 | | Entre Lumière et Ténèbres | | Administrateurs : Sora |
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|  Posté le 22-06-2011 à 12:44:19    
| Higashi no Eden
Genre : Science-fiction, Drame
Titres alternatifs :
Eden of the East
東のエデン
Format :
11 épisodes (20 min) + 1 film
Studio : I.G. Prod
Réalisateur : Kenji Kamiyama
Concept original : Kenji Kamiyama
Scénario : Kenji Kamiyama
Concept chara-design : Chika Umino
Chara-design : Satoko Morikawa
Directeur artistique : Yusuke Takeda
Directeur de l'animation : Satoru Nakamura
Directeur CGI : Makoto Endo
Directeur de la photographie : Hiroshi Tanaka
Musique : Kenji Kawai
OP : "Falling Down", Oasis
ED : "Futuristic Imagination", School Food Punishment
Résumé :
En 2010, 10 missiles se sont abattus sur Tokyo. Fort heureusement, et étrangement, aucune victime n’a été à déplorer, tout au plus quelques blesses légers et des gravats. Un an plus tard, personne n’a revendiqué cet attentat et les théories les plus folles courent pour essayer de trouver les raisons de cet acte, aujourd’hui appelée le Lundi Insouciant, et comment il a pu être fomenté.
Momori Saki est une jeune femme prête a rentrer dans la vie active et elle fête la fin de sa vie étudiante avec un voyage sur la cote est des États-Unis avec ses amis. Alors qu’elle s’est éloignée du groupe pour aller voir la Maison Blanche, elle fait la rencontre d’un jeune homme bien étrange qui erre, un pistolet dans la main et un téléphone dans l’autre, complètement nu !
Personnages :
Akira Takizawa
(seiyuu : Ryohei Kimura)
Ce jeune homme insouciant en apparence a perdu la mémoire. Il n’est même pas sur que Akira Takizawa soit son vrai nom. Plus incroyable encore, il semble qu’il se soit lui-même efface la mémoire mais il ignore pourquoi. Quelques indices étranges lui donnent des pistes sur son passé : un téléphone pour le moins spécial, un appartement remplis d’armes et de passeports de nombreuses nationalités, une connaissance cinématographique sans faille. Il en vient à se demander s’il n’est pas un terroriste international.
Saki Morimi
(seiyuu : Saori Hayami)
Cette jeune femme, un peu insouciante elle aussi, s’attache rapidement à Takizawa. Certainement amoureuse de ce mystérieux inconnu, qui ne se rend pas compte des sentiments de Saki, elle veut essayer de l’aider à se rappeler son passé. Takizawa ne lui a cependant pas fait part des ses soupçons d’être un terroriste, probablement pour la protéger.
"Avis personnel :
Higashi no Eden a rapidement attiré mon attention quand j’ai appris qu’il s’agissait du dernier projet en date de Kenji Kamiyama pour le studio I.G Production. Le studio et le réalisateur qui a écrit, a mon sens, les plus belles pages de ce même studio - la série dérivée du film de Mamoru Oshi, Ghost In The Shell Stand Alone Complex, et Seirei no Moribito - n’ont plus rien à prouver. Il était d’ailleurs intéressant de voir comment, après une année 2008 assez pauvre qualitativement pour I.G. – a l’exception notable du film The Sky Crawlers (fiche à venir) – le studio allait redorer son blason avec un atout de ce calibre dans ce manche.
Rajoutez à cela le compositeur Kenji Kawai qu’on ne présente plus et un chara-design signé Chika Umino, auteure de Honey&Clover, le meilleur josei qui m’ait été donne de voir, et globalement un staff expérimenté et talentueux et vous comprendrez les troubles érectiles que peut me donner cette série sur le papier. J’aime autant vous provenir, ne vous attendez pas à une once d’objectivité dans ce qui suivre : j’assume mon fanboysime au cas où je n’aurai pas encore été assez clair.
Je suis en effet loin d’être déçu pour l’instant alors qu’un tiers déjà de la série a été diffusée. Le ton est donné dès l’opening où, en lieu et place d’une J-Pop convenue mille fois entendue, le spectateur est servi par un titre du groupe anglais Oasis mis en valeur par un visuel audacieux et acidulé. Un opening qui n’a d’ailleurs pas été fait au seul choix de l’image mais peut être aussi une énigme quand certaines animations intriguent et se disputent la vedette avec des citations du théâtre shakespearien. Le reste de la bande sonore n’a pourtant pas a rougir avec des thèmes variés et bien intégré jusqu’à l’ending enlevé et au visuel a l’originalité affirmée dans la droite ligne des openings (tiens tiens) de Honey&Clover.
La réalisation technique n’est pas en reste. Si on peut regretter l’absence (pour l’instant) d’action dynamique pour jauger pleinement de la qualité de l’animation, le travail sur les décors, impressionnants de réalisme, suffit à rassurer. J’avais trouvé très pertinent le chara-design rond de Honey&Clover dans les décors pastels et dans une série au ton résolument adulte mais la patte d’Umino est tout aussi pertinente pour Higashi no Eden et ses décors en photo-réalisme et son atmosphère brumeuse.
Si ces premiers éléments sont rassurants, on restera attentif sur la construction du scénario. Un garçon amnésique, une organisation secrète…. il serait euphémiste de dire qu’il nous semble avoir lu ça quelque part. Comment bâtir une histoire originale ou à tout le moins intéressante pour le spectateur sur des bases aussi éculées ? Le tour de force est pourtant sur le point d’être réalisé. Là où la saga cinématographique Jason Bourne ou la bande dessinée XIII font le choix d’une action survoltée, Higashi no Eden joue lui plutôt sur un rythme bien plus posé plus proche d’un film policier que d’un film d’action. Le rythme mérite d’ailleurs toutes les louanges et on peut ici sentir l’expérience et le talent de Kenji Kamiyama : construction de la relation du "couple" et construction de l’intrigue, les engrenages sont bien ajustés.
N’ayons pas peur des mots : Higashi no Eden est en train de faire la démonstration que la perfection n’est pas qu’un idéal inatteignable. Les attentes sont himalayennes et les fans dénonceront la moindre menace de faux pas. Une seule ombre figure au tableau : la série TV ne fera que 11 épisodes et se conclura par un film prévu cet été au Japon et donc disponible au mieux 6 mois plus tard pour nous miséreux occidentaux. Quand on voit la densité de l’histoire, il est probable que la série télévisée se termine sur un final sans réponse et qu’il faudra alors attendre plusieurs mois pour nous délivrer d’un suspense insoutenable. Cela pourrait briser la dynamique de la série ou faire la fortune des marchands de méthodes anti-stress."
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| Posté le 22-06-2011 à 12:47:19
| Epi pref:la danse du cygne noir,épi 7.
Perso pref:le NEET.
Michael or Belial
Artist: Saori Hayami
Edité le 24-06-2011 à 21:19:01 par Sora
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| Posté le 24-06-2011 à 20:41:22
| La chanson de la fin:
Reveal the World
Brenda Vaughn
I saw you in heaven
and heard of your glory
You saved our world from the fallen angels
I saw Messiah standing
Standing before me with no words
Nothing but "Hope"
When we lost dread, a Demon was laughing
But now you are showing us wonder
Giving your love
With awe, down on my knees again
I've got to know you're the one,
The only one reveals the world
The King has come!
To lignten up our feet
The King has come!
With justice till the end
The King has come!
To save us from the dark
Who could ever doubt? We have faith
Let me walk with you when I'm lost in the wild
I know you always lead me to another Eden
Let me bless your name, O Lord
Your words will never fade away
Since we believe you're the light on earth
Reveals the world
The time has come!
To lighten up our deed
The time has come!
With glory till the end
The time has come!
To lighten up our deed
The time has come!
With glory till the end
The time has come!
To awaken my soul
Who could ever fear? We have faith
Let me walk with you when I'm lost in the wild
I know you always lead me to another Eden
Let me bless your name, O Lord
Your words will never fade away
Since we believe you're the one
The only one reveals the world
Oh yes, you're the light on earth
Reveals the world
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| Posté le 27-08-2015 à 14:58:27
| Ground zero
Ground zero (point zéro) est un terme anglais utilisé pour indiquer l'endroit précis sur le sol où a lieu n'importe quelle explosion.
-Ce terme fut utilisé initialement, lors du 1er essai (Nom de code : Trinity) d'une bombe atomique au Nouveau-Mexique, le 16 juillet 1945. Il désigna alors le point à partir duquel se mesurait le rayonnement radioactif libéré par l'explosion.
-Cette expression est souvent associée aux explosions nucléaires, mais elle est aussi utilisée pour déterminer l'emplacement de l'épicentre d'un tremblement de terre, une épidémie et tout autre désastre faisant beaucoup de dégâts. Les dommages occasionnés décroissent depuis ce point.
-Ce terme peut aussi être utilisé pour situer l'endroit où explose une bombe, soit au point d'impact dans le cas où celle-ci explose au sol, où à la verticale de celui-ci dans le cas d'une explosion atomique (voir bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki).
-Ce nom désigne la cour centrale du bâtiment du Pentagone, car elle était susceptible d'être la cible prioritaire d'un éventuel bombardement nucléaire ennemi.
-Il a également été utilisé à partir des attentats du 11 septembre 2001 pour désigner l'ancien emplacement du World Trade Center à New York.
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