 | | Entre Lumière et Ténèbres | | Administrateurs : Sora |
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|  Posté le 15-04-2009 à 10:11:39    
| FAIT
Rapport de stage du 30 mars au 3 avril 2009 4 avril 2009
Les lieux :
J'ai pratiqué mon stage à l'Athénée Royal de Rixensart.
Cette école est composée de bâtiments pour les maternelles,les primaires,les secondaires,d'une salle de gym qui sert aussi de salle de fête,d'un bâtiment où les cours scientifiques se donnent,d'un bâtiment principal et du bâtiment H.
Le bureau de la préfète se trouve dans le bâtiment H, ainsi que le bureau des éducateurs du deuxième degré.
Le bureau du préfet se trouve dans le bâtiment principal ainsi que le bureau des éducateurs du premier degré.
L'école est assez spacieuse. Il y a également la présence d'un terrain de football, d'un terrain de basket et d'une grande étendue d'herbe où les cours de base-ball se donnent parfois.
Des bancs sont disposés à chaque recoin pour que les élèves puissent pique-niquer les jours de beaux temps.
Une cafétériat où il est possible d'acheter des sandwichs pour midi est placée au centre de tous ces bâtiments.
Le préau se trouve dans le bâtiment principal. Les élèves s'y réfugient lorsqu'il pleut.
La culture de l'école:
Les cours commencent à 8h30 et se terminent à 16h20.
Entre ceux-ci, il y a toujours au moins cinq minutes d'interpause pour que les élèves rejoignent la classe pour le prochain cours car, ici, ce sont les élèves qui changent de locaux.
Ils sont munis d'un journal de classe où les cours doivent être notés ainsi que ce qui a été vu en classe.
Normalement, les professeurs le remplissent au tout début du cours et à la fin pour indiquer les devoirs à faire à la maison.
Lorsqu'il sonne, les élèves de première et deuxième doivent attendre que leur professeur vienne les chercher dans la cour.
Pour les années suivantes, ce sont les élèves qui doivent se rendre devant leur classe à la première sonnerie.
Une fois là-bas, ils doivent se mettre en rang et attendre que le professeur arrive pour rentrer en classe.
Pour les retards, il suffit de passer chez le bureau des éducateurs pour le faire signaler. Mais, si le professeur n'est pas d'accord avec le motif, il peut écrire un mot dans le journal de classe.
Pour les absences, un mot des parents est demandé. Mais, si celles-ci durent plus de trois jours, un certificat est recommandé.
En classe, d'habitude les élèves s'assoient où ils veulent mais il est possible que le professeur change leur place.
Ils possèdent des cartables où mettre leurs cours et leur matériel pour prendre note.
La récréation dure de 11h00 à 11h20. Pendant ce temps, les élèves sont priés de se reposer, manger leur collation ou bien encore demander un licenciement au bureau des éducateurs si un professeur est absent.
Ils ne peuvent pas trainer dans les couloirs ni dans les classes.
Ils peuvent aller au bureau des éducateurs tant qu'ils le désirent excepté entre 12h30 et 13h30.
La récréation de midi dure de 13h00 à 13h50.
Le premier degré doit aller manger au réfectoire ou dehors s'il fait beau.
Quant au deuxième degré, s' ils en ont l'autorisation à l'aide d'une carte verte, ils peuvent sortir de l'école et aller manger dans les environs.
Pendant les récréations et le temps de midi, des éducateurs, et même le proviseur, patrouillent toujours dans les environs pour voir si tout se passe bien entre les élèves.
Commentaires :
Je trouve l'environnement de l'école très bien composé avec de l'herbe et des arbres car je trouve qu'il est toujours important pour une école d'avoir un bon espace pour que les élèves puissent se retirer et se reposer dans un endroit calme et vert. Malheureusement, ceci n'est pas donné à toutes les écoles. Cela dépend de l'endroit où elles sont construites.
Je trouve aussi intéressant qu'il y ait toujours un temps d'interpause de plus ou moins cinq minutes entre tous les cours car, quand les élèves sortent du bâtiment principal pour aller rejoindre le bâtiment des sciences, ils doivent traverser toute la cour. Si parfois ils prennent beaucoup de temps pour venir, ces cinq minutes font que, finalement, ils n'arrivent pas en retard au cours. Ils sont plus enclins à écouter le cours suivant s'ils se sont dérouillé les jambes.
Par rapport aux différents terrains qui s'y trouvent, je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'aménagement.
Oui, c'est intéressant qu'il y ait des terrains de sport pour que les élèves puissent de défouler pendant la pause. Mais, aucune protection ne les entoure. Ainsi, il n'est pas rare de retrouver parfois la balle de basket traversant une vitre du bâtiment principal. Ceci est très dangereux pour la protection des élèves. Installer des hautes grilles seraient plus approprié.
Je trouve également positif le fait que les élèves aient la possibilité de pouvoir manger dehors lors des jours de beau temps car, dans d'autres écoles, ils doivent rester dans la cafétériat jusqu'à une certaine heure, même s'il fait beau. Autant profiter de ce beau temps en s'installant sur un banc.
Edité le 10-05-2009 à 18:16:05 par Sora
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| Posté le 15-04-2009 à 11:53:52
| FAIT
b. J'analyse
Une leçon en Français
1. Environnement / contexte.
1. Cadre spatial :
----------------------
1.1. Disposition bancs:
Les bancs se trouvent disposés en face du tableau. Il y a trois rangées où les élèves sont assis un par banc.
1.2. Disposition bureau:
Le bureau du professeur préside la classe en étant disposé à un point central, c'est-à-dire qu'il se trouve devant le tableau face à la rangée du milieu.
2. Cadre temporel :
-------------------------
2.1. Durée:
La leçon a duré 50 minutes.
3. Profil de la classe / élèves :
--------------------------------------
3.1. Nombre d'élèves:
Les élèves étaient au nombre de 17.
3.2. Niveau - préacquis/prérequis:
Ils venaient de voir la phrase simple ainsi que la phrase complexe et ils allaient voir maintenant le discours direct et le discours indirect.
3.3. Origines - langue(s) parlée(s):
Ils parlent tous le français.
3.4. Âge:
Entre 14 ans et 17 ans pour certains.
3.5. Scolarisation:
Oui.
4. Supports :
-----------------
4.1. Oral:
Un "jeu" de questions/réponses.
4.2. Visuel:
Les élèves, au tout début du cours, ont dû se référer à des feuilles volantes afin de copier les réponses au tableau.
4.3. Ecrit:
Ils ont dû écrire les réponses qu'ils obtenaient au tableau ainsi que les phrases qu'ils transformaient.
5. Référentiels.
--------------------
Elle a utilisé des feuilles volantes. Je suppose qu'elle a créé sa leçon sur base d'un manuel scolaire et de titres tirés de journaux.
6. Atmosphère de travail.
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Il y a eu une bonne atmosphère de travail. Les élèves ont peut-être un peu discuté, mais, le rythme de la leçon était adéquat (Le professeur est arrivé à la fin de sa leçon) et les élèves ont répondu à ses questions et ont participé à la leçon.
Mise en pratique / oeuvre.
1. Déroulement.
---------------------
1.1. Place de la leçon par rapport à la matière:
Elle plaçait sa leçon après avoir vu les phrases simples et complexes.
1.2. Objectifs G + S.
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de repérer la différence entre un discours direct et un discours indirect.
1.3. Durée de chaque activité:
- 5 minutes pour que les élèves s'installent, fassent silence et trouvent leurs feuilles.
- 5 minutes pour le rappel de la différence entre une phrase simple et une phrase complexe.
- 15 minutes pour l'exercice où il fallait repérer si c'était un discours direct ou indirect.
- 10 minutes pour lire un petit texte et y repérer les phrases incises.
- 10 minutes pour pratiquer un exercice d'expression.
- 5 minutes pour faire le journal de classe.
1.4. Rythme :
Très bon rythme de leçon : les élèves ont bien participé à la leçon, le professeur a su arriver au bout de celle-ci et ils n'ont pas "traîné" sur les différentes activités proposées.
1.5. Etapes + consignes :
- Etape 1 : elle interroge un élève en lui demandant de bien vouloir lire sa phrase simple qu'il a dû transformer en une phrase complexe. Si elle la juge correcte, celui-ci peut aller l'écrire au tableau.
Consignes : "(Nom de l'élève), lis-nous ta phrase et, si elle est correcte, tu peux aller la marquer au tableau."
- Etape 2 : elle demande par la suite de repérer sur la feuille si les phrases sont du discours direct ou indirect. Elle finit par réexpliquer la consigne car les élèves n'ont pas bien compris et marque toutes les phrases de la feuille au tableau.
Consignes : "Maintenant, vous allez lire les phrases en silence, chacun pour vous, et me dire s'il s'agit d'un discours direct ou d'un discours indirect."
- Etape 3 : elle demande de reprendre une feuille qu'ils avaient reçues au cours précédent et ils vont la lire ensemble. Et, elle demande par la suite de faire attention aux petites phrases que le narrateur lit dans le texte.
Consignes : "Qui veut bien jouer le narrateur, son père ainsi que sa tante ? "
Consignes 2 : "Dans le dialogue, le narrateur a dû intervenir, comment s'appellent ces petites phrases ?!?"
- Etape 4 : elle demande à chacun des élèves de venir devant le tableau et de jouer une personne qui se fait marcher sur le pied. Elle indique le ton qu'ils doivent employer pour montrer la nuances du discours.
Consignes : "Dites-moi les paroles qu'un personnage pourrait déclarer, se faisant marcher sur le pied, mais, de différentes façons."
A. Découverte ( Exemple: tâche problème, contexte, ...):
Il n'y a pas vraiment eu de découverte.
Les élèves avaient déjà la feuille et elle a attendu qu'ils savent bien faire la différence entre une phrase simple et une phrase complexe pour commencer la leçon.
La théorie a donc déjà été donnée.
Il y a eu une phase d'exercices où les élèves ont dû repérer sur leurs feuilles les discours directs et indirects.
Il n'y avait pas vraiment de tâche finale mais plutôt une sorte de petite récompense sous forme de jeu mais qui traitait quand même du discours direct.
B. Structuration - systématisation / entraînement (Leçon, général).
-Structuration : vérifier si les élèves ont bien compris la différence entre une phrase simple et une pharse complexe avant d'entamer la leçon.
- Systématisation / Entraînement : sur un autre sujet ici que sont le discours direct et indirect : repérer les phrases et dire le type de discours.
C. Transfert (Plus : quelle est la méthode à laquelle fait usage l'enseignant ?):
Elle a utilisé une des méthodes visant l'inter-structuration (ou incitative) à dominante inductive.
2. Contenus :
-------------------
2.1. Sujet:
Le discours direct et le discours indirect.
2.2. Place et forme de la langue orale:
A travers toute la leçon. Les élèves devaient d'abord lire leurs réponses pour voir si leurs phrases étaient correctes et ensuite aller au tableau et, à la fin de la leçon, quand ils ont dû imiter ce personnage qui se faisait marcher sur le pied, avec différentes intonations.
2.3. Place et forme de la langue écrite:
A travers toute la leçon aussi vu que les élèves ont dû copier les exercices qui se trouvaient au tableau et la correction avec les discours directs et indirects.
2.4. Conception(s) de la langue:
Langue française vue comme la langue maternelle qui doit être maîtrisée.
3. Méthodologie :
------------------------
3.1. Support : exploitation - gestion:
Elle a utilisé des feuilles volantes ainsi que la "scène" devant le tableau.
3.2. Hétéro - inter - autoconstruction + pertinence.
L'inter-structuration (ou incitative) citée plus haut car dans une approche incitative de type 2, à dominante inductive, l'induction c'est une opération mentale qui consiste à remonter des faits à la loi, de cas donnés à une proposition générale. Ici, elle a voulu que les élèves découvrent ce qu'était un discours direct et indirect en devinant d'abord de quel discours il s'agissait et ensuite ils devaient être capables de relever leurs caractéristiques.
4. Organisation des tâches :
--------------------------------------
4.1. Travail individuel : même tâche, tâche individualisée + pertinence:
Les élèves devaient d'abord faire les exercices tout seuls avant de les corriger ensemble au tableau.
4.2. Travail en sous-groupes:
Il n'y a eu aucun travail en sous-groupe.
4.3. Travail en plénière (c'est-à-dire toute la classe!):
La correction collective.
5. Evaluation :
------------------
5.1. Avant:
Voir s'ils avaient bien compris ce qu'étaient une phrase simple et une phrase complexe en dictant les phrases qu'ils avaient dû composer pour le cours.
5.2. Pendant:
Les faire venir au tableau et dire pourquoi ils pensaient que c'était du discours direct ou indirect.
5.3. Après:
Il n'y avait pas de tâche finale.
5.4. Critères.
Du type grammatical.
5.5. Forme:
Forme de "jeu".
Acteurs.
1. Attitudes du professeur :
------------------------------------
1.1. Non - verbal (Posture, gestuelle, déplacements, ...):
Elle se déplace souvent dans la classe, généralement pour vérifier si les élèves notent bien. Elle va écrire les phrases au tableau, les accompagne une fois qu'ils sont devant le tableau, ...
1.2. Verbal (Ton, langue, niveau, ...):
Son ton n'est pas trop élevé, son niveau de langue est standard.
1.3. Degré d'intervention (Par rapport à la leçon.):
Elle intervient beaucoup pour stimuler les élèves, leur poser des questions, les rattraper quand c'est incorrect,...
1.4. Degré de fermeté (Par rapport à la gestion de groupe.):
Elle fait des remarques à ceux qui ne participent pas, demande le silence quand il y a du chahut.
1.5. Renforcements.
Le professeur réexpliquait si les élèves n'avaient pas bien compris le principe de l'exercice.
1.6. Neutralité:
Elle ne porte aucun signe d'appartenance religieuse et politique.
1.7. Traitement équitable.
Les élèves étaient tous traités équitablement car, même ceux qui ne parlairent pas, elle allait les interroger et demandait qu'ils viennent devant la classe pour le fameux exercice avec le personnage qui se faisait marcher sur le pied.
1.8. Degré d'adaptation:
Elle a de l'imagination quand il reste par exemple encore 5 minutes avant la fin du cours. Elle connait bien ses leçons et peut "déplacer" un exercice au "bon moment", quand elle le sent.
2. Attitude élèves :
------------------------
2.1. Degré d'attention / concentration:
Ils étaient bien attentifs et concentrés.
2.2. Degré de participation:
Ils ont bien participé mais n'oublions pas que c'est le professeur qui les interrogeait un à un. Donc, c'est elle qui désignait les noms et ceux qui allaient au tableau. Même les élèves qui n'ont pas répondu spontanément aux exercices ont pris part au dernier exercice d'expression orale sous l'impulsion du professeur.
2.3. Non - verbal:
Ils sont habillés correctement et ont dû jouer différentes mimiques lors de la tâche finale.
2.4. Accepter d'être dépassé : plus, moins ?
Les élèves acceptaient d'être dépassés et étaient prêts à écouter les nouvelles explications pour comprendre.
3. Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
--------------------------------------------------------------------
3.1. Questions - réponses - échanges:
Très bon, le professeur pose une question et les élèves répondent. Parfois, ils oublient de lever le doigt.
3.2. Rebondir, exploiter apports élèves:
Elle a bien vérifié s'ils maîtrisaient parfaitement les phrases simples et complexes avant de commencer sa leçon.
3.3. Susciter la participation:
En leur posant des questions, faisant des "jeux".
3.4. Attitude relationnelle:
Le professeur a une bonne relation avec les élèves car elle a de l'humour mais elle peut être ferme et autoritaire quand les élèves chahutent trop ou qu'ils essaient de dériver du cours.
Edité le 10-05-2009 à 18:22:48 par Sora
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| Posté le 16-04-2009 à 14:17:59
| FAIT
b. J'analyse
Une leçon en Français Langue Etrangère
1. Environnement / contexte.
1. Cadre spatial :
----------------------
1.1. Disposition bancs:
Il y a trois rangées de bancs face au tableau mais tous les élèves sont assis dans la rangée de gauche.
1.2. Disposition bureau:
Le bureau du professeur est placé devant la classe, face au tableau et il trône les trois rangées.
2. Cadre temporel :
-------------------------
2.1. Durée:
La leçon a duré 50 minutes.
3. Profil de la classe / élèves :
--------------------------------------
3.1. Nombre d'élèves:
Ils étaient au nombre de 6 mais il y avait 2 absentes.
3.2. Niveau - préacquis/prérequis:
Ils ont appris à se présenter.
Ils connaissent en grammaire : la conjugaison : le présent, le passé composé, le futur proche, l'imparfait, l'impératif.
Ils ont étudié les phrases déclaratives, affirmatives, négatives, les pronoms relatifs, les mots interrogatifs.
3.3. Origines - langue(s) parlée(s):
Il y a des Afghans, des Marocains, un Espagnol/Marocain et des Ukrainiens.
Ils parlent leur langue natale mais pas l'anglais. Le professeur a eu beaucoup de mal à se faire comprendre au début.
3.4. Âge:
Les élèves ont entre 12 et 18 ans.
3.5. Scolarisation:
Ils ne sont pas scolarisés.
4. Supports :
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4.1. Oral:
Pendant les leçons que j'ai été observer, il n' a utilisé aucun support oral.
4.2. Visuel:
Des feuilles volantes, le tableau.
4.3. Ecrit:
Les élèves peuvent écrire sur les feuilles que le professeur leur distribue mais ils ont aussi leur propre bloc de feuilles.
5. Référentiels.
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Le professeur utilise des manuels spécialement employés pour les cours de Français Langue Etrangère et ces outils sont d'origine française.
6. Atmosphère de travail.
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Les élèves, malgré leur petit nombre, écoutent bien le professeur quand il est en train de parler, ils participent en posant des questions s'ils n'ont pas compris ou en répondant à celles posées par le professeur. Ils n'hésitent pas aussi à s'entraider et vont au tableau quand le professeur le demande.
Mise en pratique / oeuvre.
1. Déroulement.
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1.1. Place de la leçon par rapport à la matière:
C'était une sorte de rappel sur la séquence : "Comment se présenter ? "
1.2. Objectifs G + S.
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de se présenter et de poser les questions adéquates face aux personnes parlant couramment le français.
1.3. Durée de chaque activité:
- 50 minutes car pendant toute la leçon, les élèves se sont mis par deux, se sont posés des questions pour découvrir quel personnage leur partenaire avait et le professeur passait entre les bancs pour intervenir dès que quelque chose n'était pas correct.
1.4. Rythme:
Il y avait un bon rythme de travail car tous les élèves ont fini leur jeu à la fin de la leçon.
1.5. Etapes + consignes :
Consignes : " Par groupe de deux, vous allez poser des questions à votre partenaire pour remplir la fiche de vos personnages et, par la suite, votre partenaire fera de même pour compléter la sienne."
- Etape 1 : un élève a marqué toutes les questions de présentation au tableau.
- Etape 2 : par groupe de deux, ils se sont mis à poser des questions pour compléter leur fiche.
A. Découverte ( Exemple: tâche-problème, contexte, ...):
Il n'y a pas eu de tâche problème car aucun point de grammaire n'était relevé dans la leçon, ni de contexte, mais, c'était plutôt une sorte de tâche finale pour voir si les élèves maîtrisaient le fait de se présenter et surtout bien poser les questions.
B. Structuration - systématisation / entraînement (Leçon, général):
C'était de l'entraînement pour se remémorer les questions déjà vues au cours précédent.
C. Transfert (Plus : quelle est la méthode à laquelle fait usage l'enseignant ?):
Il a utilisé une des méthodes visant l'inter-structuration (ou incitative) à dominante inductive.
2. Contenus :
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2.1. Sujet:
Se présenter.
2.2. Place et forme de la langue orale:
Très important car les élèves ont dû parler et faire des exercices de prononciation pendant toute la leçon.
2.3. Place et forme de la langue écrite:
Une petite place car les élèves, pour compléter leur fiche, devaient remplir les textes à trous et ainsi avoir toutes les informations de base sur les personnages.
2.4. Conception(s) de la langue:
La langue française est vue ici comme une outil de communication.
3. Méthodologie :
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3.1. Support : exploitation - gestion:
Le professeur a utilisé des feuilles volantes pour un exercice oral.
3.2. Hétéro - inter - autoconstruction + pertinence:
L'inter-structuration (ou incitative) car (pas dans cette leçon-ci, mais, avant l'exercice fait en classe) le professeur a essayé de faire "deviner" aux élèves les questions qu'ils devraient poser aux autres personnes rencontrées pour les connaître. Ici, il s'agit plutôt de l'exercice pour voir si cette matière a bien été intégrée.
4. Organisation des tâches :
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4.1. Travail individuel : même tâche, tâche individualisée + pertinence:
Ce n'était pas un travail individuel.
4.2. Travail en sous-groupes:
Cétait un travail en sous-groupes : les élèves étaient par couple et devaient se poser des questions mutuellement pour remplir leur fiche avec des personnages. Le professeur passait entre les bancs pour un quelconque problème de vocabulaire ou de prononciation.
4.3. Travail en plénière (c'est-à-dire toute la classe!):
Il n'y a pas eu de travail en plénière.
5. Evaluation :
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5.1. Avant:
Le professeur a bien vérifié qu'ils connaissaient leurs questions pour se présenter en les faisant inscrire à un élève au tableau.
5.2. Pendant:
Il passait entre les bancs pour voir si les questions que les élèves formulaient étaient correctes et qu'ils les prononcaient bien.
5.3. Après:
En les laissant travailler par couple et en faisant peut-être une correction au prochain cours pour voir si les élèves ont les mêmes réponses.
5.4. Critères.
Contextuels.
5.5. Forme:
C'était sous la forme d'un dialogue.
Acteurs.
1. Attitudes du professeur :
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1.1. Non - verbal (Posture, gestuelle, déplacements, ...):
Le professeur n'arrêtait pas de passer entre les bancs pour voir si les élèves suivaient bien le cours, recopiaient bien ce qu'il fallait noter au tableau, posaient des questions, ...
1.2. Verbal (Ton, langue, niveau, ...):
Son ton était assez "enjoué", disons qu'il variait souvent le ton pour sortir des petites blagues de temps en temps ou ne pas paraître monotone. Son niveau de langage était standard.
1.3. Degré d'intervention (Par rapport à la leçon.):
Il est beaucoup intervenu pour aider les élèves du mieux qu'il le pouvait.
1.4. Degré de fermeté (Par rapport à la gestion de groupe.):
Il était ferme pour demander le silence, mais, il l'a demandé très rarement parce qu'ils préféraient que les élèves participent et qu'ils posent des questions s'ils ne comprennent pas quelque chose.
1.5. Renforcements:
Il les aidait sans cesse en chercher des synonymes, réexpliquait ce qu'il n'avait pas compris, mimait, dessinait au tableau et même leur montrait des pays qu'ils avaient dans leurs exercices sur une carte.
1.6. Neutralité:
Il était neutre car ne portait aucun signe d'appatenance religieuse et ne dictait ses idées et opinions à tout bout de champ et il respectait chacun de ses élèves, quelle que soit son origine.
1.7. Traitement équitable:
Il les a tous traités équitablement vu que les élèves étaient un petit nombre et que tous participaient, aucun n'a été "laissé sur le côté".
1.8. Degré d'adaptation:
Il s'adaptait vite au niveau de ses élèves, c'est pourquoi il préférait leur interdire de faire un exercice losque celui-ci était trop difficile pour eux ou parce qu'ils n'avaient pas encore intégré le point de grammaire.
2. Attitude élève :
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2.1. Degré d'attention / concentration:
Les élèves étaient tous très attentifs et concentrés.
2.2. Degré de participation:
Ils ont tous participé. Comme ils sont peu nombreux, ils se connaissent tous et n'ont pas peur de parler devant la classe.
2.3. Non - verbal:
Ils s'asseyaient correctement. Le professeur les laissait marcher dans la classe s'ils voulaient se diriger vers la poubelle ou chercher du matériel scolaire. Par contre, il préférait qu'ils lèvent le doigt pour demander d'aller aux toilettes pour voir s'ils avaient la permission d'y aller ou non.
2.4. Accepter d'être dépassé : plus, moins ?
Les élèves n'ont pas montré un quelconque dégoût d'être dépassés ou non. J'ai juste pu observer qu'ils adoraient découvrir de nouvelles choses.
3. Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
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3.1. Questions - réponses - échanges:
Il y a eu beaucoup d'échanges que de questions/réponses car pendant la leçon, le professeur est passé entre les bancs pour répondre aux questions de vocabulaire des élèves ou encore vérifier s'ils prononçaient correctement un mot.
3.2. Rebondir, exploiter apports élèves:
Les élèves étaient déjà censés connaître les questions de base pour se présenter, une matière qu'ils avaient vue au tout début de l'année.
3.3. Susciter la participation:
Ils participaient beaucoup et les élèves avaient envie de suivre le professeur car celui-ci n'arrêtait pas de les encourager et de leur dire des petites blagues pour les faire rigoler.
3.4. Attitude relationnelle:
Elèves et professeur avaient une très bonne relation entre eux parce qu'ils se connaissaient tous bien.
Edité le 10-05-2009 à 18:26:36 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 26-04-2009 à 18:17:02
| Idées :
-Observation:texte sur une chambre.
-Conceptualisation:dessinent leur chambre et la décrivent. Savoir comment on dit pour placer des objets. Comment on situe des objets les uns par rapport aux autres.
-Structuration:font des exercices.
-Tâche-finale:avec la feuille de la chambre du garçon.
Ou avec une maison,...
Sites:
http://www.enseignons.be/secondaire/enseignement-29-8583.html (Chanson)
http://www.connectigramme.com/preposition.html/odyframe.htm (Tableau synthèse!!!)
Kay
Larissa
1 NS - FLE
25 avril 2009
1. Fiche signalétique de la leçon : les prépositions de lieu
1.)Références pratiques :
Nom : Kay.
Prénom : Larissa.
Section : 1ère NS - FLE.
2.)Contexte :
Titre de la séquence : les prépositions de lieu.
Durée : 50 minutes.
Public : adolescents entre 12 et 18 de niveau débutant.
3.)Objectif général :
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de répérer des objets dans l'espace et de décrire correctement leur position.
4.)Formulation de la tâche finale :
Tâche finale : les élèves, à partir d'une image, devront répondre à des questions en utilisant les prépositions de lieu pour y répondre.
2. Déroulement – plan de la séquence : les prépositions de lieu
Actions + matières du professeur Activités des élèves
- Observation :
-Je leur distribue une feuille et leur demande de lire d'abord chacun pour soi. Ensuite, pour la prononciation, je demande à un élève de le lire tout haut. Puis, je demande s'ils ont une idée sur les petits mots mis en gras : pourquoi on les a utilisé ? Quelle est leur utilité ?
Réponse : ils servent à dire où sont placé des objets.
Texte :
Plan d'un appartement
Cher Stéphane,
voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
J'espère qu'il répondera à vos attentes.
Mes salutations les plus distinguées.
Jean-Christophe.
- Conceptualisation :
-A l'aide de magazine, je leur demande de construire la chambre idéale pour eux. Puis, je fais une synthèse de la théorie.
- Structuration :
-Ils devront faire des exercices afin d'intégrer la théorie.
Exercices:
a.)Complète les phrases suivantes avec la préposition "à", "dans" ou "en" .
1. Vous êtes venus ........ voiture ou ...... train ?
2. Dès qu'il fait beau, je vais au travail ....... bicyclette.
3. Il a peur ....... avion, c'est pourquoi il ne prend jamais de vacances .... un pays lointain.
4. Moi j'habite ......... le centre-ville mais la plupart de mes amis habitent .......... banlieue.
5. ........... France, il n'y a presque plus de police ....... cheval, mais elle existe encore ......... les pays anglo-saxons.
6. Nous allons ........ Irlande cet automne. On trouve ........ ce pays beaucoup de coins superbes.
7. ....... Paris, .... le quartier Montparnasse, vous trouverez de nombreux cinémas.
8. Elle a oublié son parapluie .... ma voiture. Or, il pleut à verse et elle doit rentrer chez elle ......... pied.
[g]b.) Reliez les deux parties de la phrase qui vont ensemble.
1. Elle a rangé son foulard
2. Il a mis les poubelles
3. Les élèves sont entrés
4. J'aime marcher seule
5. J'ai laissé les courses
6. Tu pourras ranger les courses
7. Sur l'affiche, il était écrit : la concierge est
8. Mon train arrive à 7 h, attendez-moi
a. sur la table.
b. dans la classe.
c. dans le frigidaire, s'il te plaît ?
d. sur le trottoir.
e. dans l'escalier.
f. sur le quai.
g. dans le tiroir de la commode.
h. sur la plage.
[/g]- Tâche-finale :
-Ils devront observer une image et répondre aux questions posées en-dessous.
Texte:
La chambre de Nicolas
Observer la chambre de Nicolas et répondez aux questions en utiliser les prépositions de lieu.
[Image à insérer]
1. Où est son lit ?
2. Où se trouvent ses lunettes ?
3. Où est son sac de sport ?
4. Où sont ses baskets ?
5. Où se trouve la bande dessinée ?
6. Où est la petite voiture ?
7. Où est sa raquette de tennis ?
8. Où est la petite bouteille de coca ?
9. Où est la lampe ?
10. Où est son pantalon ?
11. Où est son cartable ?
12. Où sont ses livres ?
3.Fiche matière :
Les prépositions de lieu
1. Se situer dans l'espace
Lorsque l'on situe quelque chose dans l'espace, on peut le faire par rapport à soi-même. Par exemple, si je dis :
~> Vous avez vu ce drôle de bus, là-bas ?
Là-bas est situé par rapport à ma position dans l'espace.
On peut le faire aussi en choisissant un autre point de référence, dont on a déjà parlé. Par exemple, si je dis :
~> Elle voudrait bien vivre au Brésil mais son mari n'a pas très envie de vivre là-bas, il préfère rester à Paris.
Là-bas n'est plus situé à ma position dans l'espace mais par rapport à ce qui précède dans la phrase (Le Brésil).
1.1. Comment ?
Pour exprimer une idée de lieu, vous pouvez utiliser :
- des adverbes : ici, là, là-bas, à droite, à gauche, en face, à côté, tout droit, en haut, en bas, au-dessus, au-dessous, au fond, ...
~> Voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
au milieu, au centre, par terre, dedans, dehors, derrière, devant, ...
~> Ma chambre est assez petite mais je l'aime bien. Au fond, à droite , il y a un grand lit avec une table de nuit à côté. Au centre , une petite table basse et, devant , un petit fauteuil. Dans le coin, à gauche , un bureau et, au-dessus , une bibliothèque avec, dedans , tous les livres dont j'ai besoin. Par terre , j'ai mis une jolie moquette bleue.
- des noms précédés d'une préposition : à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
~> On va se promener le long de la Seine, sur la rive droite ? On pourrait regarder les bouquinistes sur les quais. Souvent, parmi les livres, on peut trouver des choses intéressantes et pas chères.
~> Si tu veux, on part de Notre-Dame et on va jusqu'au pont Mirabeau, en passant par le Pont-Neuf, le Louvre, la tour Eiffel, la Maison de la Radio, ...
~> Mes amis de Strasbourg, les Lambert, ont acheté une maison de campagne près d' vignon, exactement entre Avignon et Forcalquier. C'est un peu en dehors du Village, juste au pied d'une colline. Bien sûr, c'est un peu loin de Strasbourg mais ce coin de Provence est très joli.
1.2. Rappels et mises en garde
Quelques rappels:
Les points cardinaux : le nord, le sud, l'est, l'ouest.
~> Toulouse est une ville très bien située : au nord , les verges du Lot-et-Garonne; au sud , les Pyrénées; à l'ouest , l'océan Atlantique; à l'est , la vallée de la Garonne, les châteaux, les vignobles, ...
Prépositions et noms de lieux
Projets de vacances :
~>aller faire du ski dans les Alpes ou dans les Pyrénées (noms de montagne~> dans )
~>camper en Suisse , en Provence , en Bourgogne ou en Equateur (noms de pays, de province, féminins ou masculins, commençant par une voyelle~> en )
~> louer une maison dans le Cantal ou dans le Berry (noms de province ou de département masculins~> dans )
~>faire une randonnée au Portugal ou au Maroc (noms de pays masculins~> au )
~> passer une semaine chez l'oncle François, chez la soeur du copain de la voisine ou rester chez soi (noms de personnes~> chez )
Et au retour...
~> Tu es tout bronzé. Tu arrives du Maroc ou du Pays basque ? (noms de pays, province masculins~> du )
~> Tu arrives de Provence ou de Grèce ? (noms des pays, de province ou de département féminins ou masculins commençant par une voyelle~> de ou d' )
4.)Bibliographie :
- C. HOEHN, Temps de saison 1, français langue étrangère , p.63, unité 2, Ed. Didier Hatier, Namur, 1995.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, niveau intermédiraire , pp. 200 - 201, Ed. CLE international, Paris, 2002.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, exercices , pp. 119 - 120, Ed. CLE international, Paris, 2007.
Les prépositions de lieu
Fiche matière:
1. Se situer dans l'espace
Lorsque l'on situe quelque chose dans l'espace, on peut le faire par rapport à soi-même. Par exemple, si je dis :
~> Vous avez vu ce drôle de bus, là-bas ?
Là-bas est situé par rapport à ma position dans l'espace.
On peut le faire aussi en choisissant un autre point de référence, dont on a déjà parlé. Par exemple, si je dis :
~> Elle voudrait bien vivre au Brésil mais son mari n'a pas très envie de vivre là-bas, il préfère rester à Paris.
Là-bas n'est plus situé à ma position dans l'espace mais par rapport à ce qui précède dans la phrase (Le Brésil).
1.1. Comment ?
Pour exprimer une idée de lieu, vous pouvez utiliser :
- des adverbes : ici, là, là-bas, à droite, à gauche, en face, à côté, tout droit, en haut, en bas, au-dessus, au-dessous, au fond, ...
~> Voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
au milieu, au centre, par terre, dedans, dehors, derrière, devant, ...
~> Ma chambre est assez petite mais je l'aime bien. Au fond, à droite , il y a un grand lit avec une table de nuit à côté. Au centre , une petite table basse et, devant , un petit fauteuil. Dans le coin, à gauche , un bureau et, au-dessus , une bibliothèque avec, dedans , tous les livres dont j'ai besoin. Par terre , j'ai mis une jolie moquette bleue.
- des noms précédés d'une préposition : à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
~> On va se promener le long de la Seine, sur la rive droite ? On pourrait regarder les bouquinistes sur les quais. Souvent, parmi les livres, on peut trouver des choses intéressantes et pas chères.
~> Si tu veux, on part de Notre-Dame et on va jusqu'au pont Mirabeau, en passant par le Pont-Neuf, le Louvre, la tour Eiffel, la Maison de la Radio, ...
~> Mes amis de Strasbourg, les Lambert, ont acheté une maison de campagne près d' vignon, exactement entre Avignon et Forcalquier. C'est un peu en dehors du Village, juste au pied d'une colline. Bien sûr, c'est un peu loin de Strasbourg mais ce coin de Provence est très joli.
1.2. Rappels et mises en garde
Quelques rappels:
Les points cardinaux : le nord, le sud, l'est, l'ouest.
~> Toulouse est une ville très bien située : au nord , les verges du Lot-et-Garonne; au sud , les Pyrénées; à l'ouest , l'océan Atlantique; à l'est , la vallée de la Garonne, les châteaux, les vignobles, ...
Prépositions et noms de lieux
Projets de vacances :
~>aller faire du ski dans les Alpes ou dans les Pyrénées (noms de montagne~> dans )
~>camper en Suisse , en Provence , en Bourgogne ou en Equateur (noms de pays, de province, féminins ou masculins, commençant par une voyelle~> en )
~> louer une maison dans le Cantal ou dans le Berry (noms de province ou de département masculins~> dans )
~>faire une randonnée au Portugal ou au Maroc (noms de pays masculins~> au )
~> passer une semaine chez l'oncle François, chez la soeur du copain de la voisine ou rester chez soi (noms de personnes~> chez )
Et au retour...
~> Tu es tout bronzé. Tu arrives du Maroc ou du Pays basque ? (noms de pays, province masculins~> du )
~> Tu arrives de Provence ou de Grèce ? (noms des pays, de province ou de département féminins ou masculins commençant par une voyelle~> de ou d' )
Bibliographie :
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, niveau intermédiraire , pp. 200 - 201, Ed. CLE international, Paris, 2002.
Edité le 05-06-2009 à 10:33:02 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 27-04-2009 à 11:17:57
| 2. Déroulement – plan de la séquence : les prépositions de lieu
Actions + matières du professeur Activités des élèves Timing
- Observation :
-Je leur distribue une feuille et leur demande de lire d'abord chacun pour soi. Ensuite, pour la prononciation, je demande à un élève de le lire tout haut. Puis, je demande s'ils ont une idée sur les petits mots mis en gras : pourquoi on les a utilisé ? Quelle est leur utilité ?
Réponse : ils servent à dire où sont placé des objets.
Texte :
Plan d'un appartement
Cher Stéphane,
voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
J'espère qu'il répondera à vos attentes.
Mes salutations les plus distinguées.
Jean-Christophe.
- Conceptualisation :
-A l'aide de magazine, je leur demande de construire la chambre idéale pour eux. Puis, je fais une synthèse de la théorie.
- Structuration :
-Ils devront faire des exercices afin d'intégrer la théorie.
Exercices:
a.)Complète les phrases suivantes avec la préposition "à", "dans" ou "en" .
1. Vous êtes venus ........ voiture ou ...... train ?
2. Dès qu'il fait beau, je vais au travail ....... bicyclette.
3. Il a peur ....... avion, c'est pourquoi il ne prend jamais de vacances .... un pays lointain.
4. Moi j'habite ......... le centre-ville mais la plupart de mes amis habitent .......... banlieue.
5. ........... France, il n'y a presque plus de police ....... cheval, mais elle existe encore ......... les pays anglo-saxons.
6. Nous allons ........ Irlande cet automne. On trouve ........ ce pays beaucoup de coins superbes.
7. ....... Paris, .... le quartier Montparnasse, vous trouverez de nombreux cinémas.
8. Elle a oublié son parapluie .... ma voiture. Or, il pleut à verse et elle doit rentrer chez elle ......... pied.
[g]b.) Reliez les deux parties de la phrase qui vont ensemble.
1. Elle a rangé son foulard
2. Il a mis les poubelles
3. Les élèves sont entrés
4. J'aime marcher seule
5. J'ai laissé les courses
6. Tu pourras ranger les courses
7. Sur l'affiche, il était écrit : la concierge est
8. Mon train arrive à 7 h, attendez-moi
a. sur la table.
b. dans la classe.
c. dans le frigidaire, s'il te plaît ?
d. sur le trottoir.
e. dans l'escalier.
f. sur le quai.
g. dans le tiroir de la commode.
h. sur la plage.
[/g]- Tâche-finale :
-Ils devront observer une image et répondre aux questions posées en-dessous.
Texte:
La chambre de Nicolas
Observer la chambre de Nicolas et répondez aux questions en utiliser les prépositions de lieu.
[Image à insérer]
1. Où est son lit ?
2. Où se trouvent ses lunettes ?
3. Où est son sac de sport ?
4. Où sont ses baskets ?
5. Où se trouve la bande dessinée ?
6. Où est la petite voiture ?
7. Où est sa raquette de tennis ?
8. Où est la petite bouteille de coca ?
9. Où est la lampe ?
10. Où est son pantalon ?
11. Où est son cartable ?
12. Où sont ses livres ?
Edité le 27-04-2009 à 11:50:35 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 27-04-2009 à 21:06:41
| PAS A FAIRE
Français :
Kay
Larissa
1 NS - FLE
25 avril 2009
Préparation de leçon : le passé simple
Maître de stage : Madame Trousson
Athénée Royal de Rixensart
Classes en français
1. Fiche signalétique de la leçon :le passé simple
1.)Références pratiques :
Nom : Kay.
Prénom : Larissa.
Section : 1ère NS- FLE.
Lieu et adresse du stage : Athénée Royal de Rixensart, rue Albert Croy n°3.
Nom du maître de stage : Madame Trousson.
2.)Contexte :
Titre de la séquence : le passé simple.
Durée : 50 mintutes.
Public : adolescents entre 12 et 13 ans.
3.)Objectif général :
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de conjuguer les verbres du premier, deuxième et troisième groupe au passé simple et reconnaître cette forme dans un texte.
4.)Formulation de la tâche finale :
Tâche finale : les élèves devront remplir un mots croisés en conjuguant les verbres au passé simple.
2. Déroulement – plan de la séquence : la phrase interrogative
- Je distribue un texte aux élèves que nous lisons ensemble. Ensuite, je leur pose des questions pour qu'ils découvrent les verbes à l'imparfait et au passé simple ainsi que leurs terminaisons.
- Ensemble, nous remplissons un tableau avec les trois groupes en indiquant les terminaisons du passé simple.
- Pour acquérir la matière, je leur distribue un texte à trous qu'ils devront remplir où ils doivent choisir de conjuguer les verbes au passé simple ou à l'imparfait. Nous corrigeons ensemble.
- Et comme tâche finale, je leur demande de remplir un mots croisés en conjuguant les verbes au passé simple.
3.Fiche matière :
Passé simple de l'indicatif
Verbes en "er", terminaisons :
------------------------------------------
Je ..........ai
Tu ..........as
Il ............a
Nous ...........âmes
Vous ...........âtes
Ils ...........èrent
Verbes en "ir" - "oir" - "re" , terminaisons :
--------------------------------------------------------
Je ........is ou .......us
Tu ......is ou ......us
Il ..........it ou .......ut
Nous ..îmes ou ..........ûmes
Vous .......îtes ou ........ûtes
Ils ...........irent ou ......urent
Verbes tenir, venir et leurs composés , terminaisons :
---------------------------------------------------------------------
Je ....ins
Tu .....ins
Il .......int
Nous ........înmes
Vous .........întes
Ils .........inrent
Remaques :
- Les verbes en "_quer" et "_guer" gardent leur radical.
Exemple : je distinguai.
Vaincre ~> Je vainquis.
Atteindre ~> J'atteignis.
Acquérir ~> J'acquis.
4.)Documents remis aux élèves :
Feuille n° 1 :
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais
Tonki était né en Inde, sous les Tropiques. Là-bas, la forêt est luxuriante et l'eau des larges fleuves toute brune. Avec ses grands frères et soeurs, il passait ses journées à faire la course dans la savane ou à jouer dans l'eau. Et comme sous les Tropiques c'est l'été toute l'année, on joue dans l'eau douze mois sur douze.
Quand Tonki eut huit ans, il fut question, un soir de pleine lune, de l'envoyé dans un pays appelé le Japon. Il n'avait pas du tout envie de quitter ses parents ni ses frères et soeurs, mais en entendant tout le monde lui répéter :
- Les enfants japonais t'attendent !
Il se dit :
- S'ils m'attendent, après tout, pourquoi pas ?
La veille du grand départ, sa mère lui dit en retenant ses larmes :
- Et ne tombe pas malade !
- Tout ira bien, fit son père en levant les yeux vers le ciel. On dit que là-bas, du Japon aussi, on voit la même lune.
Le lendemain matin, on fit monter Tonki dans un camion qui le conduisit dans une ville au bord de la mer. Après un dernier adieu à la forêt et au fleuve, on l'embarqua sur un navire.
Quand le navire sortit du port, Tonki se sentit rempli de tristesse et son coeur se mit à battre très fort sous le soleil couchant écarlate.
Ensuite, ce fut la mer. A l'avant et à l'arrière du bateau, sur la droite et sur la gauche : la mer. Tous les jours : encore la mer. Qu'il pleuve ou qu'il vente toujours la mer. La couleur des eaux se fit de plus en plus sombre et le vent de plus en plus froid. Tonki restait transi sur le pont tremblant.
Enfin, à la quatrième escale, on arriva au Japon.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Feuille n° 2 :
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais (Suite)
De nombreux navires ......................... (être amarrés) dans le port, il y ........ (avoir) plein de gens et beaucoup de bruit.
Tonki ............ (être) bien étonné en voyant que les enfants japonais venus l'accueillir en agitant de petits drapeaux ............. (être) tous habillés. C'est que dans son pays, à cause de la chaleur, les enfants .......... (vivre) nus toute l'année.
Ce fut toute une affaire pour le débarquer. On lui .......... (passer) sous le ventre un filet large comme celui d'un court de tennis et on le ......... (hisser) à l'aide d'une grue. Ce n'est pas tellement dans les habitudes des éléphants de voler dans le ciel; c'est pourquoi quand il ...........(toucher) le quai bétonné du port, Tonki ............. (pousser) un gros soupir de soulagement.
Le gardien du zoo venu le chercher ............ (être) un jeune homme qui s' ................. (appeler) Sankichi. Il n'.......... (avoir) pas l'air particulièrement aimable, et Tonki ............ (avoir) d'abord l'impression de quelqu'un d'assez inquiétant.
En fait, Sankichi ............ (être) un paysan de la région de Yamagata et il n'................ (arriver) pas à s'adapter aux gens de la ville.
La nuit ........... (être) tombée, Tonki et Sankichi ........... (pouvoir) se mettre à marcher en direction du zoo. Dans le Tokyo de cette époque, il y ............ (avoir) des rails de tramway au milieu de la chaussée. Au fur et à mesure qu'ils .................... (avancer) sur la voie, tous les gens ............ (sortir) de chez eux dans un tohu-bohu extraordinaire (et pas seulement les enfants, les grandes personnes aussi).
- C'est l'éléphant ! Il marche !
- Il n'est pas très grand, comment ça se fait ?
- C'est un bébé éléphant.
- Ah bon.
Le ciel ............... (commencer) à s'éclaircir à l'est de Tokyo quand ils ............. (arriver) enfin au zoo de Ueno. Tonki ............ (dormir) pour la première fois dans son enclos sur la paille que Sankichi lui ........ (avoir) préparée. Après ces longues journées de bateau, quand il ............ (fermer) les yeux, il lui .......... (sembler) que son corps .......... (continuer) à tanguer. Il ............ (avoir) une pensée pour son père et sa mère, ............ (revoir) sa verte forêt et le grand fleuve brun, puis, complètement épuisé, il s'............. (endormir) comme une masse.
Le lendemain matin, Sankichi lui .............. (présenter) John. C'était un éléphant adulte qui ............. (vivre) au zoo de Ueno depuis longtemps. Les longues années de solitude l'........... (avoir) rendu bourru.
- Salut, te voilà bien arrivé !
Et il ........... (passer) sa trompe à travers les barreaux de sa cage et lui .............. (donner) deux tappes sur le dos.
- Il aurait mieux valu une jeune éléphante pour tenir compagnie à John... fit remaquer Sankichi à Tamiya, son aide.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Feuille n° 3 :
[Mots croisés à insérer]
5.)Bibliographie :
- C. BARTHELS, F. BASSANI, J.-L. DUMORTIER, M. DONY, J. HENIN, M. LAURENT, A. LETURQ, F. PLAZANET et M. WATRIN, Lectures pour toi, première année de l'enseignement secondaire , pp. 67 - 68, Ed. LABOR, Liège, 1992.
- J. et J. GUION, A.-M. ULRICH, Apprendre L'O.R.T.H.OGRAPHE , p. 82, Ed. Didier Hatier, Paris, 1994.
Edité le 10-05-2009 à 18:30:41 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 27-04-2009 à 21:32:52
| UNE PARTIE DES CORRECTIFS
3.Fiche matière :
Passé simple de l'indicatif
Verbes en "er", terminaisons :
------------------------------------------
Je ..........ai
Tu ..........as
Il ............a
Nous ...........âmes
Vous ...........âtes
Ils ...........èrent
Verbes en "ir" - "oir" - "re" , terminaisons :
--------------------------------------------------------
Je ........is ou .......us
Tu ......is ou ......us
Il ..........it ou .......ut
Nous ..îmes ou ..........ûmes
Vous .......îtes ou ........ûtes
Ils ...........irent ou ......urent
Verbes tenir, venir et leurs composés , terminaisons :
---------------------------------------------------------------------
Je ....ins
Tu .....ins
Il .......int
Nous ........înmes
Vous .........întes
Ils .........inrent
Remaques :
- Les verbes en "_quer" et "_guer" gardent leur radical.
Exemple : je distinguai.
Vaincre ~> Je vainquis.
Atteindre ~> J'atteignis.
Acquérir ~> J'acquis.
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais
Tonki était né en Inde, sous les Tropiques. Là-bas, la forêt est luxuriante et l'eau des larges fleuves toute brune. Avec ses grands frères et soeurs, il passait ses journées à faire la course dans la savane ou à jouer dans l'eau. Et comme sous les Tropiques c'est l'été toute l'année, on joue dans l'eau douze mois sur douze.
Quand Tonki eut huit ans, il fut question, un soir de pleine lune, de l'envoyer dans un pays appelé le Japon. Il n'avait pas du tout envie de quitter ses parents ni ses frères et soeurs, mais en entendant tout le monde lui répéter :
- Les enfants japonais t'attendent !
Il se dit :
- S'ils m'attendent, après tout, pourquoi pas ?
La veille du grand départ, sa mère lui dit en retenant ses larmes :
- Et ne tombe pas malade !
- Tout ira bien, fit son père en levant les yeux vers le ciel. On dit que là-bas, du Japon aussi, on voit la même lune.
Le lendemain matin, on fit monter Tonki dans un camion qui le conduisit dans une ville au bord de la mer. Après un dernier adieu à la forêt et au fleuve, on l' embarqua sur un navire.
Quand le navire sortit du port, Tonki se sentit rempli de tristesse et son coeur se mit à battre très fort sous le soleil couchant écarlate.
Ensuite, ce fut la mer. A l'avant et à l'arrière du bateau, sur la droite et sur la gauche : la mer. Tous les jours : encore la mer. Qu'il pleuve ou qu'il vente toujours la mer. La couleur des eaux se fit de plus en plus sombre et le vent de plus en plus froid. Tonki restait transi sur le pont tremblant.
Enfin, à la quatrième escale, on arriva au Japon.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais (Suite)
De nombreux navires étaient amarrés (être amarrés) dans le port, il y avait (avoir) plein de gens et beaucoup de bruit.
Tonki fut (être) bien étonné en voyant que les enfants japonais venus l'accueillir en agitant de petits drapeaux étaient (être) tous habillés. C'est que dans son pays, à cause de la chaleur, les enfants vivaient (vivre) nus toute l'année.
Ce fut toute une affaire pour le débarquer. On lui passa (passer) sous le ventre un filet large comme celui d'un court de tennis et on le hissa (hisser) à l'aide d'une grue. Ce n'est pas tellement dans les habitudes des éléphants de voler dans le ciel; c'est pourquoi quand il toucha (toucher) le quai bétonné du port, Tonki poussa (pousser) un gros soupir de soulagement.
Le gardien du zoo venu le chercher était (être) un jeune homme qui s' appelait (appeler) Sankichi. Il n' avait (avoir) pas l'air particulièrement aimable, et Tonki eut (avoir) d'abord l'impression de quelqu'un d'assez inquiétant.
En fait, Sankichi était (être) un paysan de la région de Yamagata et il n' arrivait (arriver) pas à s'adapter aux gens de la ville.
La nuit était (être) tombée, Tonki et Sankichi purent (pouvoir) se mettre à marcher en direction du zoo. Dans le Tokyo de cette époque, il y avait (avoir) des rails de tramway au milieu de la chaussée. Au fur et à mesure qu'ils avançaient (avancer) sur la voie, tous les gens sortaient (sortir) de chez eux dans un tohu-bohu extraordinaire (et pas seulement les enfants, les grandes personnes aussi).
- C'est l'éléphant ! Il marche !
- Il n'est pas très grand, comment ça se fait ?
- C'est un bébé éléphant.
- Ah bon.
Le ciel commençait (commencer) à s'éclaircir à l'est de Tokyo quand ils arrivèrent (arriver) enfin au zoo de Ueno. Tonki dormit (dormir) pour la première fois dans son enclos sur la paille que Sankichi lui avait (avoir) préparée. Après ces longues journées de bateau, quand il fermait (fermer) les yeux, il lui semblait (sembler) que son corps continuait (continuer) à tanguer. Il eut (avoir) une pensée pour son père et sa mère, revit (revoir) sa verte forêt et le grand fleuve brun, puis, complètement épuisé, il s' endormit (endormir) comme une masse.
Le lendemain matin, Sankichi lui présenta (présenter) John. C'était un éléphant adulte qui vivait (vivre) au zoo de Ueno depuis longtemps. Les longues années de solitude l' avaient (avoir) rendu bourru.
- Salut, te voilà bien arrivé !
Et il passa (passer) sa trompe à travers les barreaux de sa cage et lui donna (donner) deux tapes sur le dos.
- Il aurait mieux valu une jeune éléphante pour tenir compagnie à John... fit remarquer Sankichi à Tamiya, son aide.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Horizontal :
4. Servir ~> 1ière personne du pluriel.
7. Mincir ~> 3ième personne du pluriel.
8. Tenir ~> 1ière personne du singulier.
9. Devoir ~> 2ième personne du singulier.
11. Dormir ~> 3ième personne du pluriel.
13. Peser ~> 2ième personne du pluriel.
14. Agir ~> 1ière personne du singulier.
Vertical :
1. Transporter ~> 2ième personne du pluriel.
2. Obéir ~> 3ième personne du pluriel.
3. Créer ~> 3ième personne du pluriel.
5. Manger ~> 1ière personne du singulier.
6.Acquérir ~> 3ième personne du singulier.
10. Finir ~> 2ième personne du pluriel.
11. Divetir ~> 3ième personne du singulier.
12. Aimer ~> 3ième personne du singulier.
Edité le 11-05-2009 à 11:52:09 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 27-04-2009 à 22:34:45
| PAS A FAIRE
FLE, 2ième essaie :
Kay
Larissa
1 NS - FLE
25 avril 2009
1. Fiche signalétique de la leçon : les prépositions de lieu
1.)Références pratiques :
Nom : Kay.
Prénom : Larissa.
Section : 1ère NS - FLE.
2.)Contexte :
Titre de la séquence : les prépositions de lieu.
Durée : 50 minutes.
Public : adolescents entre 12 et 18 de niveau débutant.
3.)Objectif général :
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de répérer des objets dans l'espace et de décrire correctement leur position.
4.)Formulation de la tâche finale :
Tâche finale : les élèves, à l'aide de magazines, devront décrire leur chambre idéale en utilisant les prépositions de lieu.
2. Déroulement – plan de la séquence : les prépositions de lieu
Actions + matières du professeur Activités des élèves
- Observation :
-Je leur distribue une feuille et leur demande de lire d'abord chacun pour soi. Ensuite, pour la prononciation, je demande à un élève de le lire tout haut. Puis, je demande s'ils ont une idée sur les petits mots mis en gras : pourquoi on les a utilisé ? Quelle est leur utilité ?
Réponse : ils servent à dire où sont placé des objets.
Texte :
Plan d'un appartement
Cher Stéphane,
voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
J'espère qu'il répondera à vos attentes.
Mes salutations les plus distinguées.
Jean-Christophe.
Questions :
1.) Qui parle ?
2.) A qui ?
3.) Pourquoi ?
4.) Où est le bureau ?
5.) Où est la salle de séjour ?
6.) Où habite le couple ?
7.) Où habite la vieille dame ?
à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
- Conceptualisation :
- Structuration :
-Ils devront observer une image et répondre aux questions posées en-dessous.
Texte:
La chambre de Nicolas
Observer la chambre de Nicolas et répondez aux questions en utiliser les prépositions de lieu.
[Image à insérer]
1. Où est son lit ?
2. Où se trouvent ses lunettes ?
3. Où est son sac de sport ?
4. Où sont ses baskets ?
5. Où se trouve la bande dessinée ?
6. Où est la petite voiture ?
7. Où est sa raquette de tennis ?
8. Où est la petite bouteille de coca ?
9. Où est la lampe ?
10. Où est son pantalon ?
11. Où est son cartable ?
12. Où sont ses livres ?
[/g]- Tâche-finale :
-A l'aide de magazine, je leur demande de construire la chambre idéale pour eux. Puis, je fais une synthèse de la théorie.
3.Fiche matière :
Les prépositions de lieu
1. Se situer dans l'espace
Lorsque l'on situe quelque chose dans l'espace, on peut le faire par rapport à soi-même. Par exemple, si je dis :
~> Vous avez vu ce drôle de bus, là-bas ?
Là-bas est situé par rapport à ma position dans l'espace.
On peut le faire aussi en choisissant un autre point de référence, dont on a déjà parlé. Par exemple, si je dis :
~> Elle voudrait bien vivre au Brésil mais son mari n'a pas très envie de vivre là-bas, il préfère rester à Paris.
Là-bas n'est plus situé à ma position dans l'espace mais par rapport à ce qui précède dans la phrase (Le Brésil).
1.1. Comment ?
Pour exprimer une idée de lieu, vous pouvez utiliser :
- des adverbes : ici, là, là-bas, à droite, à gauche, en face, à côté, tout droit, en haut, en bas, au-dessus, au-dessous, au fond, ...
~> Voilà le plan de l'appartement : ici , vous avez l'entrée et le couloir. Là, à gauche , la cuisine et, à côté , une petite chambre. Au fond , un bureau. A droite , une salle de séjour et une grande chambre. L'appartement est tranquille : au-dessus , il y a un couple sans enfant et, au-dessous , une vieille dame.
au milieu, au centre, par terre, dedans, dehors, derrière, devant, ...
~> Ma chambre est assez petite mais je l'aime bien. Au fond, à droite , il y a un grand lit avec une table de nuit à côté. Au centre , une petite table basse et, devant , un petit fauteuil. Dans le coin, à gauche , un bureau et, au-dessus , une bibliothèque avec, dedans , tous les livres dont j'ai besoin. Par terre , j'ai mis une jolie moquette bleue.
- des noms précédés d'une préposition : à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
~> On va se promener le long de la Seine, sur la rive droite ? On pourrait regarder les bouquinistes sur les quais. Souvent, parmi les livres, on peut trouver des choses intéressantes et pas chères.
~> Si tu veux, on part de Notre-Dame et on va jusqu'au pont Mirabeau, en passant par le Pont-Neuf, le Louvre, la tour Eiffel, la Maison de la Radio, ...
~> Mes amis de Strasbourg, les Lambert, ont acheté une maison de campagne près d' vignon, exactement entre Avignon et Forcalquier. C'est un peu en dehors du Village, juste au pied d'une colline. Bien sûr, c'est un peu loin de Strasbourg mais ce coin de Provence est très joli.
1.2. Rappels et mises en garde
Quelques rappels:
Les points cardinaux : le nord, le sud, l'est, l'ouest.
~> Toulouse est une ville très bien située : au nord , les verges du Lot-et-Garonne; au sud , les Pyrénées; à l'ouest , l'océan Atlantique; à l'est , la vallée de la Garonne, les châteaux, les vignobles, ...
Prépositions et noms de lieux
Projets de vacances :
~>aller faire du ski dans les Alpes ou dans les Pyrénées (noms de montagne~> dans )
~>camper en Suisse , en Provence , en Bourgogne ou en Equateur (noms de pays, de province, féminins ou masculins, commençant par une voyelle~> en )
~> louer une maison dans le Cantal ou dans le Berry (noms de province ou de département masculins~> dans )
~>faire une randonnée au Portugal ou au Maroc (noms de pays masculins~> au )
~> passer une semaine chez l'oncle François, chez la soeur du copain de la voisine ou rester chez soi (noms de personnes~> chez )
Et au retour...
~> Tu es tout bronzé. Tu arrives du Maroc ou du Pays basque ? (noms de pays, province masculins~> du )
~> Tu arrives de Provence ou de Grèce ? (noms des pays, de province ou de département féminins ou masculins commençant par une voyelle~> de ou d' )
4.)Bibliographie :
- C. HOEHN, Temps de saison 1, français langue étrangère , p.63, unité 2, Ed. Didier Hatier, Namur, 1995.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, niveau intermédiraire , pp. 200 - 201, Ed. CLE international, Paris, 2002.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, exercices , pp. 119 - 120, Ed. CLE international, Paris, 2007.
Edité le 10-05-2009 à 18:29:09 par Sora
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| Posté le 01-05-2009 à 15:38:19
| FAIT
FLE,3ième essaie:
Kay
Larissa
1 NS - FLE
4 mai 2009
Préparation de leçon : les prépositions de lieu
Maître de stage : monsieur Persichetti
Athénée Royal de Rixensart
Classes en français langue étrangère
1. Fiche signalétique de la leçon : les prépositions de lieu
1.)Références pratiques :
Nom : Kay.
Prénom : Larissa.
Section : 1ère NS - FLE.
Lieu et adresse du stage : Athénée Royal de Rixensart, rue Albert Croy n°3.
Nom du maître de stage : monsieur Persichetty.
2.)Contexte :
Titre de la séquence : les prépositions de lieu.
Durée : 3 heures.
Public : des adolescents entre 12 et 18 ans.
3.)Objectif général :
4.)Formulation de la tâche finale :
Tâche finale : à l'aide de ces magazines, découpez comment vous décoreriez votre chambre et dites-moi où vous placerez vos objets.
2. Déroulement – plan de la séquence : les prépositions de lieu [/i]
Actions + matières du professeur Activités des élèves Timing
- Observation :
-20 min.: Je leur distribue un texte que je vais lire moi-même en demandant de faire attention à qui parle et à qui et pourquoi.
- Conceptualisation :
-1 heure : Après une première lecture, je désigne plusieurs élèves pour lire, chacun à leur tour, une phrase et je leur explique les mots de vocabulaires qu'ils ne comprennent pas en expliquant, en mimant, en dessinant au tableau, en montrant divers objets dans la classe, ...
Après cette lecture "collective", je les invite à répondre aux questions en-dessous du texte.
Je passe entre les bancs pour voir s'ils ont bien compris la consigne et s'ils travaillent.
Un à un, je désigne un élève au tableau qui va écrire sa réponse et nous corrigeons ensemble.
- Structuration :
-30 min.: Les réponses aux questions étant corrigées et le texte étant compris, je les invite à créer une synthèse au tableau ensemble en reprenant toutes les prépositions de lieu vues dans le texte.
Pour cela, ils doivent prendre une feuille A4 en paysage.
J'indique le titre "Les prépositions de lieu" au tableau.
Après chaque préposition de lieu, je les explicite en dessinant un rond et un point. Je positionne le point où doit-il se trouver par rapport au rond.
- Tâche-finale :
-1 heure : A l'aide de magazines, je leur demande de construire leur chambre idéale et de m'expliquer où ils placeraient leurs objets en utilisant bien sûr les prépositions de lieu.
3.Fiche matière :
Définition
Les prépositions sont des mots ou des groupes de mots invariables qui servent à relier un élément de la phrase à un autre.
Dans de nombreux cas, la préposition établit un rapport de sens.
Exemple : "dans" = le lieu.
Emploi de certaines prépositions
"Dans" indique le lieu (A l'intérieur de).
Exemple : il y a des plantes vertes dans le salon.
"Entre" et "parmi"
"Entre" s'emploie pour exprimer l'espace qui sépare des personnes ou des choses.
Exemple : au cinéma, le petit garçon était assis entre ses parents.
"Parmi" permet d'isoler un élément d'un groupe.
Exemple : parmi les spectateurs, on remarquait le roi.
Sur, au-dessus de, sous et au-dessous de
"Sur" a une idée de contact.
Exemple : le programme des émissions est posé sur le téléviseur.
"Au-dessus de" = en un point supérieur.
Exemple : l'avion volait au-dessus de l'océan Atlantique.
"Sous" = contact.
Exemple : l'infirmière a mis un oreiller sous les jambes du malade.
"Au-dessous" = en un point inférieur.
Exemple : la température est descendue au-dessous de zéro.
Remarque : certaines propositions ont la même forme que les adverbes : après, avant, derrière, devant, ...
Comparez :
1.)Le chien est couché devant la cheminée. (Préposition)
2.)Il n'y a plus de places au fond de la classe; venez donc vous asseoir devant. (Adverbe)
L'adverbe n'introduit rien tandis que la préposition relie un élément de la phrase à un autre.
Pour exprimer le lieu, on utilise des noms précédés d'une préposition : à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
~> On va se promener le long de la Grand Place ? On pourrait regarder les bouquinistes.
~> Souvent, parmi les livres, on peut trouver des choses intéressantes et pas chères.
~> Si tu veux, on part de la gare Centrale et on va jusqu'à la Place Royale, en passant par le Colonne du Congrès et par le parc de Bruxelles.
~> Mes amis de Bruxelles, les Lambert, ont acheté une maison de campagne près de Rixensart, exactement entre Genval et La Hulpe. C'est un peu en dehors du ville, juste au pied d'une colline. Bien sûr, c'est un peu loin de Bruxelles mais ce coin du Brabant est très joli.
Orthographe :
On écrit les locutions prépositives composées de "au" et de "par" avec trait d'union. Celles composées de "en" sans trait d'union.
Exemple : au-dessus de, par-dessus; en-dessous de.
4.Documents remis aux élèves :
5.Les corrigés des documents élèves :
Questions :
1.) A qui appartient la chambre ? A Martin.
2.) Où sa maman ne peut-elle pas entrer ? Dans sa chambre.
3.) Où est l'étagère ? Le long du mur.
4.) Où est la carte du monde ? Au-dessus de son lit.
5.) Où est coincé le vêtement ? Entre deux tiroirs.
6.) Où est la corbeille à papiers ? A côté d'une lampe
7.) Où se trouve le cadre de sa photo? Au-dessus de la tête du lit.
8.) Où se trouve l'ours en peluche? Contre trois fardes.
9.) Où est la radio? En dehors de sa place habituelle.
10.) Où est branché le fil de la prise de la radio ? En-dessous du lit.
11.) Comment Martin peut-il obtenir du dessert ce soir ? Il sera obligé de remettre rapidement les choses à leur place.
12.) Où ne doit-il plus vivre? Au milieu de ce désordre.
6.Bibliographie :
- C. HOEHN, Temps de saison 1, français langue étrangère , p.63, unité 2, Ed. Didier Hatier, Namur, 1995.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, niveau intermédiraire , pp. 200 - 201, Ed. CLE international, Paris, 2002.
- S. POISSON-QUINTON, R. MIMRAN, M. MAHEO-LE COADIC, Grammaire expliquée du français, exercices , pp. 119 - 120, Ed. CLE international, Paris, 2007.
-http://www.lepointdufle.net/p/prepositions.htm#lieu
Edité le 11-05-2009 à 11:29:14 par Sora
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| Posté le 01-05-2009 à 15:48:14
| FAIT
Français,2ième essaie:
Kay
Larissa
1 NS - FLE
4 mai 2009
Préparation de leçon : le passé simple
Maître de stage : madame Trousson
Athénée Royal de Rixensart
Classes en français
1. Fiche signalétique de la leçon : le passé simple
1.)Références pratiques :
Nom : Kay.
Prénom : Larissa.
Section : 1ère NS - FLE.
Lieu et adresse du stage : Athénée Royal de Rixensart, rue Albert Croy n°3.
Nom du maître de stage : madame Trousson.
2.)Contexte :
Titre de la séquence : le passé simple.
Durée : 50 minutes.
Public : des adolescents de 12 et 13 ans.
3.)Objectif général :
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de conjuguer les verbes du premier, deuxième et troisième groupes au passé simple et reconnaître cette forme dans un texte.
4.)Formulation de la tâche finale :
Tâche finale : les élèves devront remplir un mots croisés en conjuguant les verbes au passé simple.
(Tâche finale n'apparaissant que dans la 2ième leçon.)
2. Déroulement – plan de la séquence : le passé simple
Actions + matières du professeur Activités des élèves Timing
-Observation:
-10 min.: Je lis un texte tout haut et leur demande d'être attentif.
Par la suite, je leur pose des petites questions comme :
Où est-il né ?
A quel âge doit-il partir ?
Qui est Tonki ?
Où doit-il aller ?
Ces deux dernières doivent être marquées sur leur feuille.
-Conceptualisation:
-10 min.: Ensuite, je leur demande de relire le texte, mais, cette fois-ci, ils doivent aller souligner dedans les verbes conjugué au passé simple.
Je désigne chaque élève pour lire une phrase du texte et me dire à haute voix ce qu'il a souligné.
Ensuite, je marque au tableau les différents verbes.
-Structuration:
-20 min.: Je trace trois colonnes sur le tableau, et leur demande le nom des colonnes.
Ils les trouvent grâce aux différents verbes mis au tableau.
Ensuite, je désigne un élève pour me conjuguer un verbe au passé simple et il peut s'aider des verbes déjà trouvés pour relever les terminaisons.
- 10 min.: Le tableau une fois rempli, je leur demande de recopier la synthèse sur une feuille en paysage avec quatre colonnes.
-Tâche-finale:
-Ils doivent remplir des mots croisés sur le passé simple.
3.Fiche matière :
Le passé simple
Le passé simple est un temps réservé à la langue écrite.
1. Formation
Le radical du passé simple est le même à toutes les personnes.
-Verbes du premier groupe :
radical + - ai, - as, - a, - âmes, -âtes, - èrent .
Chanter ~> Je chant - ai , tu chant - as , il chant - a , nous chant - âmes , vous chant - âtes , ils chant - èrent .
Attention ! Deux modifications possibles du radical pour les verbes en -cer et en -ger , comme avancer ou plonger .
Avant une terminaison commençant par "a", le "c" devient "ç" et le "g" devient "ge".
Exemple : j'avan ç ai, tu avan ç as, elle avan ç a, nous avan ç âmes, vous avan ç âtes, ...
Je plon ge ai, tu plon ge as, il plon ge a, nous plon ge âmes, vous plon ge âtes, ...
-Verbes du deuxième groupe :
radical + -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent .
Finir ~> Je fin - is , tu fin - is , il fin - it , nous fin - îmes , vous fin - îtes , ils fin - irent .
-Verbes du troisième groupe :
radical + -is, -is, -it, -îmes, -îtes, irent .
Partir ~> Je part - is , tu part - is , il part - it , nous part - îmes , vous part - îtes , ils part - irent .
Voir ~> Je v - is , tu v - is , il v - it , nous v - îmes , vous v - îtes , ils v - irent .
radical + -us, -us, -ut, -ûmes, -ûtes, -urent .
Vouloir ~> Je voul - us , tu voul - us , il voul - ut , nous voul - ûmes , vous voul - ûtes , ils voul - urent .
Courir ~> Je cour - us , tu cour - us , il cour - ut , nous cour - ûmes , vous cour - ûtes , ils cour - urent .
Remarque :
notez les terminaisons des verbes venir , tenir et de leurs composés.
Je vins / je tins.
Tu vins / tu tins.
Il vint / il tint.
Nous vînmes / nous tînmes.
Vous vîntes / vous tîntes.
Ils vinrent / ils tinrent.
2. Emploi
Le passé simple a les mêmes valeurs que le passé composé (fait ponctuel, durée limitée, succession d'évènements), sauf celle de l'antériorité par rapport au présent.
~> Le peintre Matisse naquit en 1869 et mourut en 1954.
Il peignit le célèbre tableau "La Danse" en 1909, il vécut longtemps dans le Midi et il fut l'ami de Picasso.
Dans un récit au passé, le passé simple a les mêmes relations avec l'imparfait que le passé composé. Mais à la différence de celui-ci, qui rattache le fait ou l'action au moment où l'on parle, il le situe dans un passé lointain (sans contact avec le présent). C'est pourquoi on l'emploie dans la littérature (romans, récits, contes pour enfants, biographie, etc.), surtout à la troisième personne.
~> "Comme le frère et la soeur allaient se lever de table, on frappa à la porte.
-Entrez, dit l'évêque.
La porte s'ouvrit . Un groupe étrange et violent apparut sur le seuil. Trois hommes en tenaient un quatrième au collet. Les trois hommes étaient des gendarmes : l'autre était Jean Valjean."
Les Misérables , Victor Hugo.
Remarques :
on peut aussi l'employer dans un contexte présent, il donne alors une dimension historique aux faits.
~> On dit que Mozart composa l'ouverture de Don Juan en une nuit.
~> De nos jours, de nombreux pays utilisent le système métrique qui fut établi sous la Révolution française en 1791.
4.Documents remis aux élèves :
[s] 5.Les corrigés des documents élèves :
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais
Tonki était né en Inde, sous les Tropiques. Là-bas, la forêt est luxuriante et l'eau des larges fleuves toute brune. Avec ses grands frères et soeurs, il passait ses journées à faire la course dans la savane ou à jouer dans l'eau. Et comme sous les Tropiques c'est l'été toute l'année, on joue dans l'eau douze mois sur douze.
Quand Tonki eut huit ans, il fut question, un soir de pleine lune, de l'envoyer dans un pays appelé le Japon. Il n'avait pas du tout envie de quitter ses parents ni ses frères et soeurs, mais en entendant tout le monde lui répéter :
- Les enfants japonais t'attendent !
Il se dit :
- S'ils m'attendent, après tout, pourquoi pas ?
La veille du grand départ, sa mère lui dit en retenant ses larmes :
- Et ne tombe pas malade !
- Tout ira bien, fit son père en levant les yeux vers le ciel. On dit que là-bas, du Japon aussi, on voit la même lune.
Le lendemain matin, on fit monter Tonki dans un camion qui le conduisit dans une ville au bord de la mer. Après un dernier adieu à la forêt et au fleuve, on l' embarqua sur un navire.
Quand le navire sortit du port, Tonki se sentit rempli de tristesse et son coeur se mit à battre très fort sous le soleil couchant écarlate.
Ensuite, ce fut la mer. A l'avant et à l'arrière du bateau, sur la droite et sur la gauche : la mer. Tous les jours : encore la mer. Qu'il pleuve ou qu'il vente toujours la mer. La couleur des eaux se fit de plus en plus sombre et le vent de plus en plus froid. Tonki restait transi sur le pont tremblant.
Enfin, à la quatrième escale, on arriva au Japon.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Questions :
1.)Qui est Tonki ? Un éléphant.
2.) Où doit-il aller ? Au Japon.
3.) A quel âge doit-il partir ? A l'âge de 8 ans.
4.) Où vit-il ? En Inde.
Tableau :
Passé simple de l'indicatif
Verbes en "er", terminaisons :
------------------------------------------
Je ..........ai
Tu ..........as
Il ............a
Nous ...........âmes
Vous ...........âtes
Ils ...........èrent
Verbes en "ir" - "oir" - "re" , terminaisons :
--------------------------------------------------------
Je ........is ou .......us
Tu ......is ou ......us
Il ..........it ou .......ut
Nous ..îmes ou ..........ûmes
Vous .......îtes ou ........ûtes
Ils ...........irent ou ......urent
Verbes tenir, venir et leurs composés , terminaisons :
---------------------------------------------------------------------
Je ....ins
Tu .....ins
Il .......int
Nous ........înmes
Vous .........întes
Ils .........inrent
6.Bibliographie :
- C. BARTHELS, F. BASSANI, J.-L. DUMORTIER, M. DONY, J. HENIN, M. LAURENT, A. LETURQ, F. PLAZANET et M. WATRIN, Lectures pour toi, première année de l'enseignement secondaire , pp. 67 - 68, Ed. LABOR, Liège, 1992.
- J. et J. GUION, A.-M. ULRICH, Apprendre L'O.R.T.H.OGRAPHE , p. 82, Ed. Didier Hatier, Paris, 1994.
Edité le 11-05-2009 à 12:00:52 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 02-05-2009 à 14:25:08
| Fiche matière FLE
La préposition ”pour” (for/to) est pour le but, ou le destinataire :
Je travaille pour l’examen.
Au café :”c’est pour qui la pizza végétarienne ? – c’est pour moi, merci.”
La préposition ”de” est souvent la marque du génitif : Le livre de Paul.
La préposition ”à” est la destination: Jean téléphone à Paul
+ la location (cf : se déplacer)
Il y a = there is
La forme il y a ne change jamais.
Il y a never changes
En France il y a des français
Est-ce qu’il y a un bon restaurant dans cette ville ?
Y-a-t-il un pilote dans l’avion ?
Il y a longtemps que tu attends ?
Il y a du soleil aujourd’hui.
Refaite
Définition
Les prépositions sont des mots ou des groupes de mots invariables qui servent à relier un élément de la phrase à un autre.
Dans de nombreux cas, la préposition établit un rapport de sens.
Exemple : "dans" = le lieu.
Emploi de certaines prépositions
"Dans" indique le lieu (A l'intérieur de).
Exemple : il y a des plantes vertes dans le salon.
"Entre" et "parmi"
"Entre" s'emploie pour exprimer l'espace qui sépare des personnes ou des choses.
Exemple : au cinéma, le petit garçon était assis entre ses parents.
"Parmi" permet d'isoler un élément d'un groupe.
Exemple : parmi les spectateurs, on remarquait le roi.
Sur, au-dessus de, sous et au-dessous de
"Sur" a une idée de contact.
Exemple : le programme des émissions est posé sur le téléviseur.
"Au-dessus de" = en un point supérieur.
Exemple : l'avion volait au-dessus de l'océan Atlantique.
"Sous" = contact.
Exemple : l'infirmière a mis un oreiller sous les jambes du malade.
"Au-dessous" = en un point inférieur.
Exemple : la température est descendue au-dessous de zéro.
Remarque : certaines propositions ont la même forme que les adverbes : après, avant, derrière, devant, ...
Comparez :
1.)Le chien est couché devant la cheminée. (Préposition)
2.)Il n'y a plus de places au fond de la classe; venez donc vous asseoir devant. (Adverbe)
L'adverbe n'introduit rien tandis que la préposition relie un élément de la phrase à un autre.
Pour exprimer le lieu, on utilise des noms précédés d'une préposition : à, chez, en, dans, sur, sous, devant, derrière, par, pour, entre, ... ; et jusqu'à, vers, près de, loin de, à côté de, en face de, au-dessus de, au-dessous de, au milieu de, parmi, au pied de, hors de, en dehors de, le long de ...
~> On va se promener le long de la Grand Place ? On pourrait regarder les bouquinistes.
~> Souvent, parmi les livres, on peut trouver des choses intéressantes et pas chères.
~> Si tu veux, on part de la gare Centrale et on va jusqu'à la Place Royale, en passant par le Colonne du Congrès et par le parc de Bruxelles.
~> Mes amis de Bruxelles, les Lambert, ont acheté une maison de campagne près de Rixensart, exactement entre Genval et La Hulpe. C'est un peu en dehors du ville, juste au pied d'une colline. Bien sûr, c'est un peu loin de Bruxelles mais ce coin du Brabant est très joli.
Orthographe :
On écrit les locutions prépositives composées de "au" et de "par" avec trait d'union. Celles composées de "en" sans trait d'union.
Exemple : au-dessus de, par-dessus; en-dessous de.
http://www.estudiodefrances.com/peli/lalocalisation.html
http://www.juntadeandalucia.es/averroes/centros-tic/14002984/helvia/aula/archivos/repositorio//1500/1728/html/decrire_apparttement/chambre_en_desordre.jpg
4.Documents remis aux élèves :
La chambre de Martin
http://www.juntadeandalucia.es/averroes/centros-tic/14002984/helvia/aula/archivos/repositorio//1500/1728/html/decrire_apparttement/chambre_en_desordre.jpg
Martin dit à sa maman de ne pas entrer dans sa chambre. Elle ne lui obéit pas et découvre une chambre totalement en désordre. Elle n'est vraiment pas contente !
Seules l’étagère le long du mur et la carte du monde au-dessus de son lit sont en ordre. En effet, l'armoire à côté de son lit est entrouverte, il y a un vêtement qui est coincé entre deux tiroirs. Le fil de sa lampe de chevet descend dangereusement le long de cette armoire et la corbeille à papiers se trouve à côté de cette lampe.
Au-dessus de la tête du lit, le cadre de sa photo est de travers. Au pied du lit, des fardes de cours jonchent le sol ainsi que des cahiers ouverts et parmi tous ces objets, un ours en peluche est appuyé contre trois fardes et la radio est en dehors de sa place habituelle. Le fil est toujours branché à la prise se trouvant en-dessous du lit.
Si Martin veut du dessert ce soir, il sera obligé de remettre rapidement les choses à leur place et de ne plus vivre au milieu de ce désordre.
Questions :
1.) A qui appartient la chambre ?
2.) Où sa maman ne peut-elle pas entrer ?
3.) Où est l'étagère ?
4.) Où est la carte du monde ?
5.) Où est coincé le vêtement ?
6.) Où est la corbeille à papiers ?
7.) Où se trouve le cadre de sa photo?
8.) Où se trouve l'ours en peluche?
9.) Où est la radio?
10.) Où est branché le fil de la prise de la radio ?
11.) Comment Martin peut-il obtenir du dessert ce soir ?
12.) Où ne doit-il plus vivre?
La chambre de Nicolas
Observe la chambre de Nicolas et réponds aux questions en utilisant les prépositions de lieu.
Questions :
1. Où est son lit ?
2. Où se trouvent ses lunettes ?
3. Où est son sac de sport ?
4. Où sont ses baskets ?
5. Où se trouve la bande dessinée ?
6. Où est la petite voiture ?
7. Où est sa raquette de tennis ?
8. Où est la petite bouteille de coca ?
9. Où est la lampe ?
10. Où est son pantalon ?
11. Où est son cartable ?
12. Où sont ses livres ?
Edité le 11-05-2009 à 11:14:41 par Sora
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| Posté le 02-05-2009 à 20:11:08
| Fiche matière français :
Le passé simple
Le passé simple est un temps réservé à la langue écrite.
1. Formation
Le radical du passé simple est le même à toutes les personnes.
-Verbes du premier groupe :
radical + - ai, - as, - a, - âmes, -âtes, - èrent .
Chanter ~> Je chant - ai , tu chant - as , il chant - a , nous chant - âmes , vous chant - âtes , ils chant - èrent .
Attention ! Deux modifications possibles du radical pour les verbes en -cer et en -ger , comme avancer ou plonger .
Avant une terminaison commençant par "a", le "c" devient "ç" et le "g" devient "ge".
Exemple : j'avan ç ai, tu avan ç as, elle avan ç a, nous avan ç âmes, vous avan ç âtes, ...
Je plon ge ai, tu plon ge as, il plon ge a, nous plon ge âmes, vous plon ge âtes, ...
-Verbes du deuxième groupe :
radical + -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent .
Finir ~> Je fin - is , tu fin - is , il fin - it , nous fin - îmes , vous fin - îtes , ils fin - irent .
-Verbes du troisième groupe :
radical + -is, -is, -it, -îmes, -îtes, irent .
Partir ~> Je part - is , tu part - is , il part - it , nous part - îmes , vous part - îtes , ils part - irent .
Voir ~> Je v - is , tu v - is , il v - it , nous v - îmes , vous v - îtes , ils v - irent .
radical + -us, -us, -ut, -ûmes, -ûtes, -urent .
Vouloir ~> Je voul - us , tu voul - us , il voul - ut , nous voul - ûmes , vous voul - ûtes , ils voul - urent .
Courir ~> Je cour - us , tu cour - us , il cour - ut , nous cour - ûmes , vous cour - ûtes , ils cour - urent .
Remarque :
notez les terminaisons des verbes venir , tenir et de leurs composés.
Je vins / je tins.
Tu vins / tu tins.
Il vint / il tint.
Nous vînmes / nous tînmes.
Vous vîntes / vous tîntes.
Ils vinrent / ils tinrent.
2. Emploi
Le passé simple a les mêmes valeurs que le passé composé (fait ponctuel, durée limitée, succession d'évènements), sauf celle de l'antériorité par rapport au présent.
~> Le peintre Matisse naquit en 1869 et mourut en 1954.
Il peignit le célèbre tableau "La Danse" en 1909, il vécut longtemps dans le Midi et il fut l'ami de Picasso.
Dans un récit au passé, le passé simple a les mêmes relations avec l'imparfait que le passé composé. Mais à la différence de celui-ci, qui rattache le fait ou l'action au moment où l'on parle, il le situe dans un passé lointain (sans contact avec le présent). C'est pourquoi on l'emploie dans la littérature (romans, récits, contes pour enfants, biographie, etc.), surtout à la troisième personne.
~> "Comme le frère et la soeur allaient se lever de table, on frappa à la porte.
-Entrez, dit l'évêque.
La porte s'ouvrit . Un groupe étrange et violent apparut sur le seuil. Trois hommes en tenaient un quatrième au collet. Les trois hommes étaient des gendarmes : l'autre était Jean Valjean."
Les Misérables , Victor Hugo.
Remarques :
on peut aussi l'employer dans un contexte présent, il donne alors une dimension historique aux faits.
~> On dit que Mozart composa l'ouverture de Don Juan en une nuit.
~> De nos jours, de nombreux pays utilisent le système métrique qui fut établi sous la Révolution française en 1791.
Edité le 11-05-2009 à 11:49:22 par Sora
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| Posté le 04-05-2009 à 17:58:26
| Mots croisés sur le passé simple
Horizontal :
1.)Servir ~> 1ière personne du pluriel.
2.) Mincir ~> 3ième personne du pluriel.
3.) Tenir ~> 1ière personne du singulier.
4.) Devoir ~> 2ième personne du singulier.
5.) Dormir ~> 3ième personne du pluriel.
6.) Peser ~> 2ième personne du pluriel.
7.) Agir ~> 1ière personne du singulier.
Vertical :
1.) Transporter ~> 2ième personne du pluriel.
2.) Obéir ~> 3ième personne du pluriel.
3.) Manger ~> 1ière personne du singulier.
4.) Créer ~> 3ième personne du pluriel.
5.) Acquérir ~> 3ième personne du singulier.
6.) Aimer ~> 3ième personne du singulier.
7.) Divertir ~> 3ième personne du singulier.
8.) Finir ~> 2ième personne du pluriel.
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| Posté le 04-05-2009 à 18:03:58
| Mots croisés sur les temps
1.) Chercher, imparfait, 1ière personne du pluriel.
2.) Compter, passé simple, 3ième personne du pluriel.
3.) Communiquer, passé simple, 3ième personne du singulier.
4.) Supprimer, futur simple, 3ième personne du singulier.
5.) Aimer, conditionnel présent, 3ième personne du singulier.
6.) Lire, passé simple, 2ième personne du pluriel / Lire, futur simple, 3ième personne du pluriel.
7.) Inventer, imparfait, 2ième personnne du singulier.
8.) Avoir, présent, 3ième personne du singulier / Ecrire, passé simple, 3ième personne du pluriel.
9.) Inventer, passé simple, 2ième personne du singulier.
10.) Quel est le mot caché ? .............................
Comprendre, passé simple, 2ième personne du pluriel.
Edité le 04-05-2009 à 18:09:46 par Sora
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| Posté le 06-05-2009 à 14:53:18
| CORRECTIFS EN DESSOUS
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais (Suite)
étaient amarrés ~> imparfait passif.
avait ~> impft.
fut ~> ps.
étaient tous habillés ~>impft.
vivaient ~>impft.
passa ~>ps.
hissa ~>ps.
toucha ~>ps.
poussa ~>ps.
était ~>impft.
s' appelait ~>impft.
n' avait ~>impft.
eut ~>ps.
était ~>impft.
n' arrivait ~>impft.
était (être) tombée ~>impft.
purent ~>ps.
avait ~>impft.
avançaient ~>impft.
sortaient ~>impft.
commençait ~>impft.
arrivèrent ~>ps.
dormit ~>ps.
avait (avoir) préparée~>plus-que-parfait.
fermait ~>impft.
semblait ~>impft.
continuait ~>impft.
eut ~>ps.
revit ~>ps.
s' endormit ~>ps.
présenta ~>ps.
vivait ~>impft.
avaient (avoir) rendu ~>plus-que-parfait.
passa ~>ps.
donna ~>ps.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
~> Pourquoi un "t" ? Parce que 3ième personne du singulier.
En italique , verbes irréguliers.
Texte : Tonki à la rencontre des enfants Japonais (Suite)
De nombreux navires étaient amarrés (être amarrés) dans le port, il y (verbe impersonnel) avait (avoir) plein de gens et beaucoup de bruit .
Tonki fut (être) bien étonné en voyant que les enfants japonais venus l'accueillir en agitant de petits drapeaux étaient (être) tous habillés. C'est que dans son pays, à cause de la chaleur, les enfants vivaient (vivre) nus toute l'année.
Ce fut toute une affaire pour le débarquer. On lui passa (passer) sous le ventre un filet large comme celui d'un court de tennis et on le hissa (hisser) à l'aide d'une grue. Ce n'est pas tellement dans les habitudes des éléphants de voler dans le ciel; c'est pourquoi quand il toucha (toucher) le quai bétonné du port, Tonki poussa (pousser) un gros soupir de soulagement.
Le gardien du zoo venu le chercher était (être) un jeune homme(attribut,antécédent de qui) qui s' appelait (appeler) Sankichi. Il n' avait (avoir) pas l'air particulièrement aimable, et Tonki eut (avoir) d'abord l'impression de quelqu'un d'assez inquiétant.
En fait, Sankichi était (être) un paysan de la région de Yamagata et il n' arrivait (arriver) pas à s'adapter aux gens de la ville.
La nuit était (être) tombée, Tonki et Sankichi purent (pouvoir) se mettre à marcher en direction du zoo. Dans le Tokyo de cette époque, il y avait (avoir) des rails de tramway (Sujet réel) au milieu de la chaussée. Au fur et à mesure qu' ils avançaient (avancer) sur la voie, tous les gens sortaient (sortir) de chez eux dans un tohu-bohu extraordinaire (et pas seulement les enfants, les grandes personnes aussi).
- C'est l'éléphant ! Il marche !
- Il n'est pas très grand, comment ça se fait ?
- C'est un bébé éléphant.
- Ah bon.
Le ciel commençait (commencer) à s'éclaircir à l'est de Tokyo quand ils arrivèrent (arriver) enfin au zoo de Ueno. Tonki dormit (dormir) pour la première fois dans son enclos sur la paille que Sankichi lui avait (avoir) préparée. Après ces longues journées de bateau, quand il fermait (fermer) les yeux, il lui semblait (sembler) que son corps continuait (continuer) à tanguer. Il eut (avoir) une pensée pour son père et sa mère, revit (revoir) sa verte forêt et le grand fleuve brun, puis, complètement épuisé, il s' endormit (endormir) comme une masse.
Le lendemain matin, Sankichi lui présenta (présenter) John. C'était un éléphant adulte qui vivait (vivre) au zoo de Ueno depuis longtemps. Les longues années de solitude l' avaient (avoir) rendu bourru.
- Salut, te voilà bien arrivé !
Et il passa (passer) sa trompe à travers les barreaux de sa cage et lui donna (donner) deux tapes sur le dos.
- Il aurait mieux valu une jeune éléphante pour tenir compagnie à John... fit remarquer Sankichi à Tamiya, son aide.
De Ren SAITO, Le zoo sans éléphant , 1986, L'Ecole des loisirs.
Edité le 10-05-2009 à 18:28:11 par Sora
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| Posté le 09-05-2009 à 14:26:54
| FAIT
b. J'analyse
Une leçon en Français
1. Environnement / contexte.
1. Cadre spatial :
----------------------
1.1. Disposition bancs:
il y a trois rangées de bancs le long de la classe.
1.2. Disposition bureau:
le bureau se trouve en face de la rangée du milieu.
2. Cadre temporel :
-------------------------
2.1. Durée:
la leçon a duré 50 minutes.
3. Profil de la classe / élèves :
--------------------------------------
3.1. Nombre d'élèves:
Ils étaient au nombre de 23.
3.2. Niveau - préacquis/prérequis:
Ils venaient d'étudier le subjonctif.
3.3. Origines - langue(s) parlée(s):
françaises.
3.4. Âge:
Ils avaient entre 14 et 15 ans.
3.5. Scolarisation:
Oui.
4. Supports :
-----------------
4.1. Oral:
La voix du professeur.
4.2. Visuel:
La feuille avec les deux portraits qu'elle leur avait distribués ainsi que le tableau.
4.3. Ecrit:
Ils devaient remplir le tableau se trouvant sur la feuille distribuée.
5. Référentiels.
--------------------
Le livre "Matilda" de Roald Dahl.
6. Atmosphère de travail.
--------------------------------
Bonne ambiance de travail. Les élèves travaillaient en silence quand le professeur le demandait et ils levaient le doigt quand ils devaient répondre aux questions qu'elle leur posait.
Mise en pratique / oeuvre.
1. Déroulement.
---------------------
1.1. Place de la leçon par rapport à la matière:
C'était une nouvelle leçon qui commençait.
1.2. Objectifs G + S.
A la fin de la leçon, les élèves auront assez de vocabulaire pour produire eux-mêmes leur propre portrait d'une personne.
1.3. Durée de chaque activité:
-5 min.: Après leur avoir distribué la feuille, le professeur a demandé à ce que les élèves lisent les 2 textes individuellement.
-10 min.: Ensuite, ils devaient répondre à la question 1. Elle interrogait les élèves un à un qui relisaient le texte en même temps. Ils parlaient du premier personnage, et puis, du deuxième. Pour que cela soit plus facile, elle a demandé de souligner quelques mots dans les 2 textes.
-15 min.: Après, ils ont dû relire une 2ième fois le texte et remplir les 2 tableaux à l'aide de celui-ci.
- 15 min.:Ensuite, elle demande à un élève de dire ce qu'il a marqué et de donner les renseignements physiques d'abord, puis psychiques.
-5 min.: Enfin, elle leur a distribué 3 nouveaux portraits et ils devront répondre aux questions pour la fois prochaine.
1.4. Rythme :
Il y avait un bon rythme puisque le professeur a su terminer ses 2 exercices d'observation.
1.5. Etapes + consignes :
- Etape 1 :distribuer les feuilles.
Consignes: "Lisez le texte individuellement une fois."
- Etape 2 :réponses à la question 1.
Consignes : "(Nom d'élève),dis-nous ce que tu as marqué pour Mademoiselle Candy. (Nom de l'élève), dis-nous ce que tu as marqué pour Mademoiselle Legourdin."
- Etape 3 : relecture du texte par un élève et on lui demande de dire ce qu'il a mis dans le tableau.
Consignes : "(Nom de l'élève), dis-moi les renseignements physiques que tu as relevés pour Mademoiselle Candy."
Même consigne pour le deuxième, mais, avec le nom de "Mademoiselle Legourdin" à la place du premier.
- Etape 4 : devoir.
Consignes : "Pour la fois prochaine, faites les exercices 3 A et B et revoyez le vocabulaire du portrait."
A. Découverte ( Exemple: tâche problème, contexte, ...):
Ici, il s'agissait de l'étape d'observation.
A partir d'un texte, les élèves devaient être capables de relever les différents renseignements physiques et psychologiques des 2 personnages présentés dans le texte.
B. Structuration - systématisation / entraînement (Leçon, général):
étape absente. Pour le prochain cours.
- Systématisation / Entraînement :
idem.
C. Transfert (Plus : quelle est la méthode à laquelle recourt l'enseignant ?):
Elle a utilisé une des méthodes visant l'inter-structuration (ou incitative) à dominante inductive.
2. Contenus :
-------------------
2.1. Sujet:
Le portrait.
2.2. Place et forme de la langue orale:
Outil de communication.
2.3. Place et forme de la langue écrite:
Quand les élèves devaient marquer les réponses sur leur feuille.
2.4. Conception(s) de la langue:
Langue française vue comme la langue maternelle qui doit être maîtrisée.
3. Méthodologie :
------------------------
3.1. Support : exploitation - gestion:
Elle a utilisé des feuilles volantes dont les 2 extraits font partie du livre "Matilda" de Roald Dahl.
3.2. Hétéro - inter - autoconstruction + pertinence.
L'inter-structuration (ou incitative) citée plus haut car dans une approche incitative de type 2, à dominante inductive, l'induction c'est une opération mentale qui consiste à remonter des faits à la loi, de cas donnés à une proposition générale. Ici, elle a voulu que les élèves découvrent ce qu'était un portrait en relevant les renseignements physiques et psychologiques des 2 personnages décrits.
4. Organisation des tâches :
--------------------------------------
4.1. Travail individuel : même tâche, tâche individualisée + pertinence:
Les élèves devaient lire en silence, puis, l'un d'entre eux était interrogé par le professeur.
Ensuite, ils devaient relire le texte et un autre était interrogé.
C'était donc la plupart du temps un travail individuel.
4.2. Travail en sous-groupes:
Il n'y a pas eu de travail en sous-groupes.
4.3. Travail en plénière (c'est-à-dire toute la classe!):
Lors des corrections, les autres élèves pouvaient intervenir s'ils avaient une autre réponse.
5. Evaluation :
------------------
5.1. Avant:
En interrogeant les élèves un à un.
5.2. Pendant:
même chose.
5.3. Après:
En leur demandant de faire les exercices seuls, à la maison.
5.4. Critères.
De type lexical.
5.5. Forme:
Texte.
Acteurs.
1. Attitudes du professeur :
------------------------------------
1.1. Non - verbal (Posture, gestuelle, déplacements, ...):
Elle restait assise sur son bureau qui se trouve en face de la rangée du milieu. Elle les parcourait du regard losqu'ils lisaient pour les surveiller et voir si tout le monde faisait l'exercice.
Ensuite, quand elle interrogeait, elle lisait sa feuille pour voir si l'élève avait trouvé les mêmes réponses qu'elle.
1.2. Verbal (Ton, langue, niveau, ...):
Son ton était assez haut et son niveau de langue était standard.
1.3. Degré d'intervention (Par rapport à la leçon.):
Elle est intervenue pour leur poser des questions et dire les consignes.
1.4. Degré de fermeté (Par rapport à la gestion de groupe.):
Elle n'a pas eu à intervenir car les élèves ont bien travaillé.
1.5. Renforcements.
Elle posait à nouveau des questions pour voir s'ils avaient compris et leur reposait des questions quand les réponses étaient erronées pour que l'élève explique pourquoi il avait rajouté un mot ou un autre.
1.6. Neutralité:
Elle ne porte aucun signe d'appartenance religieuse et politique.
1.7. Traitement équitable.
Les élèves étaient tous traités équitablement car, même ceux qui ne parlaient pas, elle les interrogeait et s'assurait que chacun suivait la leçon.
1.8. Degré d'adaptation:
Les élèves ont bien suivi la leçon. Elle n'a pas dû recourir à son imagination pour mieux faire comprendre sa matière.
2. Attitude élèves :
------------------------
2.1. Degré d'attention / concentration:
Les élèves étaient très concentrés et attentifs, mis à part certains qui envoyaient des messages avec leur GSM sous le banc. Mais, il y en avait seulement 2,3 parmi les 23 élèves.
2.2. Degré de participation:
Ils n'ont pas tous participé vu que le professeur les interrogeait un à un. Mais, ils n'hésitaient pas à faire part de leur réponse lorsque celles-ci n'étaient pas les mêmes que celles de leurs camarades.
2.3. Non - verbal:
Ils sont resté bien sagement assis sur leur chaise et se déplaçaient parfois pour que l'un ou l'autre prête un matériel qu'ils n'avaient pas.
2.4. Accepter d'être dépassé : plus, moins ?
Même si cette leçon-ci était une nouvelle matière, les élèves ne se sont pas sentis "dépassés".
3. Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
--------------------------------------------------------------------
3.1. Questions - réponses - échanges:
Intervention des questions - réponses pour répondre aux questions.
3.2. Rebondir, exploiter apports élèves:
L'apport était dirigé.
3.3. Susciter la participation:
En les interrogeant un à un.
3.4. Attitude relationnelle:
Le professeur a une bonne relation avec les élèves. Elle a le silence quand elle le demande et les élèves répondent à ses questions posées.
Edité le 10-05-2009 à 18:55:40 par Sora
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| Posté le 09-05-2009 à 14:29:55
| FAIT
b. J'analyse
Une leçon en Français
(J'analyse 2 leçons en français car en français langue étrangère, j'ai assisté à une interrogation.)
1. Environnement / contexte.
1. Cadre spatial :
----------------------
1.1. Disposition bancs:
Il y a trois rangées de banc.
1.2. Disposition bureau:
Le bureau du professeur se trouve en face du premier banc de la rangée du milieu.
2. Cadre temporel :
-------------------------
2.1. Durée:50 minutes.
3. Profil de la classe / élèves :
--------------------------------------
3.1. Nombre d'élèves:15 élèves.
3.2. Niveau - préacquis/prérequis:
Ils sont en train de voir le conte.
Ils ont déjà vu ce qu'était un conte
et le schéma narratif.
3.3. Origines : Belge.
Langue(s) parlée(s): le français.
3.4. Âge:
Entre 12 et 13 ans.
3.5. Scolarisation:
Oui,ils sont scolarisés.
4. Supports :
-----------------
4.1. Oral:
Le professeur qui pose des questions oralement et les élèves qui y répondent.
4.2. Visuel:
Des feuilles volantes et le tableau.
4.3. Ecrit:
Des feuilles volantes.
5. Référentiels.
--------------------
Des feuilles volantes contenant des questions et un conte.
6. Atmosphère de travail.
--------------------------------
Il y a une bonne atmosphère de travail. Malgré leur nombre, les élèves ont travaillé en silence.
Mise en pratique / oeuvre.
1. Déroulement.
---------------------
1.1. Place de la leçon par rapport à la matière:
Ils sont en train de voir le conte.
C'est donc la troisième leçon qu'ils ont sur le conte ,ensuite,
ils étudieront les temps du récit,c'est-à-dire le passé simple et l'imparfait.
1.2. Objectifs G + S.
A la fin de la leçon, les élèves seront capables de reconnaître un conte grâce aux différentes caractéristiques qu'ils auront vues en classe.
1.3. Durée de chaque activité:
-10 minutes : Ils répondent à des questions posées sur la feuille par rapport à un livre qu'ils ont lu. Ils répondent en levant le doigt. Les questions sont dites oralement, rien n'est écrit au tableau.
- 5 minutes :Elle déclare que les réponses qu'ils ont trouvées viennent du schéma actantiel. En-dessous de leurs réponses, ils doivent indiquer qu'il s'agit du schéma actantiel.
- 10 minutes :Ensuite, elle leur distribue une deuxième feuilles où ils doivent compléter les mots du schéma actantiel. Pour cela, elle cite le nom d'un élève, celui-ci lit la définition et ensuite elle dit ce qu'il faut rajouter sur la feuille.
- 10 minutes :Après, elle dessine le schéma avec les mots-clefs au tableau et demande à ce qu'ils le recopient sur la feuille, à l'endroit où elle a laissé délibérément de la place pour le dessin.
- 5 minutes :Elle récapitule ce qu'est un conte, une schéma narratif et un schéma actantiel.
- 10 minutes :Ensuite, elle leur distribue un deuxième texte qu'ils doivent d'abord lire en silence, seuls, puis, répondre aux questions se trouvant en dessous.
1.4. Rythme :
Il y a eu un assez bon rythme de leçon vu qu'elle a terminé les activités qu'elle voulait leur proposer et elle a même dû entamer celle de la prochaine séquence pour terminer l'heure.
1.5. Etapes + consignes :
- Etape 1 : ils répondent aux questions de la feuille.
Consignes : "(Nom de l'élève), qu'as-tu mis à la question n°...?"
- Etape 2 : ils lisent les définitions et rajoutent ce que le professeur marque au tableau.
Consignes : "(Nom de l'élève), veux-tu bien lire la définition de (un mot du schéma actantiel). Ensuite, rajoutez sur votre feuille (Marque au tableau une phrase.)."
- Etape 3 : ils doivent recopier le schéma actantiel au tableau sur leur feuille.
Consignes : " Là où je vous ai laissé de la place, recopiez le schéma actantiel."
- Etape 4 : elle distribue une nouvelle feuille.
Consignes : "Lisez le texte attentivement et en silence, et puis, répondez aux questions."
A. Découverte ( Exemple: tâche problème, contexte, ...):
Elle leur a fait découvrir le schéma actantiel en leur faisant lire un livre pour aujourd'hui et ils devaient répondre à différentes questions sur les personnages et sur la quête.
B. Structuration - systématisation / entraînement (Leçon, général).
Expliciter tout haut en dessinant le schéma au tableau et en notant quelques phrases en plus au tableau pour qu'ils les rajoutent dans leurs définitions.
- Systématisation / Entraînement :
Les faire lire un deuxième texte et leur poser les mêmes questions.
C. Transfert (Plus : quelle est la méthode utilisée par l'enseignant ?):
Elle a utilisé une des méthodes visant l'inter-structuration (ou incitative) à dominante inductive.
2. Contenus :
-------------------
2.1. Sujet:
Le schéma actantiel.
2.2. Place et forme de la langue orale:
Elle utilise la langue orale pour poser les questions et expliquer ensuite les différents termes propres au schéma narratif.
2.3. Place et forme de la langue écrite:
Elle utilise la langue écrite pour répondre aux questions pour qu'il y ait une trace des réponses et pour dessiner le schéma actantiel afin qu'ils aient une aide visuelle.
2.4. Conception(s) de la langue:
Outil de communication.
3. Méthodologie :
------------------------
3.1. Support : exploitation - gestion:
Des feuilles volantes ainsi qu'un livre.
3.2. Hétéro - inter - autoconstruction + pertinence.
L'inter-structuration (ou incitative) citée plus haut car dans une approche incitative de type 2, à dominante inductive, l'induction c'est une opération mentale qui consiste à remonter des faits à la loi, de cas donnés à une proposition générale. Ici, elle a voulu que les élèves découvrent ce qu'était le schéma actantiel en répondant à des questions sur les personnages du livre et sur la quête.
4. Organisation des tâches :
--------------------------------------
4.1. Travail individuel : même tâche, tâche individualisée + pertinence:
Travail individuel quand ils ont dû lire les textes pour eux et répondre aux questions.
4.2. Travail en sous-groupes:
Il n'y a eu aucun travail en sous-groupe.
4.3. Travail en plénière (c'est-à-dire toute la classe!):
Pour faire les corrections.
5. Evaluation :
------------------
5.1. Avant:
En leur posant des questions.
5.2. Pendant:
même chose.
5.3. Après:
En leur demandant d'utiliser tout ce qu'ils viennent d'apprendre
dans un nouveau texte.
5.4. Critères.
De type lexical.
5.5. Forme:
Texte.
Acteurs.
1. Attitudes du professeur :
------------------------------------
1.1. Non - verbal (Posture, gestuelle, déplacements, ...):
Elle se déplace souvent dans la classe, généralement pour vérifier si les élèves notent bien. Elle va écrire les phrases au tableau.
1.2. Verbal (Ton, langue, niveau, ...):
Son ton n'est pas trop élevé, son niveau de langue est standard.
1.3. Degré d'intervention (Par rapport à la leçon.):
Elle intervient beaucoup pour stimuler les élèves, leur poser des questions, les rattraper quand c'est incorrect,...
1.4. Degré de fermeté (Par rapport à la gestion de groupe.):
Elle n'a pas dû être ferme pour cette leçon. Les élèves ont tous bien participé et sont restés calmes.
1.5. Renforcements.
En leur posant des questions.
1.6. Neutralité:
Elle ne porte aucun signe d'appartenance religieuse et politique.
1.7. Traitement équitable.
Les élèves étaient tous traités équitablement car, même ceux qui ne parlaient pas, elle allait les interroger.
1.8. Degré d'adaptation:
Elle a dû faire appel à de l'adaptation quand elle a remarqué qu'elle arrivait au bout de sa séquence. Alors, elle a décidé d'entamer la séquence suivante.
2. Attitude élèves :
------------------------
2.1. Degré d'attention / concentration:
Ils étaient bien attentifs et concentrés.
2.2. Degré de participation:
Ceux qui étaient interrogés ont bien participé et d'autres levaient le doigt s'ils avaient une réponse différente de la leur.
2.3. Non - verbal:
Ils sont habillés correctement et ne se sont pas déplacés dans la classe.
2.4. Accepter d'être dépassé : plus, moins ?
Les élèves acceptaient d'être dépassés et étaient prêts à écouter les nouvelles explications pour comprendre.
3. Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
--------------------------------------------------------------------
3.1. Questions - réponses - échanges:
Très bon, le professeur pose une question et les élèves répondent. Parfois, ils oublient de lever le doigt.
3.2. Rebondir, exploiter apports élèves:
Elle a exploité le livre que les élèves avaient lu.
3.3. Susciter la participation:
En leur posant des questions.
3.4. Attitude relationnelle:
Le professeur a une bonne relation avec les élèves car elle a de l'humour mais elle peut être ferme et autoritaire. Lors de cette leçon, elle n'a pas eu recours à ça parce que les élèves ont bien travaillé en silence et respectaient ceux qui parlaient.
Edité le 10-05-2009 à 19:01:58 par Sora
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| Posté le 13-05-2009 à 11:56:16
| Horaire examen:
Horaire:
18/05/2009 IR SCF (8h15)
20/05/2009 PD SCF (8h15)
20/05/2009 DC SCF (10h15)
25/05/2009 Philo 102 (8h15)
26/05/2009 P rel 102 (8h15)
27/05/2009 FLE 311 (8h15)
28/05/2009 FR 308 (8h15)
29/05/2009 FR 308 (8h15)
30/05/2009 MLF SCF (8h15)
02/06/2009 Morale 231 (8h15)
03/06/2009 ID 311 (8h15)
03/06/2009 PG 311 (10h15)
08/06/2009 FLE o 104
10/06/2009 FR O 111
16/06/2009 mlf o 231
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| Posté le 13-05-2009 à 14:01:30
| Analyse réflexive
Environnement / contexte.
Cadre spatial :
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Pour moi, les bancs devraient pouvoir être déplacés tout le temps.
C'est-à-dire que lorsque le professeur a envie que tous les élèves s'écoutent, il les positionne en U, s'il a envie de faire des travaux de groupes, il les positionne en 4, s'il veut faire une interrogation, il les positionne en rangées.
Par contre, le banc de professeur est généralement au centre ou à gauche des rangées et je ne pense pas qu'il ait une bonne place quelque part. Ce qui importe, c'est que le professeur se déplace suivant les besoins ou prend une position centrale en dominant la classe.
Supports :
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Je trouve cela important d'utiliser les trois supports, surtout si c'est une classe de FLE.
Il est essentiel que les élèves écoutent pour la prononciation, qu'ils aient des feuilles pour se rappeller de ce qu'ils ont vu de la leçon et qu'ils puissent écrire le français.
Référentiels.
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Un professeur se doit de chercher dans de multiples supports comme des magazines ou des journaux, ou encore passer un film et lire un livre pour exploiter les différentes spécificités de chaque genre, écouter une cassette, ...
Atmosphère de travail.
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Il est important qu'il y ait une bonne atmosphère de travail pour bien avancer dans la matière.
Par exemple, l'idéal serait que la classe soit assez grande pour que les élèves ne se sentent pas tous serrés.
Eclairer la classe est primordial pour qu'ils n'écrivent pas dans la pénombre et voient leurs fautes.
Une bonne ambiance de travail se fait dans le silence. Néanmoins, je pense que le professeur peut se relâcher de temps en temps et utiliser son humour pour détendre l'ambiance mais attention que celle-ci ne part pas en vrille.
Ecarter les tentures quand le soleil est là pour laisser place à la lumière naturelle.
Mise en pratique / oeuvre.
Déroulement.
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Il doit y avoir un assez bon rythme de leçon si l'ambiance de travail est installée.
Il est intéressant de commencer par une phase d'observation pour plonger les élèves dans un contexte et ne pas amener directement le sujet de leçon. Ce sont eux qui le trouveront par la suite.
Ensuite, passer à une phase de structuration pour bien montrer à l'élève ce qu'on veut lui apprendre.
Ensuite, déboucher sur une phase de systématisation / d'entraînement, telle que le drill, pour que l'élève acquière la matière.
Et enfin, terminer par une tâche - finale pour savoir si l'élève ou non a acquis sa matière.
Contenus :
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Il est important que le professeur maîtrise sa leçon ainsi que son contenu, sinon, il serait possible qu'il perde son crédit face aux élèves.
Méthodologie :
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Pour moi, toutes les méthodes peuvent s'utiliser, cela dépend du type de leçon. Le mieux serait d'en faire intervenir plusieurs au cours d'une séquence.
Organisation des tâches :
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Le travail individuel est important si on veut que l'élève se débrouille seul.
Le travail en sous-groupe également intéressant à instaurer pour apprendre l'esprit de groupe et la solidarité aux élèves.
Et enfin, il faut faire attention lors des corrections collectives, que tous les élèves participent car certains se reposent sur les autres.
Il faut varier les tâches pour ne pas lasser les élèves et exploiter toutes leurs possibilités.
Evaluation :
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Il est intéressant d'évaluer où en est élève avant,pendant et après la leçon.
Avant, on peut demander aux élèves de dire ce qu'ils ont vu au cours précédent.
Pendant la leçon, le professeur les interroge et les élèves reformulent leurs réponses.
Après, une évaluation formative ou non est nécessaire pour voir si la matière est comprise.
Acteurs.
Attitudes du professeur :
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Il est important que le professeur se balade et prenne tout l'espace pour passer entre les bancs et voir si les élèves travaillent.
Au niveau de la langue, il est important qu'il emploie un français cohérent et riche en vocabulaire, surtout si c'est un professeur de français.
Il doit intervenir pour instaurer le rythme de la leçon, décider quand les activités sont finies ou pas.
Il peut se laisser aller à son humour mais doit néanmoins rester ferme pour ne pas perdre sa crédibilité.
Il doit être neutre et suivre le règlement de son école.
Il doit traiter tous les élèves équitablement : aller chercher ceux qui ne parlent pas et calmer les fortes têtes.
Il doit s'adapter à toute situation, si jamais les élèves ne sont pas aptes à travailler, il les stimule et ou au cas où il aboutit à la fin de la séquence, comme j'ai pu le vivre lors de mon stage d'observation, il doit être prêt à enchaîner de façon naturelle et déjà commencer la séquence suivante.
Attitude élèves :
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Les élèves sont fort différents dans leurs attitudes, d'une classe à l'autre. Cela dépend de chaque groupe constitué et de l'année : les élèves des premières années sont assez disciplinés, obéissants, ils travaillent dans une bonne ambiance et il n'y a pas de tensions entre eux.
La classe des doubleurs, par contre, traîne une mauvaise image, on leur dit souvent qu'ils sont difficiles, ils ne font rien pour changer l'image qu'on a d'eux, au contraire, ils la renforcent en mettant les professeurs à cran par leur manque de motivation et de maturité.
Je trouve ce cercle vicieux fort regrettable et il n'est pas judicieux d'avoir mis tous les doubleurs dans la même classe.
Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
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Il est intéressant que le professeur pose beaucoup de questions pour que les élèves y répondent et non donner un cours magistral. Plus ils participent, mieux ils acquerront la leçon.
On dit toujours qu'il est important d'exploiter ou de rebondir sur ce que savent les élèves. Malheureusement, leurs remarques ne portent pas toujours sur ce qu'on aimerait leur montrer au cours.
Il faut qu'il y ait une bonne relation entre élèves et professeur, bien évidemment. Que chacun se respecte, en instaurant d'abord les règles, punissant si nécessaire et surtout être juste, traiter chacun de la même façon.
Edité le 13-05-2009 à 15:54:01 par Sora
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| | Sora | | Lumière | | Voyageur des Mondes | | | | 12018 messages postés |
| Posté le 13-05-2009 à 16:54:05
| Mes représentations du métier d'enseignant
Avant
L'enseignant est une personne qui est là pour transmettre un savoir. Il doit partager ce savoir avec ses élèves. Il doit apprendre de ses erreurs et aider les élèves quand ils ont un problème par rapport à son cours. Il doit savoir tenir une classe, gérer les perturbateurs, attirer l'attention, faire que son cours soit assez attractif et interactif,jouer la comédie, mimer, ...
Être fier de ses élèves quand ceux-ci ont bien travaillé et non leur en demander plus. Il doit faire en sorte que ses élèves se débrouillent seuls petit à petit.
Tel est le véritable objectif d'un professeur.
Après
L'enseignant doit être une personne très motivée, joyeuse, une espèce de comédien qui aime son métier, imaginative, apaisante mais qui sait se faire respecter quand il donne des consignes. Il doit être juste envers ses élèves.
En effet, les élèves, pour être motivés, doivent avoir quelqu'un de passionné en face d'eux pour qu'ils aient envie de découvrir ou d'échanger leurs idées. Parce que, le véritable problème pour l'instant est la démotivation assez fréquente de leur part.
L'enseignant doit faire attention à eux et tenir compte de leur prérequis pour entamer une leçon. Il ne doit pas se laisser abattre par les élèves dérangeant le cours, doit rester strict, doit être tour à tour, apaisant pour calmer les nerveux et dynamique pour entraîner ceux qui se reposent sur leurs lauriers. C'est souvent le cas lors de corrections collectives et autres activités qui employent ces méthodes.
Il doit être joyeux et sourire aux élèves pour qu'il y ait une bonne ambiance dans la classe et qu'il y ait du plaisir à travailler. S'il y a déjà une bonne ambiance dans la classe, alors, une ambiance de travail peut s'installer.
Il doit aimer son métier, car, par les temps difficiles, il ne doit pas se laisser faire, doit toujours réinstaurer le calme et le silence tout en restant concentré sur la matière.
Il doit savoir improviser quand les élèves ne suivent plus le cours et être prêt à passer d'une séquence à l'autre en cas de nécessité.
Il doit être assez imaginatif pour ne pas que ses leçons deviennent trop monotones à la longue pour les élèves. Il peut également essayer de varier ses activités en fonction des quatre compétences (les quatre compétences étant lire - parler - écrire - écouter ).
Il doit être apaisant pour ne pas trop énerver les élèves ou les rendre trop nerveux et excités.
Sa voix ne doit pas être ni trop criarde ni trop monotone, il doit varier le rythme de son débit sinon, les élèves auront mal à la tête à la fin du cours ou décrocheront de la leçon. De plus, pour un cours de FLE, il est important que celui-ci ait une bonne prononciation pour que les élèves apprennent en répétant.
Et enfin, il doit savoir faire respecter ses consignes, se faire respecter en tant que personne dans la classe et être respectueux d'autrui.
Sa matière, il doit bien la connaître, faire des recherches approfondies à travers les livres, les manuels, internet, les encyclopédies, la comparer avec ses collègues ... Il doit toujours l'avoir bien étudiée avant de donner cours, faire éventuellement une synthèse et penser aux autres questions que les élèves pourront poser pour ne pas se mettre en difficulté.
Sa stratégie doit être assez variée à travers la leçon. Il peut partir des prérequis des élèves, d'une situation-problème pour intéresser les élèves à sa leçon ou faire une mise en contexte quand c'est possible.
Il y aura d'abord une mise en situation, puis, il pourra expliquer la théorie bien clairement en la notant au tableau ou distribuer une feuille aux élèves. Il peut ensuite continuer sa séquence avec des exercices de drill, comme cela, s'il aborde un point de grammaire, ce dernier sera plus vite intégré dans la tête de l'élève. Par la suite, il peut également demander une production de la part des élèves pour que celui-ci emploient ce qu'ils ont appris pendant la leçon et faire fonctionner leur imagination.
Plus tard, il pourra également provoquer quelques débats au cours desquels l'élève devra utiliser un maximum de ce qu'il a appris pour argumenter et défendre son opinion.
Ses documents pour les élèves doivent comporter les objectifs de chaque leçon pour que les élèves comprennent où cela les mènera.
Ses consignes doivent être claires et précises. Par contre, s'il s'agit de rédiger un texte ou une lettre, il est inutile que l'enseignant crée de nouvelles feuilles pour cette activité. Il suffit qu'il demande aux élèves de prendre une feuille, et, s'ils n'en ont pas, il en distribue de son bloc. Il peut également ajouter de petits dessins ou changer de police pour enjoliver ses feuilles. Si jamais il lui prend l'envie de dessiner un tableau, il doit calculer à l'avance combien de colonnes il obtiendra et les centimètres qui les séparent.
La relation entre les élèves et l'enseignant est très importante et doit être concordante. L'enseignant ne peut pas jouer l'ami des élèves mais il ne peut pas être trop distant non plus. Il doit être assez strict pour savoir obtenir le silence en classe pour que tous les élèves comprennent bien les consignes. Il ne doit pas être méchant, mais, juste. Il doit faire attention à ce que tous les élèves participent pendant la leçon, répondre à leurs questions quand ils n'ont pas compris, recentrer ceux qui dérivent du cours et poser des questions pour les remettre sur le bon chemin. Si tout ceci se passe bien, l'enseignant peut être également souriant et plaisanter pour faire rire les élèves et avoir une relation un peu plus proche d'eux.
Il doit aussi être bien attentif pour voir si tous les élèves ne jouent pas avec leur GSM.
Il peut néanmoins confisquer ce genre d'appareil et le rendre à la fin de la leçon pour que l'élève reste attentif.
Sa classe doit être spacieuse pour que les élèves ne se sentent pas en manque d'espace vital, malgré que cela ne soit pas toujours possible.
Elle doit être éclairée pour que les élèves ne notent pas dans la pénombre les choses importantes. Ils peuvent être deux par bancs ou à plusieurs. Si un jour l'enseignant veut faire un débat, il peut toujours déplacer ses bancs en U. Ainsi, les élèves seront sur le même pied d'égalité et ils pourront mieux entendre leurs congénères. Les murs de la classe peuvent être également décorés, ou par les élèves, ou par l'enseignant, par des images ou des textes ayant un rapport direct avec la discipline enseignée. Dans la classe, une armoire comportant des dictionnaires, ou d'autres manuels est également la bienvenue pour un cours de français. L'enseignant ne doit pas oublier non plus d'ouvrir la fenêtre de temps en temps pour aérer la classe.
Son espace : l'enseignant doit être assez présent dans sa classe, passer entre les bancs lors de la réalisation d'exercices et donner des petits commentaires pour montrer qu'il vérifie ce que les élèves écrivent. Il ne doit absolument pas rester derrière son bureau et attendre que les choses se fassent.
Il est important que l'enseignant utilise son tableau pour que les élèves puissent copier et apprendre à bien orthographier les mots. Il peut également noter les erreurs des élèves au tableau pour leur expliquer la faute. Il a aussi la possibilité de faire venir les élèves au tableau pour qu'ils participent, ceci est plus attractif.
Pour récompenser ses élèves du bon travail qu'ils ont fourni, il peut varier et enrichir sa séquence en imaginant de nouvelles activités comme inviter un témoin ou un écrivain par rapport à un sujet de leçon bien précis, ou alors, faire une sortie scolaire en visitant une exposition le matin et les faire participer à une activité de détente l'après-midi. Bien sûr, il faut que ces sorties aient un but didactique et convivial. Ou encore mettre en oeuvre une séquence d'expression orale ou jouer à un jeu qui a un rapport avec le cours.
Edité le 13-05-2009 à 17:11:48 par Sora
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