Entre Lumière et Ténèbres
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 AFP avril 2009

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Sora
Lumière
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Sora
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   Posté le 23-03-2009 à 15:44:59   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

AFP avril 2009:

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   Posté le 23-03-2009 à 15:52:08   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
1/10/08

AFP : introduction

Rendez-vous :
1 NS - FLE : IEPSCF d'Uccle. Lundi 6/10. 8h30~>12h05.
--------------
E.P.S.C.F. - Uccle.
95 rue Gatti de Gamont - 1180 Uccle.
~> Rendez-vous à 8h10 devant l'E.P.S.C.F. débriefing : 15h30.

1 NS - FLE : 9/10 théâtre. Les monologues voilés au théâtre de poche (Bois de la Cambre.).
Deux groupes : un à 8h00 et l'autre à 9h50.
Ecole Decroly Avenue Hamoir n°5 (pas la drève des gendarmes.).
~> Rendez-vous à 7h45 Decroly 15h30.

clorant@heb.be ou celine.lorant@swing.be

Mercredi : théâtre.
Jeudi : débrifing.

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Sora
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   Posté le 23-03-2009 à 16:14:38   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
6/11/08

AFP : observation critériée

Grille

1. Environnement / contexte.
1. Cadre spatial :
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1.1. Disposition bancs.
1.2. Disposition bureau.

2. Cadre temporel :
-------------------------
2.1. Durée.

3. Profil de la classe / élèves :
--------------------------------------
3.1. Nombre d'élèves.
3.2. Niveau - préacquis/prérequis.
3.3. Origines - langue(s) parlée(s).
3.4. Âge.
3.5. Scolarisation.

4. Supports :
-----------------
4.1. Oral.
4.2. Visuel.
4.3. Ecrit.

5. Référentiels.
--------------------

6. Atmosphère de travail.
--------------------------------



Mise en pratique / oeuvre.
1. Déroulement.
---------------------
1.1. Place de la leçon par rapport à la matière.
1.2. Objectifs G + S.
1.3. Durée de chaque activité.
1.4. Rythme.
1.5. Etapes + consignes :
A. Découverte ( Exemple: tâche problème, contexte, ...).
B. Structuration - systématisation / entraînement (Leçon, général).
C. Transfert (Plus : quelle est la méthode à laquelle fait usage l'enseignant ?).


2. Contenus :
-------------------
2.1. Sujet.
2.2. Place et forme de la langue orale.
2.3. Place et forme de la langue écrite.
2.4. Conception(s) de la langue.


3. Méthodologie :
------------------------
3.1. Support : exploitation - gestion.
3.2. Hétéro - inter - autoconstruction + pertinence.


4. Organisation des tâches :
--------------------------------------
4.1. Travail individuel : même tâche, tâche individualisée + pertinence.
4.2. Travail en sous-groupes.
4.3. Travail en plénière (c'est-à-dire toute la classe!).


5. Evaluation :
------------------
5.1. Avant.
5.2. Pendant.
5.3. Après.
5.4. Critères.
5.5. Forme




Acteurs.
1. Attitudes du professeur :
------------------------------------
1.1. Non - verbal (Posture, gestuelle, déplacements, ...).
1.2. Verbal (Ton, langue, niveau, ...).
1.3. Degré d'intervention (Par rapport à la leçon.).
1.4. Degré de fermeté (Par rapport à la gestion de groupe.).
1.5. Renforcements.
1.6. Neutralité.
1.7. Traitement équitable.
1.8. Degré d'adaptation.

2. Attitude élève :
------------------------
2.1. Degré d'attention / concentration.
2.2. Degré de participation.
2.3. Non - verbal.
2.4. Accepter d'être dépassé : plus, moins ?


3. Interactions professeur / élèves; élèves / élèves :
--------------------------------------------------------------------
3.1. Questions - réponses - échanges.
3.2. Rebondir, exploiter apports élèves.
3.3. Susciter la participation.
3.4. Attitude relationnelle.

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Sora
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   Posté le 26-03-2009 à 15:01:56   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
13/11/08


AFP : méthodologie

Le laçage de chaussure (vue d'ensemble, pas la finale)

Objet / Titre de la leçon.
Public : âge, classe / options / année, nombre.
Durée : ... X 50.
Pré requis : pour les élèves.
Matériel : élèves, professeur.
Objectifs : où on va : programme ( Référence : page, titre, sous-titre, ...), évaluer : taxonomies ( Page, compétence, sous-numéro, ...).
Compétences : socles.
Méthodologie * : étapes + contenu + timing : technique - méthodes, qui fait quoi, consignes - questions + hypothèses de réponse.
Fiche matière = savoir savant.
Bibilographie.
Disposition spatiale.
Programme : avant / après.
Evaluation : formuler les exercices par rapport aux taxonomies.

* : Tâche - problème.
Application / correction.
Structuration / synthèse.
Transfert.
Information.


Le laçage de chaussure (reprise)

Titre : apprendre à lacer ses chaussures. Se mettre en situation d'apprentissage des laçages de chaussures.
Discipline enseignée : éveil.
Niveau public cible : 3ième maternelle, 4 - 5 ans, 20.
Durée : 15 minutes.
Situation :
Compétences : / .
Objectifs opérationnels : à la fin de la leçon, les élèves seront capables de nouer leurs lacets seuls en moins d'une minute.
~> Produit / contenu, critère de réussite par la suite.

[...] l'élève sera capable de lacer ses chaussures de différentes façons.
~> D'une façon parmi celles proposées.

[...] l'élève sera capable de se mettre dans la peau d'un élève apprenant à lacer ses chaussures.
~> De jouer le rôle / d'expliquer la difficulté ressentie quand il s'est mis dans la peau d'un élève laçant ses chaussures.

Pré requis : connaître la gauche et la droite, savoir ce qu'est un noeud.
/!\ Définition : savoir, savoir - faire : comment faire un noeud.
Est capable de nouer une écharpe, faire un noeud simple.

Exemples de titre :
histoire : l'histoire du laçage de chaussure.
Etudiants en morale : à quoi sert la chaussure ?!?
Etudiants en géographie : comment on lace les chaussures dans les autres pays.

Méthodologie : consignes + questions.
En forme de phrases et entre guillemets.

Le laçage de chaussure (Suite)

Matériel : les chaussures.
Fiche matière professeur : historique de la chaussure.
Références bibliographiques : manière de prendre note des sources. Ici, peut être un livre, ...
Disposition spatiale :















Méthodologie :
pas les verbes "tenter, essayer" dans les consignes.
Introduction - structuration ( Information - synthèse - transfert)
Pas de "on, je" ou "le professeur" !
/!\ Adapter son vocabulaire !!! On parle différemment d'un public à l'aure.
Evaluation : demander l'objectif et choisissez la méthode qui vous convient le mieux.


Edité le 26-03-2009 à 15:14:46 par Sora




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   Posté le 26-03-2009 à 15:41:05   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
22/01/09


AFP : mise en forme électronique

Site ~> www.defré.be:82
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NS ~> AFP, 1ière année, Eric Robette.
Idée de préparation de leçon. La plate -forme de Defré.


Avec l'ordinateur :
Démarrer ~> Poste de travail ~> Réseaux ~> 1 NS ~> Robette 2008 - 2009 ~> AFP ~> FLE ~> Kay Larissa.



Table des matières :
----------------------------
Entre la page de garde et le document lui-même.
Cliquer sur le chapitre, onglet références ~> Ajouter le texte ~> Niveau 1.
/!\ Pas tapper numéro nous-même, sinon, on doit tout numéroter !!!


Numérotation :
--------------------
Accueil ~> Petites lignes ~> Bibliothèque de liste, 6ième.


Table des matières 2 :
-----------------------------
Fin de ligne de texte, 1ière page, passer une ligne ou deux, écrire titre.
Références ~> Table des matières ~> Insérer une table des matières ~> Général ~> Format ~> Officiel.

Tableau en paysage où tout est en portrait :
----------------------------------------------------------
CTRL enfoncé, on voit une main : lien hypertexte.
On clique dessus et on est réenvoyé au chapitre.

Tableau :
--------------
Insertion ~> Tableau ~> Insérer tableau.

Paysage :
--------------
Sélection ~> Mise en page ~> Texte sélectionné ~> Paysage ~> Orientation.

Convertir en PDF :
-------------------------
Offices ~> Imprimer ~> PDF Creator ~> Enregistrer.

Note de base de page :
--------------------------------
Fin du mot auquel on veut ajouter l'anotation ~> Références ~> Insérer une note de bas de page.

En - tête :
-------------
Insertion ~> En - tête.


YouTube :
--------------
YouTube ~> Changer "YouTube" par "Voobys" ~> Download ~> Enregistrer ~> Bureau.

Dailymotion :
------------------
Installer deux choses : Mozilla Firefox et Downloadhelper télécharger.

Des bulles apparaissent lorsqu'un film passe.
Nom du film ~> Clique ~> Enregistrer ~> Sur le bureau.


Edité le 26-03-2009 à 16:11:45 par Sora




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   Posté le 26-03-2009 à 16:45:19   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
12/02/09

AFP : débriefing prépa écrite

Jeudi ~> Drève des gendarmes, 45. Rendez-vous à 8h30.

Deux objectifs : ~> social : l'écoute de l'autre, négociations pour se mettre d'accord sur la pièce.
~> Expression.

Rôle de l'enseignant : courtoisie totale. Elaborer le scénario.
Puis, c'est au professeur de français d'écrire les dialogues, l'histoire, les différentes scènes.
Une semaine avant la pièce : les élèves n'ont plus cours et ne viennent que pour la pièce.
Tout le monde joue sauf les élèves de 6ième secondaire car ils sont en stage d'entreprise.
Les élèves jouent pendant trois jours.
Les petits jouent dans leur classe, sinon, tous les autres jouent dans la salle de gymnastique et la petite place de théâtre.
Chacun va voir la pièce de l'autre vu qu'ils n'ont pas cours.
Les parents n'assistent pas aux pièces car ceci est un travail pédagogique de l'école.
Ils prennent beaucoup des pièces qu'ils ont vu au théâtre et qu'ils ont apprécié. Parfois, ils prennent même des textes qui existent déjà et les transforment.

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Sora
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Sora
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   Posté le 28-03-2009 à 11:37:30   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
16/10/08


AFP : film "Entre les murs"

Ce que j'ai aimé :
Le 16 octobre 2008, nous sommes allés voir un film français qui parlait du problème de l'enseignement dans les banlieues avec des classes dites "difficiles".
Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce film, c'est le protagoniste, dit le professeur, qui, malgré les difficultés, ne recule devant rien pour comprendre sa classe et essayer de les aider.
Malheureusement, ce n'est pas facile tous les jours et on peut parfois en avoir marre de ce quotidien.
Malgré que les élèves se trouvent au cours de français et que ce cours-ci est censé être le plus "facile" pour ce genre de niveau, le professeur remarque qu'ils ont beaucoup de lacunes et qu'ils ne savent pas s'exprimer correctement en français. Voilà pourquoi, dans la cours de récréation, ils se mettent souvent à se battre entre eux car ils ne savent communiquer qu'avec de la violence.
Voyant qu'ils ne sont pas attentifs à cause de ce manque, il va les faire s'exprimer, et, parfois, toucher ce qui leur tient à coeur.
Rires et pleurs sont au rendez-vous, mais, il ne baisse jamais les bras.
Ce que j'ai aussi apprécié dans le film, c'est qu'à la fin, un élève perturbant la classe est enfin renvoyé, et, la dernière scène que l'on voit sont les professeurs et les élèves disputant un match de foot. Comme quoi, une fois la mauvaise tension partie, tout repart à zéro et dans le meilleur des mondes.



Ce que je n'ai pas aimé :
Ce sont les professeurs, qui, lors de leurs réunions, au lieu d'aider les élèves et de les comprendre, comme le fait le protagoniste, au contraire, ils s'amusent à les descendre pendant ce temps impartiel, et, trouvent, non pas une solution pour aider l'élève, mais bien une solution qui leur arrange tous pour eux.
Une autre chose que je n'ai pas apprécié, mais, je ne resterai pas longtemps sur le sujet, car, cela, apparemment, ne se fait qu'en France, c'est que lors de la réunion de classe, deux élèves sont présentes : les représentants de la classe, c'est-à-dire, les délégués.
Avant de commencer, elles doivent jurer de ne rien répéter au-delà de ces murs. Déjà, pendant la réunion, je ne vois pas comment les professeurs ont réussi à se concentrer en entendandt rires et chuchotteries de leur part.
Par la suite, et comme tout le monde s'en doutait, je le suppose, une fois retournées en classe, elles ont tout divulgué de la réunion. Du coup, les élèves, au lieu que ces remarques les aident à évaluer, elles les ont touché et ils se sont sentis moins forts et de moins en moins motivés par la suite.
La dernière chose que je relèverai, et, que je n'ai pas aimé, c'est justement tout le déroulement de la fin.
Je suis d'accord sur le point qu'il faut mettre une sanction à un élève perturbant sans cesse la classe pour le bien des professeurs et des élèves. Mais, faut-il en aboutir à un renvoie définitif ?
Déjà, lors de la réunion des parents, comme ce sont des émigrés, sa mère ne comprenait pas un traitre mot de français. Son fils a alors traduit. Qui est certain qu'il a relevé toute la vérité, et rien que la vérité ? Et, inversément, qui est certain que ce que la mère leur a répondu de sa bouche est correcte aussi ?
Ce genre de famille devrait être interrogée dans un autre milieu et avec au moins un interprête pour les parents.
Ensuite, finalement, à quoi cela va-t-il aider le gamin s'il est renvoyé ?
Il sera de plus descendu dans sa famille, n'ayant pas fini l'école alors qu'il en avait la chance, la risé de la famille, ou il retournera dans son pays où les conditions sont très mauvaises et ne pourront pas l'épanouir.
Je suis d'accord sur le fait qu'on ne peut pas tolérer laisser ce genre d'enfant qui ne comprend plus rien à la vie, mais, le fait de le renvoyer a-t-il le remettre dans le droit chemin ?
Je pense que ces enfants devraient au moins être suivis par la suite, pas spécialement par l'école, mais, je ne tolère pas laisser un enfant qui a des problèmes, seul, dans la nature, n'attendant que de lui une rébellion ou un problème plus grave encore dans l'avenir.


Correction :

Kay
Larissa
1 NS - FLE
16/10/08


AFP : film "Entre les murs"


Ce que j'ai aimé :
Le 16 octobre 2008, nous sommes allés voir un film français qui traitait du problème de l'enseignement dans les banlieues avec des classes dites "difficiles".
Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce film, c'est le protagoniste, dit le professeur, qui, malgré les difficultés, ne recule devant rien pour comprendre sa classe et essayer de les aider.
Malheureusement, ce n'est pas facile tous les jours et on peut parfois en avoir marre de ce quotidien.
Malgré que les élèves se trouvent au cours de français et que ce cours-ci est censé être le plus "facile" pour ce genre de niveau, le professeur remarque qu'ils ont beaucoup de lacunes et qu'ils ne savent pas s'exprimer correctement en français. Voilà pourquoi, dans la cours de récréation, ils se mettent souvent à se battre entre eux car ils ne savent communiquer qu'avec de la violence.
Voyant qu'ils ne sont pas attentifs à cause de ce manque, il va les faire s'exprimer, et, parfois, toucher ce qui leur tient à coeur.
Rires et pleurs sont au rendez-vous, mais, le professeur ne baisse jamais les bras.
Ce que j'ai aussi apprécié dans le film, c'est qu'à la fin, un élève perturbant la classe est enfin renvoyé, et, le film se termine sur un match de football entre les professeurs et les élèves, tout ça dans une bonne ambiance. Comme quoi, une fois la mauvaise tension aplanie, tout repart à zéro et la communication entre les intervenants est meilleure.



Ce que je n'ai pas aimé :
Ce sont les professeurs, qui, lors de leurs réunions, au lieu d'aider les élèves et de les comprendre, comme le fait le protagoniste, s'amusent à les critiquer sans trouver une solution destinée à améliorer la situation.
Une autre chose que je n'ai pas appréciée, mais, je ne resterai pas longtemps sur le sujet, car, cela, apparemment, ne se fait qu'en France, c'est que lors de la réunion de classe, deux élèves sont présentes : les représentantes de la classe, c'est-à-dire, les déléguées.
Avant de commencer, elles doivent jurer de ne rien répéter au-delà de ces murs. Déjà, pendant la réunion, je ne vois pas comment les professeurs ont réussi à se concentrer en entendant rires et chuchotements de leur part.
Par la suite, et comme tout le monde s'en doutait je le suppose, une fois retournées en classe, elles ont tout divulgué de la réunion. Par conséquent, les élèves ont été touchés par les remarques, ils se sont sentis moins forts et de moins en moins motivés par après alors que cela aurait pu les aider à améliorer leur comportement et leur résultat.
La dernière chose que je n'ai pas aimée, c'est justement tout le déroulement de la fin.
Je suis d'accord sur le point qu'il faut appliquer une sanction à un élève perturbant sans cesse la classe pour le bien des professeurs et des élèves. Mais, faut-il aboutir à un renvoi définitif ?
Déjà, lors de la réunion des parents, comme ce sont des émigrés, sa mère ne comprenait pas un traitre mot de français. Son fils a alors traduit. Qui est certain qu'il a relevé toute la vérité, et rien que la vérité ? Et, inversement, qui est certain que ce qu’a vraiment dit la mère dans ses réponses était correct ?
Ce genre de famille devrait être interrogée dans un autre milieu et avec au moins un interprète pour les parents.
Ensuite, finalement, en quoi cela va-t-il aider le gamin s'il est renvoyé ?
Il sera de plus en plus critiqué par sa famille, n'ayant pas fini l'école alors qu'il en avait la possibilité, ou il retournera dans son pays où les conditions sont très mauvaises et ne pourront pas l'épanouir.
Je suis d'accord avec le fait qu'on ne peut pas tolérer un tel comportement qui perturbe l’ensemble de la classe, mais, le fait de le renvoyer reste un échec pédagogique.
Je pense que ces enfants devraient au moins être suivis par la suite, pas spécialement par l'école mais plutôt par une association composée de gens compétents qui essaieront de le remotiver et de réfléchir avec lui à une attitude plus adéquate. Par contre je ne laisserais pas un enfant qui a des problèmes, seul, dans la nature, prêt à se rebeller ou à s’exposer à un problème encore plus grave.


Edité le 29-03-2009 à 17:46:05 par Sora




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Sora
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Voyageur des Mondes
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   Posté le 28-03-2009 à 12:26:54   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
Larissa
1 NS - FLE
04/02/09

AFP : conférence : témoignages.



"Un mineur en danger s'autodétruit tout seul. Un mineur délinquant touche des gens "dans leur trippe"."
Jean-François, invité à Defré dans le cadre d'une "conférence témoignages" avec son confrère Jean-Marc, a déclaré cette phrase lors de son tour de parole.
Il est bien connu qu'un mineur en danger s'autodétruit tout seul : s'il n'a pas confiance en ses amis ou en sa famille, il ne leur dira rien. Il va peut-être toucher à la cigarette ou à la drogue pour essayer de donner une nouvelle expérience qui pourra soit lui apprendre quelque chose ou soit, essaye-t-il de se détruire tout seul.
Ne se faisant aidé par personne parce qu'il ne veut pas avouer son mal-être à ses proches, il va donc se retirer seul, et, ne rien dire, pour finalement peut-être aboutir à un suicide...
Mais, ce n'est pas le même cas pour les mineurs délinquants, dit ceux qui ne vont plus à l'école parce qu'elle ne leur apporte plus rien ou qu'ils ne savent plus suivre les cours donnés.
Pour analyser ce fait, Jean-François a pris comme exemple les "tueurs" de Joe Vanhosbeek.
C'étaient deux polonais qui fréquentaient des écoles à Bruxelles. Malheureusement, malgré leurs quelques années habitant en Belgique, ces deux adolscents ne parlaient toujours pas le français. Donc, pendant les heures de cours, ils restaient au fond de la classe, et, ne comprenant à peine les mots, ils n'étaient pas actifs au cours, mais, plutôt "subissaient" le cours.
Vers l'âge de 14 - 15 ans, la même chose se reproduisit.
Vers 17 - 18 ans, malheureusement, rien n'a changé, et, les voici maintenant à brosser en traînant dans la rue. Puis, dans l'extrème,et, ne sachant plus quoi faire, ils vont à la gare centrale où se produit le drame...
Qui est le fautif là-dedans ?
Il est vrai que, que ce soit des adolescents ou bien des adultes, nous n'avons pas à faire ce genre d'acte. Il est puni par la loi, et, c'est inhumain.
Mais, concernant les deux polonais, au fond, "ont-ils eu vraiment le choix" ? Imaginez que vous ne parlez pas la langue du pays dans lequel vous vivez depuis que vous y êtes. Pas de maîtrise de la langue, pas de communication avec les gens du pays. Pas de communication avec les gens du pays, pas de place dans celui-ci.
Attention, je tiens à souligner que je ne suis pas du tout d'accord avec l'acte qu'ils ont fait et je ne suis pas en train de dire que c'est "notre" faute si les deux polonais ont finalement tué ce jeune homme pour un simple MP3. Mais, j'essaie de vous faire comprendre qu'un jeune, s'il ne va plus à l'école et que personne aide, qui l'aide finalement ? Comment le remettre dans le droit chemin ? Et pour la société et pour son propre intérêt ?
Jean-François revient sur le sujet en ajustant que pouvoir rencontrer des jeunes pour les accompagner, trouver leur potentiel, les encourager pourraient éviter ce genre de problème à l'avenir. Nous devons créer une nouvelle société qui se baserait sur ce besoin des jeunes à prouver qu'ils sont quelqu'un, à élir des gens ou créer de nouveaux métiers pour les ramener dans le droit chemin.
Comme le dit sa citation, Un mineur délinquant touche des gens "dans leur trippe".
Si nous ne voulons pas que cela se reproduise, aidons ces jeunes à montrer qui ils sont et que la société les accepte malgré leurs "handicaps".


"Walibi n'est pas bon ! C'est inciter à la consommation. C'est mieux que les élèves créent eux-mêmes..."
Voici une nouvelle phrase de Jean-François. "Walibi n'est pas bon ! C'est inciter à la consommation. C'est mieux que les élèves créent eux-mêmes..."
Pour ce débat, Jean-François nous présentait d'abord où il avait fait ses tous premiers stages. Il en a fait beaucoup au sein d'écoles dites "difficiles". Là, il fut touché par des jeunes qui lui déclaraient en face : "Ma vie est terminée, je suis en professionnel." D'autres encore essayaient de se rendre utiles : un jour, un autre élève lui a dit qu'il viendrait le lendemain avec son tournevis pour remettre en ordre les fils électriques. Et, il avait en tête de refaire toute l'école à lui tout seul voyant ce bâtiment qui se dégradait au fil des années. Le projet n'a malheureusement pas été accepté.
Que retirer de cette leçon ?
Jean - François l'a bien dit, il ne faut jamais prendre les élèves pour des "cons". S'ils ne sont pas motivés pour aller à l'école tout simplement parce qu'ils ont des lacunes ou autres, c'est aux professeurs de leur apporter l'encouragement et l'envie nécessaire d'apprendre pour continuer dans la vie.
Et, quand un élève décide enfin de sortir de sa "coquille" pour aider l'école, pourquoi ne pas justement accepter l'idée au lieu de le remettre à la case départ ? Je pense que cette école aurait du accepter le projet. Pourquoi ? Déjà, il faut du temps pour que la motivation vienne d'elle-même pour ces enfants. De plus, celle-ci venant d'eux, pourquoi ne pas accepter si c'est en vue de restaurer un peu l'école qui se dégrade ? Leur donner une réponse négative et leur faire retourner au cours qu'ils n'écouteront quand même pas déçus ou bien découragés est une occasion manquée d'avoir fait quelque chose de bien pour eux et pour l'école. On m'a toujours appris qu'il fallait justement saisir ce moment où les élèves ont l'envie d'apprendre et le développer pour répondre à leur besoin et peut-être essayer de placer un sujet de leçon entre temps. Ces jeunes en demandent, seulement, comme ils sont considérés comme des "professionnels" et qu'ils savent bien que ce statut n'égale pas celui des latinistes, leur motivation s'évapore, et, je pense qu'ils sont plutôt inquiets pour leur avenir et ce que vont en penser les parents.
Enfin, si jamais ils fournissent du travail, pour les récompenser, Jean - Marc déclare qu'un "Walibi" ne leur rapportera rien. En effet, un parc d'attractions "ne vient pas d'eux". Il a été créé pour divertir les jeunes, ils doivent y aller, payer, et, peut-être que ce sera leur toute dernière fois avec l'école, car, plutart, si la famille n'a pas beaucoup de revenus, ils ne pourront pas retourner une nouvelle fois. Sur ce propos, je suis d'accord avec Jean - Marc et Jean - François : laissons l'épanouissement de soi et l'imagination de l'enfant comme récompense, ne leur emmenons pas dans des parcs qui pourraient inciter à la consommation car c'est justement ce que ces deux témoins veulent démontrer : un enfant sera heureux une fois s'il va dans un parc d'attraction, mais, un enfant sera heureux toute sa vie s'il sait qu'il peut produire quelque chose venant de soi, et, la donner aux autres également. Ceci est toute la richesse de l'humanité.


"L'école de la vie"
Ceci est la dernière interaction qui m'a interpellé.
C'est en terminant son histoire avec les jeunes délinquants qui avaient l'envie de refaire les fils électriques et les murs de l'école que Jean - François a terminé en déclarant qu'il devrait exister une école de vie.
Dans cette école sont rassemblés des jeunes qui n'ont rien à faire ensemble mais qui seront obligés de s'entendre afin de réaliser des travaux. Et, c'est au fur et à mesure qu'ils apprendront à se connaître car l'école est un lieu de rencontres et de brassage. Le but du professeur étant de leur montrer qu'ils sont complémentaires.
J'ai beaucoup apprécié cette idée car je fus ravie, qu'à la fin de la conférence, quelqu'un trouve enfin une solution. Elle n'est pas si compliquée et elle prend en compte les élèves et l'environnement social.
Je pense qu'il faudrait instaurer ce type "de classe" ou créer ce genre d'écoles, qui seraient dirigée soit par des éducateurs, soit par des professeurs, en but de remettre le délinquant dans le droit chemin. En faisant ceci, ils ne sont pas confrontés à des adultes, mais, à des jeunes de leur âge avec lesquels ils devront s'entendre, apprendre à se connaître et avoir des limites pour "vivre" avec eux et ainsi développer un certain potentiel avec une autre personne qu'ils ne connaissent pas en vue de réaliser un projet. Il y aura de la motivation ainsi que de l'entre-aide. Des jeunes, ensemble, qui se soucieraient moins de leur faiblesse, supervisés par des éducateurs.
Des jeunes qui apprendraient la vie autrement, et, qui, peut-être par la suite, trouveront qui ils sont réellement et enfin un sens à leur vie.





Correction

Kay
Larissa
1 NS - FLE
04/02/09



AFP : conférence : témoignages.


"Un mineur en danger s'autodétruit tout seul. Un mineur délinquant touche des gens "dans leurs tripes"."
Jean-François, invité à la Haute Ecole Defré dans le cadre d'une "conférence témoignages" avec son confrère Jean-Marc, a émis cette phrase lors de son tour de parole.
Il est bien connu qu' »un mineur en danger s'autodétruit tout seul » : s'il n'a pas confiance en ses amis ou en sa famille, il ne leur dira rien. Il va peut-être toucher à la cigarette ou à la drogue pour essayer de tenter une nouvelle expérience qui pourra soit lui apprendre quelque chose, soit le détruire.
Ne se faisant aider par personne parce qu'il ne veut pas avouer son mal-être à ses proches, il va donc se retirer seul, et, ne rien dire, pour finalement peut-être aboutir à un suicide...
Mais, ce n'est pas le même cas pour les mineurs délinquants, ceux qui ne vont plus à l'école parce qu'elle ne leur apporte plus rien ou qu'ils ne savent plus suivre les cours donnés.
Pour analyser ce fait, Jean-François a pris comme exemple les "tueurs" de Joe Vanhosbeek.
C'étaient deux Polonais qui fréquentaient des écoles à Bruxelles. Malheureusement, malgré leurs quelques années passées en Belgique, ces deux adolescents ne maîtrisaient pas la langue française. Donc, pendant les heures de cours, ils restaient au fond de la classe, et, comprenant à peine les mots, ils subissaient les cours plutôt que d’y être actifs.
Vers l'âge de 14 - 15 ans, la situation n’a pas évolué.
Vers 17 - 18 ans, malheureusement, rien n'a changé, et, les voici maintenant à brosser les cours et à traîner dans la rue. Puis, ne sachant plus quoi faire, ils vont à la Gare Centrale où se produisit le drame...
Qui est le fautif là-dedans ?
Il est vrai que l’on soit adolescent ou adulte, nous n'avons pas à commettre ce genre d'acte. Il est puni par la loi, et, c'est inhumain.
Mais, concernant les deux Polonais, peut-être n’ont-ils pas été guidés par des valeurs transmises par la famille et par l’école, peut-être ont-ils été jaloux d’un Belge bien sous tous rapports qui possédait un objet qu’ils convoitaient.
Le fait de se sentir étranger diminue le sentiment de responsabilité vis-à-vis d’autrui.
Attention, je tiens à souligner que je ne suis pas du tout d'accord avec l'acte qu'ils ont commis et je ne suis pas en train de dire que c'est "notre" faute si les deux Polonais ont finalement tué ce jeune homme pour un simple MP3. Mais, j'essaie de vous faire comprendre qu'un jeune, s'il ne va plus à l'école et que personne ne l’aide, s’il n’a plus de but dans la vie, court à sa perte.
Jean-François revient sur le sujet en précisant que pouvoir rencontrer des jeunes pour les accompagner, trouver leur potentiel, les encourager pourraient éviter ce genre de problème à l'avenir. Nous devrions créer une nouvelle société qui tiendrait plus compte du besoin des jeunes à prouver qu'ils sont quelqu'un, qui leur trouverait une place à assumer et des responsabilités à exercer. Pour ce faire, remettons des éducateurs dans la rue plutôt que des policiers.
Comme le dit sa citation, « Un mineur délinquant touche des gens "dans leurs tripes" ». Il leur fait poser des questions essentielles sur la place des jeunes dans la société et sur ce que la société met en place pour mieux les intégrer.



"Walibi n'est pas bon ! C'est inciter à la consommation. C'est mieux que les élèves créent eux-mêmes..."
Voici une nouvelle phrase de Jean-François. "Walibi n'est pas bon ! C'est inciter à la consommation. C'est mieux que les élèves créent eux-mêmes..."
Pour ce débat, Jean-François nous présentait d'abord les lieux de ses tout premiers stages. Il en a effectué beaucoup au sein d'écoles dites "difficiles". Là, il fut touché par des jeunes qui lui déclaraient en face : "Ma vie est terminée, je suis dans un enseignement professionnel." D'autres encore essayaient de se rendre utiles : un jour, un autre élève lui a dit qu'il viendrait le lendemain avec son tournevis pour remettre en ordre les fils électriques. Et, il avait en tête de refaire toute l'école à lui tout seul voyant ce bâtiment qui se dégradait au fil des années. Le projet n'a malheureusement pas été accepté.
Que retirer de cette leçon ?
Jean - François l'a bien dit, il ne faut jamais prendre les élèves pour des "cons". S'ils ne sont pas motivés pour aller à l'école tout simplement parce qu'ils ont des lacunes ou parce qu’ils ont connu des problèmes personnels ou familiaux, c'est aux professeurs de leur apporter l'encouragement et l'envie nécessaire d'apprendre pour continuer dans la vie.
Et, quand un élève décide enfin de sortir de sa "coquille" pour aider l'école, pourquoi ne pas accepter l'idée et le valoriser plutôt que de refuser sa proposition ? Le projet avait touché plusieurs élèves, ils voulaient restaurer l’école qui se dégradait et embellir leur milieu de vie.
Leur donner une réponse négative et les faire retourner au cours qu'ils n'écouteront quand même pas est, à mes yeux, une erreur.
On m'a toujours appris qu'il fallait justement saisir ce moment où les élèves ont envie de s’investir d’eux-mêmes et de mener un projet qui leur tient à cœur. Le contact professeurs – élèves est à ce moment très privilégié et c’est l’occasion d’échanger des propos pédagogiques.
Ces jeunes auraient pu prouver leur savoir – faire professionnel et se détacher de l’image dévalorisante qui « colle » à cet enseignement.
Enfin, si jamais ils fournissent du travail, pour les récompenser, Jean - Marc déclare qu'un "Walibi" ne leur rapportera rien. En effet, un parc d'attractions "ne vient pas d'eux". Il a été créé pour divertir les jeunes, ils doivent y aller, payer, et, peut-être que ce sera leur toute dernière fois avec l'école, car, plus tard, si la famille n'a pas beaucoup de revenus, ils ne pourront pas retourner une nouvelle fois. Sur ce propos, je suis d'accord avec Jean - Marc et Jean - François : laissons l'épanouissement de soi et l'imagination de l'enfant comme récompenses, ne les emmenons pas dans des parcs qui pourraient inciter à la consommation car c'est justement ce que ces deux témoins veulent démontrer : un enfant sera heureux pendant une journée s'il va dans un parc d'attractions, mais, un enfant sera heureux toute sa vie s'il sait qu'il peut produire quelque chose venant de lui, et, la partager avec d’autres.
Ceci est toute la richesse de l'humanité.


"L'école de la vie"
Ceci est la dernière interaction qui m'a interpellée.
C'est en terminant son histoire avec les jeunes délinquants qui avaient l'envie de refaire les fils électriques et les murs de l'école que Jean - François a terminé en déclarant qu'il devrait exister une école de vie.
Dans cette école sont rassemblés des jeunes qui n'ont rien à faire ensemble mais qui seront obligés de s'entendre afin de réaliser des travaux. Et, c'est au fur et à mesure qu'ils apprendront à se connaître car l'école est un lieu de rencontres et de brassage. Le but du professeur étant de leur montrer qu'ils sont complémentaires.
J'ai beaucoup apprécié cette idée car je fus ravie, qu'à la fin de la conférence, quelqu'un trouve enfin une solution. Elle n'est pas si compliquée et elle prend en compte les élèves et l'environnement social.
Je pense qu'il faudrait instaurer ce type "de classe" ou créer ce genre d'écoles, qui seraient dirigée soit par des éducateurs, soit par des professeurs, dans le but de remettre le délinquant dans le droit chemin. En faisant ceci, ils ne sont pas confrontés à des adultes, mais, à des jeunes de leur âge avec lesquels ils devront s'entendre, apprendre à se connaître et avoir des limites pour "vivre" entre eux. Ainsi ils développeront un certain potentiel avec une autre personne qu'ils ne connaissent pas en vue de réaliser un projet. Il y aura de la motivation ainsi que de l'entraide. Des jeunes, ensemble, qui se soucieraient moins de leurs faiblesses et qui allieraient leurs forces, supervisés par des éducateurs.
Des jeunes qui apprendraient la vie autrement, et, qui, peut-être par la suite, trouveront qui ils sont réellement, auront leur place et donneront enfin un sens à leur vie.


Edité le 29-03-2009 à 17:59:21 par Sora




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Kay
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29/03/09

Portfolio :
atelier de formation professionnelle
C. Lorant - M. Denis - G. Hauzeur - F. Roynet - D. Wojczyk - E. Robette


2008-2009

Haute Ecole de Bruxelles, Defré

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Kay
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10/10/08

AFP : grille (devoir)

1.)Professeur :
a.)Verbal :
b.)Non - verbal :
c.)Espace :
d.)Interactions :


2.)Elèves :
a.)Nombre :
b.)Âge :
c.)Participation :
d.)Interactions :


3.)Leçon :
a.)Durée :
b.)Sujet / Contenu :
c.)Objectifs :
d.)Consignes :
e.)Méthodologie :
f.)Questions - Réponses :
g.)Tâche - problème :
h.)Excercices :
i.)Théorie :
j.)Tâche finale :
k.)Travail : en groupe / individuel


4.)Matériel :
a.)Tableau :
b.)Feuilles élèves :
c.)Autres :


5.)Cadre spatial :
a.)Classe : petite - grande
b.)Tableau :

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Kay
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1 NS - FLE
14/03/09

AFP : conférence : la gestion de groupe


La charte de vie.
Au tout début du débat, une femme a relevé le fait qu'il fallait agrandir ce lieu de rassemblement pour qu'il y ait enfin des échanges car les élèves ne peuvent pas apprendre dans le bruit. Elle a aussi déclaré que la charte de vie devait être marquée. Si cette dernière n'était pas mise en place au tout début de l'enseignement de l'élève, ceci allait provoquer divers difficultés en primaire et par la suite.
Je trouve cette idée tout à fait excellente.
En effet, si on veut, à la base, avoir déjà une bonne gestion de groupe, il faut d'abord que les élèves l'aient appris aussi.
Je pense en effet que cette discipline peut s'apprendre au tout début de l'apprentissage, c'est-à-dire, en maternelle.
Il est important qu'un professeur de ce rang installe une charte de vie au sein de sa classe. Ainsi, les élèves pourront apprendre, par exemple, qu'on commence à travailler une fois le chahut terminé, qu'on doit levé son doigt pour dire son avis, respecter le temps de parole des autres, ect.
Il est important que ceci débute lors de leurs tous premiers apprentissages et qu'il se répète à travers les années. Comme ceci, l'enfant aura déjà acquérit un certain comportement en classe et saura ce qu'il peut faire ou ne pas faire, de quelle manière, ...
Si les limites sont déjà fixées à la base, elles ne seront plus inconnues aux enfants par la suite et ils les auront déjà bien intégrées.



La présence du maître de stage influcence le comportement du stagiaire
Dans la suite du débat, une femme a relevé une autre problèmatique.
Oui, c'est difficile de gérer une classe quand on est un professeur, mais, ceci l'est encore plus dur quand on est stagiaire.
Elle insinuait que le stagiaire était influencé par son maître de stage, et que, par conséquent, il ne pouvait pas agir librement sur la situation.
Je pense en effet que cela peut perturber le jeune apprenti dans sa gestion de classe.
Mais, je ne vois pas pourquoi, à cause de la présence du maître de stage, il ne pourrait pas suivre ses instincts et guider la classe comme cela lui convient.
Les maîtres de stage n'assistent pas au cours pour descendre leurs élèves, mais, plutôt pour observer comment ils se débrouillent face à une classe entière réelle. Montrer leur capacité à répondre sur le terrain est une bonne chose.


Un forum
Dernière idée proposée par monsieur colsoul lors de ce débat serait de créer un forum pour chaque école ou les stagiaires pourraient y poster leur préparation de leçon ou poser les questions nécessaires pour leur stage et où un professeur, ou plusieurs, de leur école passerait tous les jours pour y répondre et régler les problèmes.
Je reprends cette idée, mais, suivant le sujet de la conférence, c'est-à-dire, la gestion de groupe.
En effet, si chaque école, si elles ont le temps évidemment, créaient un forum afin d'aider leurs stagiaires, cela les aiderait beaucoup dans la gestion de stage.
Avant ceux-ci, ils pourraient toujours poser les questions qui les préoccupent, et, une fois le stage passé, demander à un professeur ou un autre comment celui-ci aurait réagit à cette situation et pourquoi.
Ils pourraient ainsi partager leur vécu, leur expérience, leur ressenti et se sentieraient assez rassurés si ce sont les professeurs qu'ils leur répondent.
Bien sûr, les stagiaires peuvent en parler à leur famille, mais, cela rassure toujours si la réponse vient du maître de stage.



Correction

Kay
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1 NS - FLE
14/03/09

AFP : conférence : la gestion de groupe

La charte de vie.
Au tout début du débat, une femme a relevé le fait qu'il fallait agrandir ce lieu de rassemblement pour qu'il y ait enfin des échanges car les élèves ne peuvent pas apprendre dans le bruit. Elle a aussi déclaré que la charte de vie devrait être élaborée et respectée. Si cette dernière n'était pas mise en place au tout début de l'enseignement de l'élève, ceci allait provoquer diverses difficultés en primaire et par la suite.
Je trouve cette idée tout à fait excellente.
En effet, si on veut, à la base, avoir déjà une bonne gestion de groupe, il faut d'abord que les élèves l'aient appris aussi.
Je pense en effet que cette discipline peut s'acquérir au tout début de l'apprentissage, c'est-à-dire, en maternelle.
Il est important qu'un professeur de ce rang installe une charte de vie au sein de sa classe. Ainsi, les élèves pourront apprendre, par exemple, qu'on commence à travailler une fois le chahut terminé, qu'on doit lever son doigt pour dire son avis, respecter le temps de parole des autres, etc.
Il est important que ceci débute lors de leurs tout premiers apprentissages et qu'il se répète à travers les années. Comme ceci, l'enfant aura déjà acquit un certain comportement en classe et saura ce qu'il peut faire ou ne pas faire, de quelle manière, ...
Si les limites sont déjà mises en place à la base et surtout si elles sont fixées en grande partie par les élèves, elles seront d’autant plus intégrées et respectées par la suite.



La présence du maître de stage influence le comportement du stagiaire
Dans la suite du débat, une femme a relevé une autre problématique.
Oui, c'est difficile de gérer une classe quand on est un professeur, mais, ceci l'est encore plus difficile quand on est stagiaire.
Elle insinuait que le stagiaire était influencé par son maître de stage, et que, par conséquent, il ne pouvait pas agir librement sur la situation.
Je pense en effet que cela peut perturber le jeune apprenti dans sa gestion de classe.
Mais, je ne vois pas pourquoi, à cause de la présence du maître de stage, il ne pourrait pas suivre ses instincts et guider la classe comme cela lui convient.
Les maîtres de stage n'assistent pas au cours pour critiquer leurs stagiaires, mais, plutôt pour observer comment ils se débrouillent face à une classe entière et réelle. Montrer leur capacité à répondre aux différentes situations et prouver leurs compétences sur le terrain est une bonne chose.


Un forum
La dernière idée proposée par monsieur Colsoul lors de ce débat serait de créer un forum pour chaque école où les stagiaires pourraient y poster leurs préparations de leçons ou poser les questions nécessaires à leur stage. Un ou plusieurs professeurs de leur école passeraient tous les jours pour y répondre et régler les problèmes.
Avant les stages, ils pourraient toujours poser les questions qui les préoccupent, et, une fois le stage passé, demander à un professeur ou un autre comment celui-ci aurait réagi face à cette situation et pourquoi.
Ils pourraient ainsi partager leur vécu, leur expérience, leur ressenti et se sentiraient assez rassurés si ce sont les professeurs qui leur répondent.
Reste quand même au stagiaire à acquérir son expérience par essais et erreurs et à assumer lui-même une partie de son apprentissage.


Edité le 29-03-2009 à 18:02:40 par Sora




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   Posté le 31-03-2009 à 16:42:29   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

En cette fin d’AFP, quand je compare les différentes (auto)évaluations, quelle est mon EVOLUTION par rapport aux différentes questions ci-dessous ? Attention : pas les réponses à celles-ci !!!
1. Quels sont les éléments d’une préparation de leçon ?
Au tout début des AFP, je ne voyais pas très bien comment préparer une leçon, à part en cherchant à travers des manuels scolaires ou des documents.
Grâce aux AFP, j’ai pu m’approprier le schéma d’une préparation de leçon.
Pendant nos préparations, j’ai quand même remarqué que deux ou trois petites choses étaient encore à régler, que je ne voyais pas bien la différence entre la méthodologie et la méthode.
Maintenant, je pense avoir tout compris globalement.

2. Qu’est-ce qu’un but pédagogique ?
3. Qu’est-ce qu’un objectif pédagogique ?
4. Qu’est-ce qu’un objectif opérationnel ?
Réponses 2., 3., 4 : au tout début, je pense que je confondais les trois.
Maintenant, je vois mieux ce qu’est un objectif opérationnel avec la célèbre phrase : « A la fin de la leçon, les élèves seront capables de … »
Par contre, je dois revoir les deux autres points cités précédemment car il me semble que je les confonds encore.

5. Quels types de méthodes pédagogiques connais-tu ?
Je trouvais cela une excellente idée de toutes les répertorier pour que l’on voie d’un peu plus près les méthodes et leurs différences qui ont traversé le temps.

6. Lequel te semble le plus efficace ? Pourquoi ?
Finalement, je reste sur la méthode inductive car, il est important que certaines règles viennent des enfants, comme ceci, ils auront plus facile à retenir.
Mais, la méthode déductive me plaît tout aussi bien car je trouve
cela intéressant de commencer par l’explication de la théorie, puis, de faire des exercices. Si jamais les évaluations sont désastreuses, on peut justement mettre le doigt sur ce qui n’a pas été compris et expliquer à nouveau.

7. Quelle distinction fais-tu entre observer et analyser ?

-Observer, c’est… j’ai toujours compris la différence entre « Observer » quelque chose et l’ »analyser ». Seulement, en ce qui concerne l’enseignement, je suis bien heureuse d’avoir appris les critères d’observation, car, à première vue, je ne pensais pas qu’il y en avait autant. Je pensais que c’était juste rédiger ce qui nous avait choqué, interpellé, …

-Analyser, c’est… je pense que les AFP m’ont beaucoup appris car il me semble, à part à partir d’un texte, qu’on ne m’avait jamais demandé auparavant de faire des analyses réflexives basées sur des observations.
8. Quels sont les éléments à observer dans une leçon ?
Avant, je ne relevais pas souvent le cadre spatial.
Je ne me doutais pas que celui-ci pouvait avoir un impact sur les élèves et en conséquence le déroulement de la leçon.
Mais, ce qui est toujours difficile d’observer pour ma part, ce sont les méthodes utilisées, car, je remarque que souvent, par exemple pour des professeurs de FLE, ils veulent suivre une méthode mais ils finissent par la changer en cours de route car les élèves ne suivent pas, ou sont trop fatigués, …
J’ai bien aimé relever le cadre spatial, que, je le rappelle, je pensais inutile de le relever auparavant, car, l’on voit si une leçon se déroule bien en fonction de l’espace, de la luminosité. Sincèrement, je ne pensais pas que cela pouvait avoir un impact si important.
Et, enfin, un point que je remarque et que je ne soulève pas souvent, c’est le matériel utilisé car les professeurs font souvent appel à des feuilles volantes.

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   Posté le 31-03-2009 à 17:12:06   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

Kay
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1 NS - FLE
19/03/09

AFP : discipline : la gestion de classe


Questions :
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1.) Qu'est-ce qu'une classe difficile ?
2.) Pourquoi la discipline ?
3.) Face à l'indiscipline / comportement.
4.) L'indiscipline : origines multiples.
5.) Les relations violentes dans une classe.


Réponses : (Ensemble)
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1.) Gérer une classe est difficile. On dépiste parfois les situations qui vont dégénérer. Par exemple : il faut réagir avant qu'il y ait du chahut. On oublie de dire qu'ils sont en cours pour apprendre.
Il existe des attitudes déstabilisant l'enseignant.
Les classes où on s'en prend à un professeur ne sont pas des classes où on s'en prend à une personne.
Exemple d'une relation violente : les élèves déchirent les feuilles que le professeur a distribué. lls veulent établir un conflit.
Les classes difficiles sont souvent celles qui ont des difficultés. Comme les élèves ont des difficultés, ils ne sont pas prêts à apprendre. Il faut leur donner le goût de la leçon ou les faire participer à la contruction du cours.



2.) Discipline = respect des règles.
~> Pourquoi mettre des limites ?
Troix explications :
- c'est un groupe de personnes, donc, une petite société. Un groupe ne peut fonctionner qu'avec des règles. Il faut les donner et s'arranger pour qu'elles soient respectées.
- Collectivité rassemblée pour accéder à un savoir.
- Il faut toujours les laisser travailler, ou donner la leçon, en silence. Sinon, ils auront du mal à se concentrer ou ceci désavantagera ceux qui éprouvent des difficultés.




3.) Trois types de réaction face à l'indiscipline :
1.) l'enseignant nie le problème.
2.) La classe est difficile à cause des causes extérieures.
3.) Un enseignant qui déclare qu'il n'a pas d'autorité naturelle. Cette dernière n'est pas inée...



4.) - Le fait : obligation scolaire.
- Tous les élèves arrivent avec des données psychologiques.
- Avec, également, des données sociologiques.





5.) Il existe trois types de relations violentes :
- affrontements verbaux.
- Comportements.
- Atteinte à la profession.

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   Posté le 31-03-2009 à 18:33:07   Voir le profil de Sora (Offline)   Répondre à ce message   http://entrelumieretenebre.alloforum.com/   Envoyer un message privé à Sora   

AFP




Table des matières



Consignes Pp. 1 - 3.

Partie n° 1 reprenant tous les documents de madame Lorant et de ses collègues :

AFP : introduction P.4.

AFP : observation P.5.

Annexes n°1 (Consignes pour les observations).

Film : "Entre les murs" Pp. 6 - 7.

AFP : grille (devoir) P.8.

Grilles d'autres élèves Pp. 9 - 10.

AFP : observation critériée - Grille Pp. 11 - 12.

AFP : méthodologie Pp. 13 - 14.

Annexes n° 2 (AFP : guide pratique).

AFP : mise en forme électronique Pp. 15 - 16.

Annexes n°3 (Documents).

AFP : conférence : témoignagnes Pp. 17 - 18.

AFP : débriefing prépa écrite P.19.

Annexes n°4 (Documents).

AFP : conférence : la gestion de groupe Pp. 20 - 21.

Annexes n° 5 (Autoscopies).

Annexes n°6 (Autoévaluations).

Annexes n° 7 (Préparation de leçon : brouillon - améliorée - finale).



Partie n° 2 reprenant les documents de madame Roynet :

Devoir : pour et contre P.1.

AFP : discipline : la gestion de classe P.2.

Annexes n° 1 (Documents).

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