installation de décubitus vise à maintenir une situation articulaire correcte, la cheville est maintenue à angle droit par une mousse évidée qui permet d’éviter l’équin d’apparition rapide, le genou et la hanche sont en extension, Il faut également éviter les rotations ou l’adduction trop prononcée.

La mise au fauteuil constitue une étape précoce vers la reprise de l’orthostatisme, elle doit tenir compte des limitations articulaires préexistantes et dans ce cas faire adopter des attitudes préventives complémentaires.

3 - I - b - 4 Le traitement de la douleur

Une fois les facteurs étiologiques éliminés, comme une infection, une phlébite, une arthrose périphérique évoluée, une fracture associée du petit trochanter res-ponsable de douleur d’appui, l’évaluation de la douleur postopératoire est quantifiée par EVA, et fait l’objet d’une prise en charge adaptée, réévaluée après administration du traitement.

Le soulagement du patient ne relève pas uniquement de la prise d’antalgique ou d’anti- inflammatoire, une installation aménagée simple et confortable, respectant les mesures de prévention est souvent une alternative efficace face aux phénomènes douloureux. Chez ces patients fragiles, rapidement fatigables, une bonne répartition des soins évite les phénomènes d’épuisement et de démotivation (planning thérapeutique)

3 - I - b - 4 Restauration des amplitudes articulaires et de la commande motrice

La réduction de mobilité est cause de rétractions capsulaires et péri-articulaires, souvent favorisées par des douleurs arthrosiques, outre la gêne articulaire ce mécanisme prive rapidement le patient des informations arthrokinétiques nécessaires à la marche.

Dés le lendemain de l’intervention, sont réalisées des mobilisations articulaires passives et actives aidées, dans la totalité de l’amplitude articulaire, adaptées aux réactions du patient et à son niveau de participation. Les sollicitations du contrôle musculaire péri-articulaire, sont initialisées par des exercices d’irradiation directe ou croisée, intéressant les abducteurs, adducteurs, rotateurs internes et pelvi-trochantériens, de façon isométrique, dans le plan du lit et dans une position proche de celle rencontrée lors de la phase portante de la marche. Le travail actif contre pesanteur lui succède dès que possible, débuté en excentrique, plus facilement réalisé et habituellement mieux toléré.

Les mobilisations sur arthromoteur contribuent à rassurer le patient et à fragmenter sa prise en charge. Le réglage est un élément important, avec un temps d’arrêt en limite de tolérance commandé manuellement par le patient associé à un retour partiel en zone de repos qui évite un temps de balayage inutile.

3 - I - b - 5 Verticalisation et reprise des automatismes de marche

La crainte d’une nouvelle chute constitue bien souvent "un frein psychologique" qui s’oppose à une reprise rapide de la déambulation, par manque de confiance en soi, appréhension exagérée des changements de position, recours excessif à l’aide de l’entourage. Les difficultés à la simple reprise de la position assise en bord de lit expriment bien l’anxiété des premiers jours, le plus souvent associée à un déséquilibre postérieur du tronc.

L’objectif à ce stade est de rassurer, guider le malade dans ses mouvements de retournement et de passage en position assise, c’est aussi l’occasion d’effectuer des sollicitations en poussées déséquilibrantes du tronc qui accélèrent la récupération d’une meilleure stabilité assise et facilite les transferts.

Le syndrome de désadaptation cardio-vasculaire à l’orthostatisme et à l’effort est responsable des incidents rencontrés lors des premiers levers. L’usage de contention élastique et une verticalisation progressive sur table améliorent en quelques jours cette situation.

Si l’appui est autorisé, il est réalisé de façon progressive entre les barres parallèles et dans la chambre avec déambulateur ou cannes anglaises. L’apprentissage vise la restauration d’une déambulation efficace, en apprenant au sujet à équilibrer la longueur et la vitesse de passage du pas.

Dans le cas contraire, la verticalisation est reprise sur plan incliné en appui unipodal sur le membre sain. Selon le degré de participation et lorsque l’équilibre est suffisant, la déambulation est effectuée suivant la technique du pas simulé entre les barres parallèles, et dès que possible avec deux cannes anglaises.

En l’absence de contre-indications (altération importante de l’état général, escarres, démence sénile évoluée, incontinence urinaire ou fécale) la marche en piscine favorise les mouvements actifs notamment en cas d’arthropathie arthro-sique associée. En fonction des possibilités d’appui, elle permet une remise en charge progressive du foyer de fracture, ou d’entretenir le schéma de marche dans l’attente de sa consolidation.

3 - I - b - 6 La rééducation des troubles de la posture et de l’équilibre

La rétropulsion perturbe ou empêche la station debout et la marche. Le patient se tient en arrière et a tendance à glisser de son fauteuil. On observe souvent un flessum des hanches et des genoux, une hypertonie oppositionnelle et une anxiété majeure.

L’objectif est ici de remettre le malade en confiance, l’appui mesuré sur balance précise les limites de tolérance et conforte le patient dans sa progression, le travail pendulaire en balancement du membre inférieur effectué entre les barres parallèles anticipe la dynamique de la phase oscillante à la marche et plus particulièrement le 1/2 pas postérieur.

L’entretien de la trophicité musculaire se fera essentiellement par des exercices en chaîne cinétique fermée qui permettront d’entretenir le schéma corporel ainsi que toutes les afférences sensorielles

3 - I - b - 7 Le travail des réactions de protection et de redressement

Les réactions de protection et d’adaptation sont améliorées par l’élargissement du polygone de sustentation, les exercices de marche résistée qui s’opposent au déséquilibre postérieur habituel du tronc, les poussées déséquilibrantes antéro-postérieures, latérales et à la giration des ceintures, la marche sur tapis de sol, les exercices d’équilibre, sur balances et en balnéothérapie, la marche avec obstacles, la montée et descente des escaliers,

Les capacités de retournement sont sollicitées en procubitus ventral, passage en quadrupédie, à genoux dressé et finalement en position érigée en s’aidant d’un appui solide de proximité.

3 - I - b - 8 Surveillance orthopédique, complications :

Après l’intervention, une surveillance clinique et radiologique guide la reprise d’appui et suit les progrès de la consolidation. Sont à craindre, un hématome et une infection. L’apparition d’une douleur tout particulièrement inguinale doit faire suspendre la reprise d’appui et faire vérifier la stabilité du montage.

A distance d’une fracture du col, c’est surtout la pseudarthrose et l’ostéonécrose de la tête fémorale qu’il faut redouter (30% tous types de fractures du col confondus, 45 % dans les Garden III et IV), l’arthroplastie reste le traitement habituel de ces complications.

En cas d’arthroplastie cervico-céphalique simple (Moore) l’évolution vers une cotyloïdite douloureuse est une indication à la totalisation, l’arthroplastie intermédiaire grâce au deuxième secteur de mobilité réduit ce risque d’usure du cotyle.

La mortalité à 3 mois reste élevée compte tenu de l’âge moyen, elle varie de 12 à 20 % selon les séries.

3 - I - b - 9 Résultats fonctionnels

TRABELSI et col sur une étude comparative vis plaque (DHS) versus clou gamma (IMHS) à propos de 100 cas, ont montré des résultats comparables pour la durée opératoire, la durée d’hospitalisation et les complications. Le clou gamma a des résultats précoces supérieurs à 1 et 3 mois avec une indolence et une remise en charge plus précoce. En revanche les résultats fonctionnels à 6 mois considérés comme définitifs sont meilleurs dans le groupe THS avec 85 % de score > 15 contre 70 % avec IMHS.

L’appui précoce complet correspond à la station debout et à la marche sans consignes d’esquive en phase portante, il est en fait réalisé progressivement suivant la tolérance douloureuse avec l’aide de deux cannes ou d’un déambulateur.

Dans ces conditions, quel que soit l’ostéosynthèse réalisée, THS ou clou gamma, on observe dans toutes les séries qu’environ 80 % des patients sont remis en charge avant le 10 eme jour et qu’à 3 mois : 27 % marchaient sans canne

22 % avec une canne

25 % avec deux cannes

4,9 % avec un déambulateur

37 % avaient réintégrés leur lieu de vie habituel dès le 45 eme jour

3 - II Les autres fractures du bassin et des membres inférieurs

Les fractures de hanche ne résument pas à elles seules toute la pathologie traumatique du sujet âgé :

Bassin :

Les fractures ilio ou ischio-pubiennes sont également fréquentes, elles surviennent pour des traumatismes modérés qui passent souvent inaperçus. La douleur est ressentie dans l’aine, mais peut irradier de façon trompeuse vers l’hypogastre, la région fessière ou la face interne de la cuisse. Le traitement repose sur la réduction d’appui (2CA ou fauteuil), les antalgiques et le traitement de l’ostéoporose. De façon non exceptionnelle, il est possible d’observer des fractures spontanées par insuffisance osseuse du sacrum, la scintigraphie osseuse et le scanner assurent le diagnostic.

Genou :

Les autres fractures des membres inférieurs du sujet âgé se différencient par des capacités d’adaptation et de récupération plus lentes, mais surtout par la présence habituelle d’une fragilisation osseuse, ainsi les résultats des traitements orthopédiques sont fréquemment remis en cause suite à une chute, c’est le cas de cette patiente de 88 ans qui a bénéficiée d’une arthroplastie de hanche puis de genou droit, une chute de sa hauteur entraîne une fracture diaphysaire traitée par plaque vissée, mais le temps de décharge accentue le processus de déminéralisation et l’amyotrophie avec pour conséquence une nouvelle fracture supra-condylienne ostéosynthésée par lame plaque, les déficits osseux étant comblés par ciment (photo n°1). Si la flexion est suffisante pour permettre une position assise non douloureuse, la marche avec déambulateur n’est possible que sous couvert d’une orthèse articulée limitant les contraintes latérales sur l’articulation du genou (photo n°2).

Cheville :

Les fractures de cheville occupent le troisième rang après les fractures de l’extrémité supérieure du fémur, dans 1/3 des cas il s’agit de patient de 60 ans et plus. L’âge influence défavorablement le pronostic fonctionnel, que le traitement ait été chirurgical ou orthopédique. C’est le cas de ce patient victime d’une chute dans un escalier mal éclairé à l’origine d’une fracture de l’extrémité inférieure du tibia associée à des lésions ligamentaires de cheville, le scanner montre la complexité de la fracture, avec notamment un trait de refend articulaire (photo n°3), malgré une bonne récupération de la dorsi-flexion, l’appui est douloureux du fait de la persistance d’un diastasis associé à un varus de l’arrière pied (photo n°4). Une semelle orthopédique avec bande pronatrice a permis dans ce cas d’améliorer la tolérance d’appui.

Amputation :

La présence de déficiences associées, comme dans cet exemple d’amputation, compliquée par la survenue d’une fracture du col fémoral homolatérale traitée par prothèse intermédiaire, impose une reprise précoce de l’appareillage visant à limiter les phénomènes d’oedème et de désadaptation prothétique, intégré dans la phase de reprise d’appui et de revalidation globale à la marche (photo n°5).

Fractures de fatigues :

Les fractures de fatigue après 65 ans surviennent le plus souvent aux pieds (astragale, calcanéum, métatarsiens) à la suite d’un traumatisme mineur ou au décours d’activités physiques répétées ou inhabituelles. L’incidence, tend à augmenter par la conjonction de deux facteurs, d’une part, l’absence ou l’insuffisance de traitement préventif primaire de l’ostéoporose et d’autre part d’activités de loisirs sollicitantes, voire excessives. Le traitement se limite à la mise en décharge du segment et à la mise en route d’un traitement médicamenteux de l’ostéoporose. Une complication fréquente est l’algodystrophie.



4 • Conséquences traumatiques au niveau du rachis

La chute est également responsable de fractures vertébrales qui n’impliquent pas forcement l’existence d’une fragilité osseuse anormale. Tel est le cas de cette patiente de 70 ans tombée d’une échelle en vérifiant les travaux de sa nouvelle maison, la chute verticale a entraîné une fracture des deux calcanéums ainsi qu’une fracture tassement du corps de L1. Un corset résine en lordose, a permis d’obtenir une sédation rapide des phénomènes douloureux, autorisant une reprise progressive de la position assise et redonnant à la patiente une autonomie dans ses déplacements. La remise en charge, le renforcement musculaire et les exercices d’équilibre ont été repris grâce au travail quadrupédique respectant le non appui des talons. Le travail actif et postural en dorsi-flexion des chevilles a été complété par une installation posturale de nuit utilisant une orthèse articulée avec tenseurs élastiques. A l’ablation des broches, la marche a été reprise en balnéo dans l’attente d’une consolidation suffisante pour autoriser une déambulation à sec suivi d’un retour rapide à domicile.

Cependant, la fracture vertébrale reste la manifestation fracturaire la plus fréquente après l’âge de 65 ans, celle-ci se manifeste par une douleur rachidienne aiguë, survenant brutalement lors d’une chute, d’un effort, d’un accès de toux ou même simplement à l’occasion d’un geste de la vie courante; elle est également souvent silencieuse et dans ce cas la relation entre les douleurs et l’image radiologique est plus difficile à interpréter. En cas de doute, la scintigraphie osseuse peut apporter des arguments en faveur du caractère récent du tassement, mais en pratique elle ne sera envisagée qu’après échec du traitement symptomatique ou en cas de suspicion d’une localisation osseuse maligne (métastase ou myélome).

Les premiers tassements surviennent au niveau de la charnière thoraco-lombaire, avec un aspect cunéiforme en dorsal, biconcave en lombaire. Il n’y a pas de tassement ostéoporotique au niveau cervical, ils sont exceptionnels au dessus de T5 et de ce fait très suspect. Les signes neurologiques sont rares, souvent retardés par rapport à la douleur initiale (atteinte radiculaire progressive avec parésie, compression médullaire)

Les douleurs liées au tassement s’améliorent en 1 à 3 mois, les ambitions du traitement sont modestes: obtenir une consolidation par constitution d’un cal vicieux non douloureux. En phase initiale, le repos est aussi bref que possible associé à une reprise de marche quotidienne, la douleur est contrôlée par des antalgiques de niveau 1 ou 2, voire morphiniques, la calcitonine a également un effet antalgique intéressant.

La prise en charge rééducative assure un entretien musculaire en décubitus et guide le malade dans ses transferts. En position debout, des exercices d’auto-grandissement de tonification musculaire et de rééquilibrage actif dans le plan antéro-postérieur, voire en balnéothérapie contribuent à une redynamisation du patient. Une physiothérapie antalgique par IR, ondes courtes vient utilement compléter l’effet antalgique du traitement médicamenteux. Quant à la vertébroplastie percutanée au méthacrylate de méthyle, elle est très exceptionnellement indiquée dans les tassements très douloureux, la principale complication étant la fuite épidurale ou foraminale.

Le risque de nouveau tassement dans l’année qui suit, est estimé à environ 85 %, ce qui fait considérer l’ostéoporose vertébrale comme une maladie évolutive aboutissant à une perte de taille avec déformation en hypercyphose.

Le traitement orthopédique par corset est indiqué dans les formes douloureuses empêchant la position assise, ainsi que dans les formes extensives responsables d’un déséquilibre antérieur du tronc associé à des douleurs chroniques. Les corsets fermés réalisés en phase aiguë, ont la réputation à juste titre d’être mal supportés, notamment en position allongée, du fait d’un déplacement vers le haut modifiant les appuis qui deviennent alors douloureux ; une section en mono ou bi-valve permet de les rendre amovibles, d’évaluer ainsi de façon rapide simple et peu coûteuse leur efficacité et leur tolérance dans le cadre d’un usage intermittent qui accélère la reprise d’autonomie en phase aiguë, ou de finaliser leur réalisation en matériaux thermo-formés pour diminuer les douleurs en phase chronique.

Le traitement symptomatique du tassement vertébral est complété par le traitement de l’ostéoporose, la prévention du risque de chutes et les règles d’hygiène vertébrale visant à éviter les efforts en cyphose de type soulèvement, arrachage, apprendre à porter les objets près du corps en pliant les genoux et en maintenant la colonne vertébrale en situation neutre.

La survenue de fracture et d’attitude déséquilibrante antérieure du tronc est a interprété dans le cadre de pathologies fréquemment intriquées:

La cyphose sénile affecte les sujets très âgés, et prédomine au rachis dorsal. L’aspect radiographique est caractéristique par la diminution de la hauteur discale, avec fusion de l’angle antérieur des corps vertébraux. La cyphose est permanente, elle persiste en décubitus et l’extension passive est impossible.

Le canal lombaire étroit se traduit par une claudication intermittente des membres inférieurs, pouvant être améliorée par l’antéflexion du tronc qui augmente les dimensions du canal lombaire.

Le canal foraminal étroit, conséquence d’une arthrose postérieure souvent associée à un débord discal bombant à sa partie postéro-latérale, se traduit volontiers par une radiculalgie d’effort, qui oblige le patient à se pencher en avant, l’antéflexion du tronc ouvrant le foramen. L’extension active demeure possible.

La cyphose lombaire acquise ou camptocormie correspond à une dégéné-rescence graisseuse des muscles extenseurs du tronc. Elle se traduit par une cyphose lombaire s’aggravant rapidement à la marche, sans radiculalgie; le patient ne parvient plus à se redresser, mais la prise d’un appui antérieur permet de retrouver une extension normale du tronc. Le bilan biologique est normal, il n’y a pas de syndrome inflammatoire, pas d’élévation des enzymes musculaires. Les clichés radiographiques montrent des discopathies dégénératives ainsi que des tassements vertébraux parfois associés. Le diagnostic est confirmé par la tomodensitométrie, qui visualise la dégénérescence graisseuse des chaînes spinales postérieures, contrastant avec la densité musculaire normale des psoas. L’évolution est rapide, responsable d’un handicap fonctionnel souvent sévère, la rééducation est peu convaincante à un stade évolué alors que la musculature a complètement disparu, son intérêt vise simplement à limiter les attitudes vicieuses, tel le flexum des hanches. L’orthèse du tronc ambitionne le maintien, voire la restauration de la lordose, mais les contraintes sont très importantes et habituellement mal tolérées. L’usage de cannes ou d’un déambulateur, reste actuellement la solution efficace la plus simple.

5 • Prévention
Dépister les sujets à risque de chute n’implique pas nécessairement de recourir à une épreuve complète de Tinetti, observer l’aisance avec laquelle une personne marche, se lève d’un siège, effectue un demi-tour, éventuellement sa capacité à se tenir sur un pied à s’accroupir, prend peu de temps.

les fractures qui surviennent à la suite d’un traumatisme mineur impliquent l’existence d’une fragilité osseuse anormale, et en premier lieu la recherche d’une ostéoporose. La meilleure prise en charge demeure la prévention, d’autant plus efficace qu’elle est instaurée précocement, elle s’articule autour de trois actions thérapeutiques simples:

1 Pratiquer une activité physique régulière

Basée sur des exercices simples à réaliser, dont le nombre et la durée seront limités pour éviter une lassitude et un abandon rapide.

Les activités en groupe sont particulièrement utiles par leur effet de resocialisation et de stimulation. Soulignons également l’intérêt des activités artisanales et leur implication dans les actes de la vie quotidienne, les groupes de parole, pour stimuler l’attention, la vigilance et la mémoire, ou tout simplement rompre l’isolement.

2 Lutter contre la fragilisation osseuse

L’âge idéal pour prévenir l’ostéoporose post ménopausique: 50 ans…

Au cours de la croissance l’os s’épaissit et acquiert sa densité maximum vers l’âge de 20 ans, ce capital osseux va diminuer lentement avec l’âge dans les deux sexes, chez la femme, le processus de déminéralisation s’accélère fortement à la ménopause du fait de la carence en oestrogènes, constituant le facteur de risque d’ostéoporose le plus important, le traitement hormonal substitutif débuté dès cette période est le plus efficace pour prévenir cette évolution. Lorsque celui ci n’est pas possible il fait appel aux biphosphonates, ou de nouvelles molécules comme le raloxifène en attendant les statines. Le fluor reste un traitement très controversé, notamment chez le sujet âgé. Les règles hygiéno-diététiques avec une alimentation équilibrée, notamment avec un apport calcique et protéique suffisant sont également à reconsidérer

L’extrême banalité de l’ostéoporose est trop souvent le prétexte à une absence de bilan étiologique, notamment à la recherche d’une ostéoporose secondaire (hyperparathyroïdie, hyperthyroïdie, maladie de Paget, maladie de Cushing, insuffisance rénale, ostéoporose iatrogène ...) ou d’une ostéomalacie qui constitue une contre indication au traitement par fluor et diphosphonates.

Au stade d’ostéoporose débutante, les radiographies constituent un signe habituel d’orientation, mais depuis 6 ans, l’ostéoporose est définie suivant les recommandations OMS par ostéodensitométrie, avec un T-score inférieur à 2,5 D.S. et non plus par la survenue d’une fracture périphérique ou d’un tassement vertébral. Outre la confirmation diagnostique, cet examen est également intéressant pour motiver les patientes

L’ostéoporose est aussi une maladie d’hommes, encore plus souvent que chez les femmes, cette fonte osseuse insidieuse n’est remarquée que lorsqu’elle a déjà causé une fracture osseuse. L’atteinte est plus fréquente chez l’homme qu’on ne l’admettait communément. Le traitement repose sur l’alendronate.

3 Réduire les facteurs de risque liés aux causes environnementales

Le retour à domicile est envisagé suivant le niveau d’autonomie et d’indépendance interprété dans son contexte socio-environnemental, une visite à domicile permet d’évaluer au mieux la situation et de proposer des solutions de bon sens (dégagement des espaces de circulation, escamoter les fils du téléphone, retirer les appuis instables, les tapis, veiller à la bonne stabilité des chaises et des fauteuils (assise haute avec accoudoirs) vérifier que la lampe de chevet éclaire suffisamment la chambre afin de faciliter les déplacements nocturnes et que son interrupteur soit accessible et si possible lumineux, installer une barre d’appui dans les toilettes, vérifier les ouvertures de portes, placer un tapis antidérapant dans la douche ou la baignoire, installer une barre d’appui pour en faciliter l’accès, limiter les risques de déséquilibre en utilisant une pince de préhension pour éviter de se baisser, téléalarme ou téléphone avec numéros d’urgences précodés placé sur la table de chevet, placer une chaise devant le lavabo). Une attention particulière sera portée aux problèmes de chaussage, en proscrivant les semelles glissantes, les talons trop hauts et à l’obtention d’une bonne hygiène plantaire (soins de durillons, meilleure répartition des appui par orthèses plantaires).

L’isolement fréquent et la précarité amènent bien souvent à conseiller ces patients dans leurs démarches administratives (minimum vieillesse, allocation logement à caractère social, avantages fiscaux) et à leur proposer une aide humaine qui contribue souvent à diminuer l’appréhension du retour dans leur cadre de vie habituel (Aide ménagère, tierce personne, Services de soins à domicile)

Conclusion :
L’incidence des chutes et de leurs conséquences traumatiques chez le sujet âgé croît régulièrement en parallèle avec le vieillissement de la pyramide des âges et l’augmentation de l’espérance de vie.

La prise en charge rééducative intervient dans les suites immédiates du traitement chirurgical, elle est globale, physique et psychologique, sans oublier le rôle important joué par l’entourage. Ses particularités chez la personne âgée tiennent à la présence de pathologies associées, aux troubles cognitifs, aux difficultés de compréhension et d’adaptation.

La meilleure prise en charge demeure la prévention des chutes, pour être efficace elle doit être précoce, elle s’adresse aux causes environnementales, la lutte contre l’ostéoporose et de la sédentarité.

--------------------
Haut de pagePages : 1  
 
 Entre Lumière et Ténèbres  <3Hors RPG<3  */*Fantasialand 2*/*  Recherches RDSNouveau sujet   Répondre
 
Identification rapide :         
 
Divers
Imprimer ce sujet
Aller à :   
 
créer forum